il y a qu'un seul chapitre pour l'instant

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Bon alors comme tu l'a remarqué, tout le texte est déjà écrit donc tu devrais pouvoir le lire d'une traite. Hors, tu met 30 minutes à lire 100 pages donc je te préviens direct: tu vas te calmer zozo.
Je te conseil de prendre ton temps pour lire, de faire une petite pose à tout les points et bien visualiser la scène dans ta tête. Hésite pas à faire une petite pause pour te créer un maximum de détails, mais suis scrupuleusement le texte. Si je dit fête avec 4 personne tu imagine pas une soirée avec 30 pelo comme en boîte.
Donc déguste et profite, te précipite pas parce que je veux quand même te faire jouir avec ses quelques mots :)










Notre histoire se passe à Sem, mais pas vraiment non plus. A vrai dire, la seul différence est la maison, mais c'est quand même mieux de pouvoir se faire des films.
On serrait partis en randonnée un peut plus haut dans la montagne rien que tout les deux. On avait des tantes, des réchauds et des rations, tout pour passer une bonne nuit. Je te fait découvrir le lieux. La randonnée n'est pas trop longue et le lieux de repos est sympa: une sorte de petit plateau duquel aboutisse trois routes assez grande pour des voitures mais peut pratiquable et de multiples sentiers. Il y a de grands tronc coupé et stocker à même le sol, empiler à la lisière de la forêt de pins d'où ils viennent. Il y a une sorte de petit enclos de fils électrique un peut plus grand que le hall des sec. Il y a des tables, les reste d'un feux gisant là depuis des temps immémoriaux et de quoi faire un barbecue. Il y a également un gîte sur le site que dans gens loue de temps en temps pour pouvoir faire la fête tranquille dans la montagne. Nous somme en automne, les pins sont toujours vers et les quelque arbres qui reste se pare d'une belle robe dorée. Après avoir marché pendant deux heure en monté, on arrive finalement dans le coins. Je fait découvrir tout exité les lieux puis on installa la tante. On était en train de manger de la viande grillé autour du feu quand une voiture arriva. 4 jeune en sont sortis, 3 hommes et une femme. Ils avaient loué le gîte juste à côté de nous et prévoyez de faire la fête comme tant d'autre avant eux. Au lieux de se morfondre sur notre tranquillité perdu, nous somme allée les rencontrer et avons fait ami ami. Nous avons passer une super soirée avec eux, ils était super cool et nous on laisser faire le fete avec eux même si un gars te regarder bizarrement.
Le lendemain matin, je me réveille. Je sent un creux près de moi. Je me retourne, tu n'étais plus là. Je dégaine mon téléphone quand j'entends des éclas de rire dehors de la tante. Je m'habille, range toutes les affaires, fait les sacs en un éclaire et vient te chercher. Tu est en train de discuter avec deux gars, dont celui qui te regarder bizarre. Pour moi ça passe pas. J'ai conscience qu'ils étaient vraiment sympa et drôle, mais me faire abandonné au réveil comme ça était inadmissible pour moi.
Je m'énerve:
-Viens Zoé, prend ton sacs on s'en vas.
-Mais attend, on n'a même pas pris de petit déjeuner
Le on me terrifia. On était venus ici pour passer un moment seul entre amoureux, et voilà que tu veux y intégré deux inconnus
-T'en fait pas, on a des barres de céréales j'ai tout prévu. On mangera sur le chemin
-restons un peut parler quand même, on les reverra pas, et on est pas pressés
-Zoé j'ai dit on part
Mon ton sec est sans appelle
Tu prend tes affaires à contre cœur et commence à râler
-c'est bon, monsieur fait ça crise et on peut plus parler à des amis ? C'est pas comme si ils allaient me faire quoi que se soit. Et puis tu étais épuiser je voulais te laisser dormir et c'est comme ça que tu me remercie.
Je m'énerve
-je ne devrais pas avoir à me justifier, ma réaction est normale c'est à toi de t'excuser
On s'engueule. Tu finis par marcher 10m devant moi pour signaler ton mécontentement. La forêt est belle et je m'en veux de m'être disputer bêtement avec toi. Je n'ai pas réagi de la bonne manière mais je n'irais certainement pas m'excuser. Perdu dans mes pensées, je suis ramèner à la réalité par un bruit sourd puis un cris. Tu était tombé par terre après avoir trébucher sur une racine. Je me permet de penser que tu devait avoir l'esprit ailleurs pendant que j'acourt vers toi.
