𝐕-𝐒

Chapitre 1: Nouvelle mission

Aria

Quelque part sur Terre.

Comment  j'en étais arriver là ?

Cette question tournait dans ma tête sans jamais vouloir la quitter. Pourtant j'en connaissais très bien la raison et je l'avais même accepté car c'était ce que j'avais choisi je m'ennuyais chez moi  et même si me faire kidnapper par un membre de la Mafia?

Je suppose,

Bref même si ce n'était pas dans mes plans, c'était toujours plus intéressant que d'entendre Tess, ma très chère et seule amie, ce plaindre d'avoir encore rater sa mission tout en rejetant la faute sur son partenaire qu'on lui avait, je cite « enchaîner à elle pour le restant de ces jours. »

Et voilà, je me retrouve là attaché à une chaise qui devait, je suppose être aussi dure que de la pierre dans une pièce mal éclairée avec des toiles d'araignées au coin des murs.

Tout avait l'air d'être en béton armé que ce soit les murs, la porte ou la chaise ou je me trouvais assise actuellement.

Bon je l'avoue ce n'est pas une de mes plus brillantes idées.

Mais non jure on aurait pas deviné.

Tait toi.

Ok.

J'attendais un signe un bruit quelques choses mais rien ne me parvînt.

Je me demande ce que je vais bien pouvoir cuisiner pour le dîner.

J'ai vraiment une envie de sushis.

J'espère pouvoir m'échapper avant minuit.

Il est quel heure d'ailleurs?
Hmm

Tu es en pyjama et pieds nus dans une sorte de prison blindés et tu arrives quand  même à te demander ce que tu va manger au dîner.

Certes j'étais en pyjama qui était composé d'une chemise de nuit et d'un bas large le tout avec des petites têtes de chien comme motif. Mes cheveux noirs étaient dans un sale état ils étaient emmêlés et attaché en un chignon qui était loin d'être bien fait. 

Pourtant je m'en fichais je n'étais pas en mission et je n'avais de compte à rendre à personne. J'étais là attaché parce que j'avais laisser les choses ce faire et parce que je voulais savoir ce que voulais ces gens qui m'avait enlevé.

Et tu penses être normal.

Non je ne le suis pas, je suis loin de l'être et je ne me permettrai jamais de penser que je le suis.

Tess me dit souvent ce que ressente les personnes dites normales mais bon je trouve sa bizarre et je me demande par rapport à qui on peut se comparer pour qualifier notre vie de normal et pourtant ça a l'air bien d'avoir cette vie cette petite routine. Et surtout ne pas avoir de sang sur les mains. De pouvoir..

Le bruit des pas qui s'approche me fait sortir de mes pensées.

Puis la clé dans la serrure et enfin la porte qui s'ouvre donnant sur un grand brun avec un masque à gaz noir ses iris bleu ne se détachant pas de mes yeux et mes yeux marrons ne voulant pas lâcher les siens comme irrémédiablement lié par...

...Le destin?

Non c'est encore trop tôt pour dire sa.

Il ferme ensuite la porte et s'adosse contre le mur en face de moi.

Et c'est la qu'il brise le silence en disant..

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