Fatal Far

Prologue

Léo à finis sa visite, la maison est exactement comme sur les photos de l'annonce, spacieuse et vieillotte. Au milieu des vases, des peintures à l'huile, des crucifix et de la tapisserie brune fleurie des oeuvres peut ragoûtante ont été pour autant ajoutées. Photographies presque pornographiques, des polaroides et surtout des esquisses sombres, parfois même creepy, qu'il n'est pas certains d'apprecier... Des ajouts de ses nouveaux colocataires qu'il ne désespère pas de corriger.

Pour l'instant il se contentera de ne pas trop regarder les murs, ni la table ou un cendrier fume encore et ou des cadavres de bières semblent être rester depuis quelques semaines. Bon, la maison est comme l'annonce mais les colocataires sont des alcooliques déranger, cette année ne risque pas de l'ennuyer. Après tout il a déjà eu beaucoup de chance de trouver un tel endroit au beau milieu de l'année scolaire et pour un loyer aussi avantageux. Il ne vas pas se plaindre pour un peut de désordre, n'est-ce pas ?

À son arrivée hier soir il n'as croiser aucuns des deux garçons avec qui il est censé partager le lieu. Pas que cela lui ai déplu, bien au contraire, mais peut-être serait-il mieux de faire leur conaissance, maintenant qu'il est a peut près installer. Il monte les escaliers grinçants menant à la mezzanine qui relie les trois chambres mais personne ne parait les habiter. Ce n'est pas ici qu'ils se cachent ce matin.

Il descend, parcourant le rez-de-chaussée avant d'arriver devant une porte, celle du sous-sol et de la cave si il a bien compris. Il n'aime pas forcément ces endroits sombres, vieille croyance d'enfance ou traumatisme de It il n'est pas certain. Dans tous les cas il n'est pas encore descendu, c'est le moment de vaincre ses peurs n'est-ce pas ?

Il ouvre la porte et du bruit lui viens aux oreilles, ils sont bien en bas. Rassurer il descend les marches bancales et arrive dans un lieu bien loin de son idée lugubre de départ. Des guirlandes sont accrochées sur tous les plafond en pierre voûtée, multicolores et chaleureuse, tout l'inverse du reste de la maison.

Le sous-sol entier à été réaménager en salle des fêtes avec un bar en palettes, un baby-foot, un billard et beaucoup de canapés. Il y a aussi une barre de pôle dance, évidement. Les deux garçons sont assis sur une petite marche, délimitant l'entrée avec le bar et la pièce de pôle dance, discutant toujours dos à lui.

Il ne sais pas bien comment les interrompres, l'un d'eux à le visage de quelqu'un de contrarier, quelqu'un qu'il ne faut pas déranger. L'autre en revanche est totalement neutre, il raconte quelque chose mais aucune vie ne semble animer son regard. C'est un duo étrange.

- Excusez-moi ? Salut, je m'appel Léo, je suis votre nouveau coloc. Lance le rouquin, sa voix déraillant un instant alors que les deux paires d'yeux se tournent vers lui.

- Ah la voila notre solution ! Tu vois Gabriel, je t'avais dit qu'on trouverais un juge impartial. S'exclame le brun aux cheveux bouclés, celui paraissant contrarier il y a quelques secondes.

Il affiche maintenant un grand sourire d'une blancheur parfaite, debout sur ses jambes fines et élancées il s'avance jusqu'au jeune homme encore dans l'entrée. Le prenant par les épaules il l'emmène jusque son ami, le forçant à s'asseoir entre eux deux.

- Écoute son histoire et dit nous ce que tu en penses. Sois bien attentif il ne le répétera pas deux fois. Déjà que ça le fatigue d'aligner trois mots. A toi Gabriel, on t'écoute mon grand.

- Ok alors, ça commence un matin de Juillet...

Léo en image chapitre