-Tu t'est fait mal ça vas ?
tu tente de te relever
-Ça vas t'occupe pas de m-
Tu vacille. Visiblement tu t'était fait mal à la cheville
-tu peut marcher ?
-bien sur que je peux
Tu fait 3 pas en boitent. C'était trop. Je te dépace et m'agenouille dos à toi.
-monte, se serais con que tu te blesse
Tu le sait. Tu le sent. Tu a mal à la cheville. Du déteste l'idée d'etre dépendante de moi dans un tel moment. Tu regrette d'être partie dès que tu monte sur mon dos.
Je me relève d'un coup. Surprise, tu ne peut t'empêcher de lâcher un petit cris. Je me retourne.
-Pardon Zoé.
Puis commence à marcher. Ça t'énerve encore plus. En pleine dispute, je trouve le moyen d'être sympa, et tu t'en veux d'apprécier ça. On continue à marcher. Très vite, tu te rend compte qu'en fait c'est pas à moi que tu en veux mais à toi. Tu réalise. J'étais totalement dans mon droit mais par fierté tu a mal réagis. De plus, au fur et à mesure de la marche, Tu remarque tes mains saisire mon torse. Tu peut sentire mon cœur taper contre ma poitrine, tu entend mon souffle saccadée. Tu sent mon odeur enivrantes: de la sueur et de la testostérone, un melange de puissant phéromonones qui te font tourner la tete. Tu cale ta tête contre la mienne pour mieux en profiter. Tu commence à t'attacher mieux à moi avec tes bras. Un prétexte, bien sur pour mieux sentire mes muscles se contracter pour supporter ton poids grâce à tes mains que tu balade d'abord sur mon torse, puis sur mes trapèze puis mes épaules.
-tu ferrais mieux de m'attraper par la, tu serra plus stable.
Tu rougis quand soudainement, j'attrape tes mains et les plaque sur ma poitrine. Tu sent mes pectoraux roulez sous ma peau. Cette situation t'excite à vrais dire. Tu peut sentire ce corps puissant que tu chérie tant comme tu ne l'a jamais sentie. C'est charnel, brutal, naturel, viril et primitif en un sense. Tu ressens mon corps dans son ensemble, dans son essence. Les 1h de descente on était une véritable torture pour toi. Tu n'a pas céder et ne t'est pas excuser mais bordel qu'est ce que c'était dur de me résister. Tu a l'impression que ta cheville vas mieux, et cela se confirme quand je te dépose par terre pour ouvrir la porte.
-Tu peut monter ?
La salle de bains était à l'étage. Tu pourrais monter, mais, soit par sadisme soit par envie tu me demande de t'aider
-très bien. Je te t'assoie sur une chaise, enleve ton manteau et commence à delacer tes chaussures. Tu le trouve beau vue comme ça, cette homme. Ces cheveux en bataille, ce corp usé... Mais tu sent que je commence à etre agacer de te supporter. Pourtant, sans te demander la suite, je te prend comme un princesse et monte à l'étage. Cela t'etonne. Je t'amène dans une belle salle de bains, très lumineuse puisque une petite baie vitrée offrais une vue imprenable sur la montagne et ses arbres couleur cramoisi. La salle de bain était moderne avec de grand miroirs, une douche en verre et son carrelage blanc. Je te pose sur un siège face à la douche.
-je vais me doucher d'abord, puis je t'aiderais a te laver quand je serrais propre.
-d'accord...
