Rentrer À à La Maison [MCU]

Tony | Ironman

C'est avec joie que je m'éveille, réconforté par l'étreinte aimante de mon fils, m'extirpant ainsi des bras de Morphée. Mon visage s'illumine de bonheur, heureux que mon précieux enfant se trouve désormais en sécurité, hors d'atteinte des dangers qui peuvent entacher son innocence. Pour un garçon de son âge, il a combattu des douleurs qui détruisent et accablent même les cœurs les plus endurcis. En dépit de la souffrance qu'il a connue, il garde un cœur innocent, et je souhaite secrètement que cette facette de sa personnalité, si chère aux yeux de tous, continue de briller en lui. Je passe ma main sur son front. Il me semble étrangement brûlant et en proie à une transpiration abondante, ce qui n'est guère compatible avec ses pouvoirs de guérison. Depuis leurs acquisitions, Pete n'est jamais tombé malade. De l'autre côté en ayant court-circuité ses pouvoirs cela l'a vraisemblablement affaiblir.

« JARVIS, quelle heure est-il ? demanda-t-il.
- Il est 8h00, Patron, répondit JARVIS.
- Merci JARVIS ! Quelle est la température de Peter ? Je m'enquis
- 100,2°F, monsieur, répondit JARVIS.
- Est-ce que Steve ou Bucky sont réveillés ? je continue à lui demander. Je joue avec les cheveux de mon tendre fils pour me distraire.
- Le capitaine Rogers est parti faire son jogging matinal il y a une demi heure et le sergent Barnes prépare le petit déjeuner, m'informe JARVIS.
- Préviens Bucky de préparer un acetaminophen pour Pete et de rien faire de trop lourd pour qu'il puisse digérer, j'ordonne à mon IA.
- Bien sûr, Patron. Le message a été transmis, confirme JARVIS.

Mon regard demeure contemplatif par la quiétude de mon fils. Il a l'air si paisible quand il dort. Je me demande ce qui a pu entacher son sommeil plus tôt. Bien que la curiosité me brûle, je m'abstiendrai de l'interroger jusqu'à ce que soit rétablit. Rien ne m'interdit pour autant de faire des recherches en attendant pour savoir s'il me mentira. J'embrasse sin front brûlant.

- JARVIS, Pete a-t-il reçu des appels sortants de l'ordinaire ces derniers jours ? Je lui demande.
- Un seul, patron. Il s'agit de la police de New York. Un certain Steven Westcott, nommé également Skip. Il a abusé d'enfants, notamment du jeune maître Stark. Durant le procès, votre fils a été le seul à témoigner. Wescott a été emprisonné pendant deux ans. Le procès a eu lieu deux ans après que le jeune maître Stark a porté plainte. Et quelqu'un a payé sa caution. Peter n'a jamais su que qu'un tiers avait payé la liberté de Wescott. Je suis incapable de déterminer qui c'était. La transaction a été faite de main à main. Aucune trace numérique pour remonter à l'inconnu, m'explique JARVIS de sa voix robotique. Je peux sentir une pointe de colère dans cette dernière.
- Bien, je souffle. Envoie-moi tout ce que tu as sur Steven Wescott et envoie-le également aux autres, à l'exception de Peter. Organise une réunion avec tout le monde après que Peter se soit endormi ce soir. Et je t'interdis d'en informer Peter.  Cette réunion
- Bien sûr, Patron ! Autre chose ?demanda JARVIS.
- Préviens moi quand Steve prendra sa douche après qu'il soit rentré de sa course matinale. Pour le reste ça ira JARVIS, je conclus.
- Bien monsieur.

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Équivalent

100,2°F=39.9°C
acetaminophen = paracétamol