Chapitre 7

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PDV AITANA.

Leon était la, enfin.

Il laissait apparaître de la peur et de l'inquiétude dans son regard, je le voyais.

J'avais mal à la tête ,le sang coulait  le long de ma jambe.
Comme une fontaine, mais hélas l'eau était rouge.

En fin de compte je délirais c'était bel et bien le couteau qui m'avait transpercer la jambe ainsi il m'avait tiré dessus avec son arme.

- Aitana tu vas bien ? Déclara le brun.

Je ne me sens pas bien.

Mes yeux se fermaient petit à petit, j'avais mal, atrocement mal.

PDV LEON.

Putain pas maintenant, j'ai besoins encore d'elle, j'ai eu aucune information, elle ne m'a rien donner.

Il faut absolument pas qu'elle meurt.

Il faut que je retire le couteau de sa jambe mais il ne faut pas que je fasse pas plus de dégâts qu'il y en a.

À trois je retire le couteau.
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Oh putain, ok je contrôle la situation.
Je l'ai déjà fait des centaines de fois donc je ne vois pas pourquoi ça échouerait maintenant.

Il faut que je trouve un gilet et que  je prenne ma ceinture puis je l'entoure sur sa jambe.

C'est quoi se tatouage ?
Il est magnifique, c'est pas le tatouage qui veut dire qu'on appartient à personne ?
J'en ai aucune idée, mais se n'est pas le bon moment de penser à ça.

Allez reste en vie, j'ai encore besoin de toi, tu ne m'a pas aider, absolument pas.

Elle ouvrait les yeux, faiblement, mais elle le faisait.
Enfin, le plan n'a même pas commencer qu'elle était entrain de mourir.

-Leon..,j'ai mal..à.. la jambe, souffla t-elle.

- Écoutes tu as eu bien pire que ça ne te plains pas, ton père te tailler les bras et les jambes donc c'est pas un simple couteau qui va te tuer pauvre crétine, crachai-je.

PDV AITANA

Aïe, ces mots m'ont fait mal, mal au coeur .
Certes j'ai vécu beaucoup plus pire mais je peux me plaindre non ?
Je suis dans une situation très difficile et tous se qui cherche à faire c'est de me blesser verbalement, mais quel enfoiré.
Je jure que je le deteserai a vie.

- On va rentrer à la maison, je vais appeler des médecins et ils viendront, jamais je t'emmènerai a l'hôpital c'est beaucoup trop risqué.

Je hocha tout simplement de la tête.
J'étais déséquilibrer, je n'arrivais pas à marcher.

Je gloussa, ma jambe avait un gros trous.
C'est répugnant.

Leon passait un coup de téléphone.
Sûrement les médecins.

- Bonjour, je vous dérange car une crétine c'est blesser à la jambe, couteau plus arme vous voyez le genre n'est-ce pas ?

Je voulais répliquer, mais seule un gémissement de douleur se fut entendre de ma bouche.
Il me dévisagea et repris la conversation.

-Tout à fait.. maintenant..je ne pense pas qu'elle pourra attendre.. évidemment.. au-revoir.

- Tu n'as rien a faire, restes juste dans ta chambre.

On est déjà arrivée ?
Je pense m'être assoupie pendant le trajet.

- Oui, euh vas dans ta chambre, ils vont bien tôt arriver.

Je hocha de la tête. Et essaya doucement de marcher.
Mais ce fut un échec je tomba par terre en essayant de monter la première marche.

Je jure entendre un ricanement sortir de sa bouche.

- Veut tu de l'aide ? Demanda le mafieu.

- Je n'es pas besoin d'aide d'un crétin, repliquai-je.

- Très bien.

Il partit dans sa chambre.
Comment je vais faire pour monter ses escaliers bordel ?
Il y'en a...
15 !
15 marches a monter.
Je crois que je vais mourir c'est beaucoup trop.

- Putain,sifflais je.

- Toujours pas d'aide ?

- Finalement j'en ai besoin aide moi.

Il ne pris même pas la peine de répondre et me pris dans ses bras, t-elle une princesse.
J'ai horreur de ça.

Il me déposa dans mon lit.
Il contemplait ma blessure a la jambe.

- Ça ne te fait pas trop mal ? Me demande t-il.

-Non, mentis-je.

Il me regarda dans les yeux et répliqua :
-Menteuse.

- Bonjour nous sommes les médecins, nous sommes venus pour la fille.

Je suis une putain de FEMME.

Ils se sont permit d'entrée ?
Ils se croivent chez eux ahah.

- Bien, faites se que vous avez à faire.

- Bonjour madame.. me demanda un des médecins présent.

- Reveins, Aitana Reveins.

-Comment vous vous êtes fait ça ?

Je pris du temps à répondre. Les larmes commençais à être présente.

- On a voulu me violé et je me suis tout simplement défendu.

-Vous êtes courageuse madame Reveins.

-Merci, crachais-je.

Leon me regarda avec des gros yeux, je ne lui avait pas dit, merde.
Il me détaillait, t-elle une oeuvre, oeuvre moche.

- Vous allez devoir vous reposer madame Reveins, pendant environ 3 semaines ensuite sa ira mieux.

- d'accord merci, cracha froidement le brun.

Il dégagea tout les médecins.

- Tu me refait encore se coup Reveins, et cette fois si tu sera plus dans se monde, me cracha t-il.

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Bonsoirrrr

Un chapitre cour désolé !
Bisouss







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