𝐕-𝐒

Chapitre 4: Informations

Aria

Une semaine plus tard je me trouvais devant le même « hôtel » que la semaine dernière, j'étais arrivé cinq heure avant l'heure du rendez-vous par ordre de Katty qui n'avais d'ailleurs pas voulu me donner plus de détails.

Mais la seul chose qui me perturbait était que je n'avais eu aucune nouvelles de Tess depuis la veille.

Ce qui m'inquiétais au plus au point.

La dernière fois que je l'ai eu au téléphone c'était il y a deux jours et elle avait apparemment une mission en plus de celle là.

Ils auraient au moins pu attendre avant de lui confier une autre mission.

Katty ne m'avais pas rappelé pour me donner l'information que j'attendais ce qui ne présageait rien de bon.

Plus quelqu'un est difficile à trouver, plus il est dangereux.

Cette semaine n'aura pas été très fructueuse étant donné que j'ai passé mon temps allongé sur mon lit à lire un livre.

Je n'avais aucune envie de travailler sur cette mission et comme c'est moi la chef je peux bien m'accorder quelques libertés.

Je rentre dans le bar et trouve la salle vide. Je décide de faire un tour derrière le comptoir.

Et analyse tout ce qu'il y'a autour. Les verres étaient poussiéreux et il n'y avait pas de bouteille remplie.

Je continue ma petite fouille en allant derrière la commode à vin.

Qu'est-ce que tu espères trouver ?

Je m'apprête à tourner les talons mais il y a un trucs qui ne va pas, je remarque une planche en bois mal fixé et me baisse pour l'examiner.

Non ce serait trop facile.

Je n'y trouve rien en dessous seulement un compartiment vide de la taille d'une boîte à chaussures.

Je suis presque déçu, moi qui espérais trouver un mystère à résoudre comme dans scooby-doo.

Quoique...

J'examine minutieusement la latte de parquet que je venais de retirer du sol elle n'avait pourtant rien de spécial, rien qui pouvait attirer les regards curieux.

Je la tourne et la retourne dans tous les sens cherchant le moindre défaut qu'il pourrait y avoir mais il n'y avait rien de suspect.

Tu deviens paranoïaque.

Je l'a remet finalement à sa place enfin j'essaye mais...

Elle ne rentre plus.

Donc soit le gars qui a fait le parquet est vraiment nul soit...

La latte ne vient pas de ce trou.

J'entends le bruit de la porte qui vient de s'ouvrir puis des voies. Je me recroqueville rapidement sous le comptoir.

Plusieurs voies masculines se firent entendre, ils étaient trois ou quatre vus leurs pats et ils étaient belle et bien en route pour venir par ici.

Je ne comprenais rien à ce qu'ils disaient leurs conversation me paraissait très lointaine comme si une partie du groupe n'avais pas encore franchie le seuil de la porte.

— On fait quoi maintenant ?

Fred, ça présence ne m'étonne pas plus que ça.