PDV AITANA
5 jours se sont écoulés.
5 jours que je suis enfermé dans cette chambre.
5 jours que je n'ai pas vu Leon.Quelque personne viennent m'apporter à manger et a boire que je refuse catégoriquement.
Je m'hydrate tout de même, mais peu.
Je ne veux pas qu'ils croivent que je suis facile.J'ai mal à la jambe mais il c'est avéré que c'est de moins en pire, ce qui ai génial !
Je connais maintenant cette chambre par coeur.
Chaque recoin de cette pièce, je connais.
D'ailleurs, je n'es jamais eu vraiment l'occasion de visiter la maison.
Je n'es jamais pus voir les couleurs de la maison.
Il y'a juste ma chambre, la seule chose que je peux voir.
Les murs blanc, les fenêtres avec des barraux pour je pense, ne pas m'enfuir.
La fenêtre est si petite que je ne pourrais même pas sortir.Mais quand j'y penses maman et papa doivent se demander où suis-je non ?
Je ne penses même pas enfin de compte.
Je suis inexistante pour eux.
Et jusqu'à la fin des temps.Une voix me coupa dans mes pensées.
Sa voix.- Idiote tu ne manges toujours pas ?
Connard.
- Tu préfères garder le silence ?
Connard.
- Manges bordel.
Connard.
Il prit mon bol et le versa sur moi.
Putain c'est brûlant.- Tu restes dans le silence ?
Connard.
- J'ai pas faim, répondis-je d'un ton glacial.
-Ton ventre te trahit, me dit-il d'un ton moqueur.
Putain.
- Ça fait cinqs putain de jours que tu n'as pas mangé !
- Prends mon assiette.Il me l'a donna, et quitta la pièce.
De la soupe, soupe verte super !
C'est mieux que rien.
J'aurais préféré rien.Je pris le téléphone que j'avais cacher il y'a cinqs jours.
Je l'avais cacher.
Quand Marc m'avait tiré dans la jambe j'avais pris sont téléphone.
Qui était dans sa poche.
C'était si simple.
Je pris contact avec mon père.Bonjour papa.
J'ai crus que tu n'allais
Jamais me contacter.Et bien, si.
Tu connais le plan, donc ?
Bien sûr.
Bien, fais se que
tu as à faire.D'accord.
J'efface la conversation, si Leon venait a découvrir que j'ai un téléphone en ma possession, je serais morte.
Malheureusement ma jambe me piquais.
Mais je m'en contre-fichais.- T'as finis ton assiette ?
Sa voix glacial me pris par surprise.
- Oui, murmurais-je.
-Bien reposes toi encore un peu.
- Et si je n'es pas envie de me reposer ? Ripostai-je.
- Ferme ta putain de gueule, avant que je m'énerve.
Il commença a serré ses poings, ainsi sa mâchoire.
Elle pourrait exploser a se stade.- Putain..,souffle t-il.
- Si tu saurais se que je serais capable de faire, tu ne ferais pas la maline comme ça, crache t-il avec un rictus mauvais.
Je ne répondais pas.
Le silence est la meilleur option pas vrai ?Il partit de la pièce, et moi j'etais dans les bras de Morphée.
2 ANS AVANT.
- clic clac, clic clac.
Il arrivait.
Il était la.- Tu ne pourras pas te cacher longtemps salope, crias l'ami de mon père.
C'était tout simplement une soirée de poker, mon père quelques amis à lui et moi.
Et je me retrouve à me cacher pour éviter qu'il m'arrive quelque chose de grave.
- Je te violerais comme je l'es fait autrefois, tu te rappelles ma jolie ? cria celui ci .
- C'était si fantastique, c'était génial !
Non tout sauf génial.
- Je ne me gênerais pas, termina l'ami.
Je tremblais, je voulais juste qu'il arrête.
Je voulais arrêter tous se qu'ils faisaient sur moi.
Pourquoi j'ai mérité ça ?
Qu'es ce que j'ai fais ?
S'il vous plaît arrêter de me tuer mentalement.1 coup de feu,
2 coups de feu,
3 coups de feu.
Un 4 ème et se fut le dernier.PRÉSENT.
Je me réveilla en sursaut.
Putain de cauchemar de merde.Ma gorge me piquais, signe que j'avais crier.
Je voulais m'enfuir.
M'enfuir parce que j'avais mal de vivre ça.
Les cauchemars.
Mon père.
Ma vie.Mon seul et unique but était de rendre fier mon père.
Quoi qu'il fasse j'essayerai.- Putain t'en as pas marre de crier comme ça ? Me grogna le brun.
Je ne répondis pas.
Aucun mots ne pouvaient sortir de ma putain de gorge.-
tout va bien, me dit doucement Leon.
- Je suis désolé.. Leon.., quelque larmes coulaient sur ma joue.
- Je sais Aitana, me répondis celui-ci.
Il me pris par les hanches, ce qui me fit sursauté.
Et c'était pour me faire un..
Un câlin ?
Il me caressait délicatement le dos.
Son geste était doux.
Je commençais à paniquer, j'étais stresser qu'un homme me touchait
Ce n'était pas eux Aitana mais Leon.J'étais détendu à présent.
Il me regarda un instant dans les yeux.
Mais c'est comme si il venait de faire une erreur parce qu'il me lacha et quitta la pièce.Pourquoi m'avoir lâché maintenant ?
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Extraño
Romance- Tu es tellement détestable que j'oublierai même que tu l'es. Leon Vencini le plus dangereux de tous, le plus redoutable, le plus égocentrique sur terre n'avait qu'une chose en tête : Venger son frère. Aitana Reveins fragile comme un bout de papie...