Elle était la future héritière de l'entreprise et de la fortune familiale. Il était boursier mais incroyablement sûr de lui. Tous deux avaient été invités à cette soirée étudiante organisée par une de leur amie en commun. Cette dernière les avait présentés l'un à l'autre.
Elle avait craqué devant ses yeux bleus si profonds où brillait une lueur perverse, ses cheveux blonds qui semblaient se livrer bataille, son sourire arrogant qui lui donnait un air carnassier, son attitude assurée. Sûr de lui, ça il l'était. Peut-être trop, ce qui l'avait vraiment agacé mais elle n'avait pas pu s'empêcher de désirer son corps d'apollon. C'était une pure invitation au péché originel et au plaisir charnel.
Il avait adoré ses cheveux dorés soyeux et doux comme de la soie, ses grands yeux chocolat qui paraissaient innocents, sa peau de pêche qui ne demandait qu'à être submergée de baisers et de caresses toutes plus sensuelles les unes que les autres, ses formes majestueuses qui le conviaient dans des images peu catholiques. Elle avait cette attitude de fille sage qui correspondait bien à son statut de bourgeoise. Il avait eu envie de la provoquer, la défier, la séduire et la faire craquer, juste pour jouer et voir jusqu'où elle pourrait lui résister.
Il s'était vite rendu compte qu'elle était aussi joueuse que lui lorsqu'au détour d'un couloir il l'avait coincé contre le mur et s'était emparé de ses lèvres. Elle ne l'avait pas repoussé, ne l'avait pas giflé comme il s'y était attendu, au contraire, elle avait répondu à son baiser. Il avait alors poussé le jeu plus loin en lui léchant la bouche pour s'imprégner du goût de tequila qui l'habitait.
Elle l'avait laissé faire, glissant une main dans sa nuque et l'autre sous son tee-shirt pour toucher ses muscles si bien dessinés et tellement alléchants, goûtant à ses lèvres sucrées qui lui donnaient un baiser sauvage.
Il avait ensuite délaissé sa bouche pour s'attaquer à son cou à la peau de pêche. Il l'avait entendu pousser des soupirs de bien-être tandis que lui-même frissonnait de plaisir sous les douces caresses qu'elle lui administrait. Ses petites mains survolaient son corps avec légèreté et assurance.
Rapidement, leur respiration s'était accélérée et la température de leur corps avait nettement augmenté. L'air avait semblé devenir moins présent et plus lourd. Leurs mains se faisaient plus aventureuses, leur bouche plus maligne et les endroits câlinés moins sages.
Ils étaient montés dans une chambre à l'étage en toute discrétion.
Ne pouvant plus attendre, il s'était jeté sur elle, la plaquant bestialement contre la porte qu'elle venait de refermer et lui arrachant pratiquement sa robe pour dévoiler une lingerie noire fine et sexy. Sa bouche avait rapidement trouvé le chemin de la naissance de sa poitrine pour y déposer des milliers de baisers enflammés, lui faisant lâcher des petits bruits très encourageants.
Elle lui avait retiré son tee-shirt et avait continué ses caresses de plus en plus érotiques. Elle s'amusait avec l'élastique de son jean, lui effleurant les hanches et les fesses de ses doigts fins. Puis elle lui avait finalement enlevé son pantalon accompagné de son sous-vêtement qui devenait de plus en plus gênant pour s'emparer de l'objet de son désir. Dit désir qui n'arrêtait pas de grimper en flèche.
Il avait grogné de plaisir en sentant ses mains sur sa virilité. Ce geste avait eu pour effet de faire gravement augmenté son désir pour elle. Il s'était alors saisit de son soutien-gorge pour le lui arracher férocement et libérer sa magnifique poitrine. Il lui avait alors avidement embrassé, lécher, mordu les seins.
Elle n'avait pas pu s'empêcher de gémir plus fort, un son qui avait eu l'air de ravir ses oreilles. Sentant sa grande main qui malaxait son sein, elle lui avait titillé le lobe de l'oreille avec sa langue après avoir léché sa jugulaire tel un vampire assoiffé.
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Le temps d'un soir ou deux (Fairy Tail OS)
FanficSting et Lucy se sont rencontrés lors d'une soirée. Qui a dit qu'ils ne se reverraient jamais ? Disclaimer : Les personnages de Fairy Tail ne m'appartiennent pas.