Puttin' on the Ritz

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Une répétition, une routine qui coûte 

Comme un rêve sans trêve et sans fin

Entre folie et songe règne un doute

La fragrance des cigarettes qui en offre un défunt  

Vêtu de son costume morose aux airs radieux

Il salue sa dernière symphonie, ses derniers adieux

Son masque souriant malgré lui, ses yeux aux mille et un crépuscule 

Montrent sa fierté, montrent sa solitude

Les gens applaudissent, sifflent et acclament l'homme aux sombres couleurs

Sans connaitre son préjudice, sans connaitre sa douleur


PoèmesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant