YOU NEEDED ME

Begenning

Forks, Washington. 17h55.

Tic tac... Tic tac...

Le bruit de l'horloge résonnait dans mon esprit tandis que j'essayais de me concentrer sur les paroles de mon professeur.

J'entamais ma dernière année d'université, je n'étais pas la meilleure des élèves mais j'essayais de faire de mon mieux.

Ce campus était de loin mon préféré. On pouvait prononcer un mot ou une parole sans que tout le monde soit mis au courant.

Je n'ai jamais aimé me mélanger. Je préférais rester dans mon coin avec mon carnet.

Cette ville était petite mais très grande pour ce qui concerne les rumeurs. Il était préférable de se tenir discret dans ce genre d'endroit où très vite tout peut basculer.

—Cattleya je vous prie de répondre à la question.

Une fois de plus je n'avais pas la reponses, trop occuper a gribouiller sur ce stupide bout de papier.

—Je sais pas, la..la réponses b ? Répondis-je peu sur de moi.

Comme si je venais de faire une blague, mes camarades s'empressèrent de rigolais a gorge déployer pour m'humilier.

—Un peu de calme s'il vous plaît, réclamait-il, reprenons.

Les moqueries était devenu un quotidien, il n'y avais pas un jours sans qu'on me rabaisse.

Être de nature timide et phisyquement maigre, n'était pas la bienvenu dans un lycée ou toute les étudiante avais un corps de mannequin.

J'étais seul face à moi même, mes pensée ce ramener comme à chaque fois que j'essayer de me concentrer.

Je ne méritais pas ce qui m'est arrivé, mais comme on dit :

la vie épargne les mauvaises personnes tandis que les bonnes ramassent les pots cassés.

Je m'était fait une amie cette année.

Lise.

C'était une amie extraordinaire.
Au début, j'étais méfiante de peur qu'elle ne soit amie avec moi pour m'humilier auprès de ses copines.

Finalement, c'était la plus belle de mes rencontres, elle m'aide au quotidien, me conseille et m'encourage.

J'avais enfin le droit à une vraie amitié.

Cela peut paraître enfantin, mais je n'avais jamais connu auparavant ce qu'était l'amitié.
Pour une fois, j'avais la chance de connaître ce sentiment.

Une amitié partagée des deux côtés. Parfois, j'avais du mal à comprendre pourquoi elle m'avait choisie comme amie, je me considérais comme une fille banale.

Malgré tout ce qui se disait à mon sujet, elle n'écoutait pas les autres et se faisait son propre avis.

—Cattleya, ça va ? Me demandait-elle.

—Ça va, merci, répondis-je accompagné d'un sourire.

La sonnerie retentit, ce qui signifiait que le cours était à présent terminé. Je rangeai mes cahiers dans mon sac, puis me dirigeai jusqu'à la sortie.