Je fait tomber mon t-shirt relevant mon dos. Puis mon pantalon et dans la fouler mon slip puis les chaussettes. Ce si beau corps et là, devant toi. Tu redecouvre maintenant après l'avoir ressentie tout au long de la rando. Tu admire les courbe de mon dos pendant que je rentre dans la douche. L'eau commence à couler. Tu ne peut pas t'empêcher de remarquer les veines sur mes bras plus apparente que d'habitude, te délivrant l'information que je suis congestioner. Maintenant que je me savonne tu le remarque. C'est vraie, mon corps  surtout mon dos, à l'air plus large que d'habitude, plus imposant, plus excitant. Tu serre les cuisses pendant que tu vois la mousse ruisseller le long de mon dos jusqu'à mes fesses, ou elle s'en vas carresser mes cuisse jusqu'à disparaitre dans le siphon. Je me retourne. Et je te vois, te mordant les lèvres, les cuisses serré, l'air abassourdi. Tu remarque que j'ai toujours l'air un peut tendu, mais tu remarque un leger sourir sur mes lèvres. Je tape la porte de la douche en me retournant. Tu t'approche pour la fermer... et pour profiter du spectacle de plus prêt. Tu pose la mains sur la vitre quand tu sent quelque chose se refermer autour de ton poigner et te tirer dans la douche. Tu te retrouve les deux mains dans le creux de la mienne, considerablement plus large et puissante, hissé au dessu de ta tete. L'eau trempe tes habit. Je suis collé à 5 cm de moi. Ton cœur bat la chamade, tu peut sentir mon souffle d'ici. Ma deuxième mains frôle tes côtes et viens saisir ta hanche. Tu ferme les yeux. Tu sent mon souffle se rapprocher, mes lèvres rencontrer les tienne. Tu sent ma bouche s'ouvrir, ma mâchoire se desserrer. Tu fait pareille nos langue se lie. C'est magique. Tu abandonne tout, tu ne veux plus me tenir tête, tu ne peut plus. Nos langue se délie et ma bouche s'en vas rendre visite à ton cou. Mon souffle chaud contre ta nuque te fait frissonner. Ma mains te carresse par dessu ton t-shirt, passe sur tes seins, frôle tes tetons avant de les saisir brutalement. Tu gemis de plaisir pendant que je joue avec. Je lâche tes mains qui retombe sur mes trapèzes et je déchire d'un coup sec ton t-shirt en balançant se qu'il en reste loin. Ma tete plonge dans ta poitrine. Je suce, leche, mordille. Tu est au paradis. Je t'embrasse puis te regarde dans les yeux. Tu n'avais mis qu'un legin pour la randonnée. Tu comprend se que signifie mon regard. Tu te retourne pendant que je te plaque contre le mur. Tu tend le cul. De nouveau, tu sent ce corps puissant déchirer tes habits avec une telle facilité... ça t'excite.
Je te retourne, tu sent la vitre froide dans ton dos qui détonne avec l'eau chaude qui coule toujours le long de nos corps. Je m'agenouille. Tu réouvre les yeux juste à temps pour voir ma tête fondre vers ton intimité. Au premier contact de ma langue avec tes lèvres tu les referme aussi tôt. J'embrasse deliquatement tes lèvres, tes cuisse, le dessus, le dessous, tout les endroit de toute les magnaire. Maintenant tu sent ma langue s'aventuré autour de ton clitoris. Tu reouvre les yeux et me regarde. Au même moments je le trouve et lève les yeux pour te regarder. Nos regard se croise. Tu gémis, tu frémis. C'est trop bon... ma langue bouge parfaitement et ce regard...
Après avoir fait le tour je me relève, une main sur ton cou, l'autre en bas. Je m'approche et t'embrasse pendant que tu sent mes doigts s'enfoncer en toi. Ils appuie forte au bonne endroit et tu aime ça. Tu fond de plaisir quand au même moment je commence à te sucurer la peau au niveau du coup. Mon pouce se pose sur tes lèvres et appui sur ton clitoris. C'est trop. Tu le sent. Ça viens. C'est à ce moment que je lâche ton cou après y avoir fait un bleue et chuchote dans ton oreille:
-tu sait que je vais te punir pour ton comportement. Tu a plus que dépasser mes bornes.
Ma deux main s'en vont soudenement et viennent se poser sur tes épaules
-À genoux
Tu sait que tu n'a pas le choix. Tu l'entend au ton de ma voie. Tu voudrais résister mais même toi tu bouillonne à l'idée de pouvoir m'avoir. Tu te met à genoux en embrassant tout mon corps sur le chemin avant d'embrasser mon sexe. Tu le prend, joue avec, l'embrasse, le lèche, tu tourne autour du pots et tu sait qu'elle serra ma réaction. Et ça ne manque pas. Comme à chaque foi, j'attrape ta tête et enfonce mon penis dans ta bouche qui viens taper le fond de ta gorge.
