Tsukishima était l'homme qu'il fallait à Kuroo.
Kuroo était l'homme qu'il fallait a Tsukishima.
Mais leurs problèmes s'amalgameraient-ils aussi bien ?
Si Tsukki la veille pleurait,
Aujourd'hui
rien d'particulier.
kurootsukki
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↡ TW : sex , dep...
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𝒩ᴏᴛʜɪɴɢ
ꪗᴇsᴛᴇʀᴅᴀʏ
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Ｗｅｄｎｅｓｄａｙ ｗｅｄｎｅｓｄａｙ ｗｅｄｎｅｓｄａｙ
. . . Ｔｓｕｋｋｉ
Tsukishima ferma les yeux, il s'imaginait les étoiles au-dessus de son corps. Pourtant il était dans la chambre du brun, mais il avait envie d'imaginer pour une fois. Il laissa sa main ouverte à côté de lui, et Kuroo vint mettre la sienne dedans, et se nicher contre son amant. Il ne voulait rien faire de plus que de rester là, à rêver l'un de l'autre et dormir en attendant impatiemment le lendemain où ils pourraient se reparler.
Quand ce lendemain fut venu, le blond fut le premier à entrouvrir ses paupières : difficilement, mais il les ouvrait tout de même. Mollement, il se redressa en baillant silencieusement sur le lit qui grinçait bizarrement. Tetsuro ne remarqua pas qu'il se levait, alors il posa les pieds par terre en enfilant vite fait et avec difficulté un léger bas et un tee-shirt qui faisait dix fois sa taille.
Kei alla jusqu'à la cuisine en titubant, il sentait son corps douloureux. Repensant à la soirée qu'il avait passée, il se sentit rougir et comprit la cause de la douleur. Pour autant, il ne se plaint pas auprès de Kuroo, il fit juste couler un café tranquillement en grattant sa tête. Il reg arda dehors, il apercevait le soleil d'hiver bien voyant dans ce ciel bleu presque décoloré. Il souffla en pensant que, cet après-midi, il aurait cours et qu'il devrait sortir sous ce froid glacial.
Son café coulé, il attrapa la tasse et ses yeux se posèrent sur une boîte de sucre mal rangée, presque toute consommée. Il la remit correctement derrière la cafetière sans en prendre un morceau, et s'assit sur un coussin qui demeurait posté devant un ordi posé sur une table basse. En effet, il n'y avait ni chaises, ni table d'ailleurs. Pas même un canapé. Juste un simple coin tranquille sur le sol. Cela ne dérangeait pas pour autant le grand qui, lui non plus ne roulait pas sur l'or, et comprenait le manque d'argent de son copain.
