Nolan ne bougeait pas, sa sœur le prit dans les bras et pleura. Elle le secoua un peu. Mais ceci ne le réveilla pas. Iris prit peur, elle cru que son frère perdait la vie.
Elle tenta de nouveau sa chance et le secoua cette fois-ci un peu plus fermement. Par chance, ceci finit par le réveiller. Iris lui murmura qu'elle ira courir jusqu'à ses grands parents.
Nolan répondit : «Non, ne leur dit pas ce qui nous est arrivé, ils ne vont jamais nous croire. Ils vont nous prendre pour des fous.»
Iris lui assura qu'elle ne dira rien. Mais elle couru à fond, car la blessure de son grand frère était assez profonde. Il fallait faire vite.
Elle dégringola les escaliers à toute allure, bien qu'elle avait elle même une blessure. Mais tenant à son frère, elle était courageuse et fit comme elle pu pour courir jusqu'au sous-sol.
«Papi, Mami ! Réveillez-vous ! Nolan, ne va pas bien, nous devons le secourir ! Son torce est en sang !» cria Iris en arrivant dans la chambre de ses grands-parents.
«Mais que vous est-il arrivés ?! Réponds-moi Iris !» répondit son grand-père.
Iris ne prit pas la peine de répondre et couru dans les escaliers. Ses grands-parents la suivirent. Au premier étage, elle trébucha. Sa blessure lui brûlait le tibia. Mais elle resta courageuse et sa grand-mère l'aida à se relever.
Arrivé dans la chambre d'Iris et Nolan, les grands-parents des deux enfants se précipitèrent vers Nolan. Papi Pat se dépêcha d'attraper le téléphone et appela les pompiers, tandis que Mami Nanou couru jusqu'à la salle de bain, ouvra le placard et prit sa trousse de secours et revint vers Nolan.
Iris restait à côté de son frère en le réconfortant et en le calinant.
Mami Nanou enleva le t-shirt du garçon de treize ans et sortie des bandes de pansement et les appliqua sur le torce de Nolan. Elle recouvra ensuite avec des bandes de pansement le tibia d'Iris qui était tout de même sanglant.
Il était déjà minuit que les pompiers arrivèrent. Ils embarquèrent tout le monde dans le camion en mettant les enfants sur des brancards.
Ils arrivèrent à l'hôpital le plus proche vers une heure du matin. Les enfants firent des radios, pour voir s'il y avait des fractures. Par chance, Iris et Nolan n'en avaient pas. Mais ils durent avoir plusieurs points de suture.
Les enfants dormir à l'hôpital et rentrèrent chez leurs grands-parents le lendemain, le 24 décembre matin, vers dix heures.
Les docteurs, à l'hôpital, avaient conseillé aux enfants de se reposer. Les grands-parents assurèrent ce repos à merveille, bien que cela n'était pas facile pour la fratrie. Iris et Nolan voulurent appeler leurs parents, afin d'expliquer ce qui s'était passé. Mais Nolan proposa de d'abord inventer une version à leurs histoires. Ils allèrent dans une pièce calme, là où leurs grands-parents n'étaient pas.
«Tu vois, il y a un étandoir à linge vers le lit. Il est un peu coupant car il est rouillé. Nous n'avons qu'à dire que j'ai voulu fermer la fenêtre et en passant, l'étandoir à linge mes tombé dessus et ma ouvert un peu. Ça n'expliquera pas pourquoi ma blessure est si profonde mais ceci est le moins que l'on puisse dire. Tandis que toi, nous n'avons qu'à expliquer que tu as voulu me secourir et tu l'as remis à sa place sauf qu'il est retombé sur ta jambe. Qu'en penses-tu ?» répondit Nolan avec assurance.
Sa sœur acquiesça. Elle n'avait d'autre idée, elle ne pouvait donc s'y opposer. Elle était impatiente à l'idée d'appeler ses parents, et à toute allure, elle réussi à arracher le téléphone des mains son frère.
Elle tappa rapidement les touches du numéro de téléphone de sa mère. Dans la pièce sans bruits, un bip sonore se fit entendre. Au bout de dix secondes environ, les enfants entendirent la voix d'une personne.
«-Coucou ! Vous allez bien mes chéris ? J'ai reçu un message de vos grands-parents, et je me fais du soucis pour vous ! Que c'est il passé ?
-Coucou maman ! Nous avons mal mais nous ne sommes pas en train de mourir donc ça va à peut près. Donc, hier soir, la fenêtre était ouverte et j'avais froid. Je me suis levé et avancé vers la fenêtre. Tu sais, vers la fenêtre, il y a un étandoir rouillé où des morceaux de peinture séchées et coupante qui partait. Et cet étendoir m'est tombé dessus et ma ouvert le torce.
-Mon chéri, ça va ? Tu n'as pas trop mal ? Et ta sœur dans l'histoire ? Comment s'est elle fait mal ?»
Leur mère était inquiète, elle ne pouvait tenir en place et posa plusieurs questions à la fois.
«-Je vais y venir, ne t'inquiètes pas pour moi, ma blessure me brûle un petit peu mais ça va sûrement passer.»——————————————————
Merci d'avoir lu jusque là. Et j'espère que vous aurez envie de lire la quatrième et dernière partie. Avec une fin étonnante, je vous conseille de lire cette partie. N'hésitez pas à mettre un petit commentaire qui me permettra peut être de m'améliorer.
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Dans les nuages (nouvelle)
ParanormalCeci est une nouvelle fantastique avec une chute et j'espère qu'elle va vous plaire. Résumé : Voici l'histoire d'Iris et Nolan, deux enfants, qui partent au vacances de Noël, chez leurs grands-parents, en Auvergne. Il va leurs arriver plusieurs...