Je grogne:
-putin c'est bon
Tu commence à bouger par toi même, altérant entre plusieurs mouvement à différente intensité. Tu m'entend retenir des gémissement et moi vois tresaillire. Prendre du plaisir mais devoir lutter pour ne pas te le montrer. Tu aime ça, se contrôle que tu peut avoir sur moi. Tu aime voir l'effet que tu peut me faire et que tu peut avoir sur se corps qui te semble pourtant si insensible en temps normal. Ici, entre tes mains, bien que je m'efforce de donner l'impression du contraire, je suis tout à toi. Au bout d'un moment, je me retire et glisse une main sous ton menton
-lève toi
-putin peyo je t'aime
Je te replaque contre la vitre
-moi aussi Zoé, je suis fou de toi
C'est après ces mots que mon sexe te pénètre. D'un coup sec et précis, ta mouille a suffisament subrifier la zone. Tu gemis. Nos corps collé, poitrine contre poitrine, tu peut sentir mon penis comme t'ouvrir en deux
-bordel oui
J'entends tes mots et ne peut m'empêcher d'arborer mon sourire narquois quand je commence à bouger.
Cette position est idéale, je peut facilement allez tout au fond de toi, ce qui ne manque pas de te faire gemire mon prénom. Je te décole petit à petit du sol pour finir par te porter complètement mais tu t'en fou, c'est trop bon pour que tu puisse penser à autre chose. Plus tu monte haut, plus je sexe tape par des angles indécent qui te font crier et frémir de plaisir.
D'un coup tout se ressert, tout se contracte. Le premier orgasme. Tu ne l'a même pas sentie venir. Il te foudroie sur place. Tu me serre, m'agrippe, me griffe. Je ne bronche pas et te repose pour retourner. Toujours abasourdi par le plaisir, je doit te mettre une fessé pour que tu adopte une position convenable.
-Cambre mieux salope
Ça y est. J'ai employé ce terme. Il est moins rare qu'au début de notre relation mais toujours aussi efficace. Tu mouille comme jamais
-putin prend moins violemment
Je te fesse et te prend le cheveux
-arrête avec ce vilain mot, je vais t'apprendre à parler correctement moi
Premier coup de reins. Dans cette position c'est un autre côté qui est stimulé. Ça te plaît. Tu aime te sentir dominé, abandonné ton plaisir et le remettre entièrement dans mes mains de quelqu'un d'autre. Tu aime vider ton cerveau, obéir et jouir. Mes coup de queue se plus en plus profond et puissant jusqu'à ce que je t'attrape par le cou. Ta position change, celle de ton intimité aussi. Je tape un tout autre endroit encore meilleur.
Bam. Une première fessé
-tu t'est vraiment comporter comme une méchante fille aujourd'hui
-oui désolé...
Bam, une deuxième
-après ça, tu a fait la maline et tu a refusé de t'excuser
-oui j'ai été méchante...
Bam une troisième, la trace de ma mains commence à apparaître sur tes petite fesses
-j'ai vue comment tu m'a regarder sur tout le trajet du retour, et tu ne m'a rien dit ?
-putin peyo...
Bam, une cinquième, tu sent quelque chose commencer à monter
-maintenant tu vas t'excuser en bonne et due forme si tu veux que je te laisse jouir
Tu abandonne totalement
-oui bordel, j'ai était une vilaine gille et je me suis mal comporté je suis désolée, maintenant fait moi jouir s'il te plaît
Je sourie, j'ai eu tout ce que je voulais. A ce moment là, je sent quelque chose commencer à monter en moi également. Tu le sent, mes coup son de plus en plus saccadée et ma mâchoire se serre Je met une dernière fessé alors que tu crie mon prénom et viens passé ma main sur ton clitoris. C'est trop pour toi. T'es parroie se ressert presque instantanément autour de ma queue pendant que j'ejacule au fond de ton vagin.
-zoe... putin zoe
-oui peyo...
On joui en même temps, tu m'entend murmuré ton nom et tu aime ca. Je t'entend aussi. Mes mouvement ralentisse doucement jusqu'à l'arrêt
Une fois sortie tu te retourne et nos lèvres et m'embrasse. Je te saisie le coup et monte en intensité. Au bout d'un moment que tu saurais pas quantifié, tu t'éloigne, me regarde et dit
-désolé mon amour
-t'en fait pas ma chéri, je m'y suis mal pris
-non mais c'est pas...
Je t'embrasse a nouveau. Je sait se que tu allais dire et j'ai la flemme de commencé à débattre, je te veux toi et c'est tout. Sans prise de tête.
Mes bras se referme autour de tes hanche, les tient vienne saisire ma nuque. Je me dit que j'ai de la chance de t'avoir et que je ferais mieux de profiter de chaque instant à tes côtés. C'est pour cette raison que je te soulève à nouveau et t'amène dans la chambre à côté après t'avoir enroulé dans une serviette.

(Chap 2 ?????)

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⏰ Dernière mise à jour : Jan 01, 2023 ⏰

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