Tony Swan est la soeur aînée de Bella, elles sont très proches (normale pour des soeurs). Elles retournent toutes les deux à Forsk pour habiter chez leur père Charlie. Tout ce passe bien, jusqu'au jour où elles font la connaissance des Cullen, une f...
Après m'être levée de bonne heure, je suis allé prendre une douche chaude avant d'enfiler un peignoir en soie noir que m'avait offert Rosalie.
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Je me tiens devant le miroir, me rappelant ma nuit avec Jasper. Je souris bêtement en me remémorant la texture de ses lèvres sur les miennes et la fraîcheur de ses mains sur mes courbes, comme si je pouvais encore les sentir sur moi.
- Est-ce que ça fait mal ? Me demande Jasper dans l'entre de la porte, me faisant légèrement sursauter.
- De quoi parles-tu ? Lui demandais-je confuse.
Il s'approche de moi et prend doucement mon bras pour me montrer les ecchymoses que je n'avais pas remarqué jusqu'à maintenant.
- Je vais bien, ce n'est rien de grave. Lui dis-je en retirant mon bras.
- Non Tony, regarde. Soupire-t-il.
Il fait descendre le haut de mon peignoir, juste assez pour que je remarque d'autres ecchymoses sur mes épaules dans le miroir.
- Je ne peux pas te dire à quel point je regrette Tony... Dit-il le regard plein de remords avant de sortir de la pièce.
Je fait vite remonter mon peignoir et le suis dans la chambre.
- Moi je ne regrette rien, je vais bien. Dis-je en me mettant face à lui, l'obligeant à s'arrêter. Ne fais pas ça...
- Non, toi, ne fais pas ça... Soupire-t-il en s'asseyant sur le rebord d'un meuble.
- Ne gâche pas ce moment... Continuais-je.
- Je l'ai déjà gâché...j'ai tout gâché. Dit-il la gorge serrée.
Je pose mes mains sur ses joues et le force à me regarder.
- Ne vois-tu pas que tu me comble de bonheur, ou du moins je l'étais il y à quelques minutes. Lui dis-je avant de croisé les bras sous ma poitrine et faire une moue boudeuse. Mais maintenant je t'avoue que je suis un peu fâché.
- C'est normal que tu m'en veuille. Dit-il en baissant la tête.
Je soupire et lui prends doucement les mains avant de lui caresser les phalanges.
- On savait que ça allait être délicat...et on à fait des merveilles hier, du moins c'est ce que je pense. Répondis-je d'une petite voix.
- C'est ce qui t'inquiète ? Que je n'ai pas aimé ? Me demande-t-il.
Je ne répond pas, je me contente d'hausse les épaules, le regard fixé sur ses mains. Mais il prend mon visage en coupe et me force à le regarder.
- Cette nuit à été la plus parfaite de toute mon existence. Dit-il d'une voix assurée et avec un sourire heureux.
