Chapitre 16 : Tu es as moi ( Tu m'interesses)

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- D'après toi. Je vous laisse nettoyer comme punition de retard. Je vais aller manger. La bagarre ça creuse.

Hannah commença à partir, pensant que tout était enfin fini quand elle vit l'un des hommes traverser la rambarde encore une fois.

- Un coup de main ne serait pas de refus. Dit Vicky à travers la rambarde.

- Et merde. J'avais complètement oublié.

Sans attendre, elle prit l'ascenseur et monta à l'étage du bureau de Leonardo sans attendre. Personne ne l'avait réellement demandé ce qu'elle allait faire. Quelques hommes l'avaient encerclés au dernier étage. Elle les avait mis KO en peu de temps avant de courir dans le bureau et de s'y enfermer. Elle se dirigea vers le bureau, pirata de l'ordinateur les haut-parleurs. Puis commença à parler.

- Yo ! Les clebards du bâtard. Votre maître est mort. Si vous ne voulez pas mourir comme lui, je vous conseille fortement de travailler pour moi. Je vous paierai le double de ce qu'il vous donne. Si vous voulez restez en vie, je vous conseille fortement de me rejoindre en bas dans les trois minutes qui suit. Bye.

Elle sortit du bureau et reprit le chemin des ascenseurs. À peine arrivé au rez-de chaussé, quelques hommes avec quelques égratignures étaient arrivés. Elle avait un autre plan pour les restant. Elle voulait faire d'eux, ses sbires. Ses gardes du corps personnels. Faire en sorte que ses hommes obéissent au doigt et à l'œil. Elle récupérera ainsi le Cartel de Daniel.

- Que veux-tu faire d'eux? Il faudrait mieux ne pas les tuer ? Demanda Leonardo.

- Non. Je les garde. J'ai d'autres projets pour eux. Erik, tu les emmènes chez Oakley.

- D'accord.

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Leonardo est remonté dans son bureau. Tout avait été mis sans dessus dessous. L'entreprise entière. Ça le mettait tellement en rogne qu'il était à deux doigts de casser son bureau du poing. Heureusement qu'il savait contrôler sa force, sinon la table serait brisé en

Mais tout ce qui l'importait, c'était Hannah et ses terres, comment faire pour lui prendre des mains. Hannah était apparemment intelligente d'après ce qu'il avait entendu autrefois, s'était le contraire. Il sourit sans s'en rendre compte. Cette Hannah là, était intéressante.

Il secoua la tête. Non, il fallait qu'il se ressaisisse. Les terres en premier. Il composa le numéro de téléphone qu'il avait pris le jour où il remarqua qu'elle avait un nouveau téléphone. Elle répondit aussitôt.

- Mon amour. S'écria-t-elle d'un seul coup et sensuellement.

Leonardo écarquilla les yeux. Son cœur émet un battement. Ce simple mot l'avait presque rendu fou.

- Qu...qui est ton amour.

Le grand Leonardo Cortez avait bégayé pour la première fois. Il venait de se prendre une honte monumentale. Mais Hannah ne rie pas de sa honte. À la place, elle lui répond sous une ironie hors pair.

- Bah quoi ? Nous sommes mariés après tout. Pour le meilleur et pour le pire, non ? Toi aussi tu peux le faire. Répète après moi. Mon bébé...

- Assez. S'impatienta-t-il.

Cette fois-ci elle rigolait. Et lui ne comprenait pas ce qu'il se passait.

- Je rigole. Déstresse. Pourquoi tu m'as appelée ? Demanda-t-elle, même si elle le savait, elle voulait l'entendre de sa propre bouche.

- Viens à l'entreprise.

- J'arrive. Dit-elle en chantonnant. Je suis là dans dix minutes.

Elle lui raccrocha au nez. Une chose qu'elle savait qu'il n'aimait pas ça. Depuis tout petit, il n'aime pas quand on lui tourne le dos. Et la depuis le début, Hannah jouait avec ses nerfs.

Les phares de la verité aka Tryade LoveOù les histoires vivent. Découvrez maintenant