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Je m'étais levé tôt pour faire mon footing. C'était devenue une habitude après que Sofia m'ai quitté. Je sortais pour prendre l'air 1 heure ou 2 et à la fin je me posais sur la plage devant l'eau pour réfléchir calmement. Cette fois si quand j'avais fini ma course et que je m'étais assise sur un banc je vis Alice. Elle était là les pieds dans le sable en regardant les vagues faire des vas et viens. Je me levais pour m'asseoir près d'elle sans pour autant l'obliger à quitter ses pensées. Je regardais dans la même direction. Le silence entre nous était très apaisant pas besoin de parler inutilement pour dire que la vue était magnifique on le savait déjà. Ce moment sans que je puisse savoir pourquoi me paraissait intime on était loin des autres sur une autre planète.

Alice: C'est apaisant. L'odeur, le son et la vue.

J'hochais la tête. Elle eu un frisson quand le vent souffla. J'enlevais ma veste et lui mis sur les épaules. Elle rigolait et je la regardais comme si elle devenait folle.

Alice: Je ne pensais pas te revoir aussi tôt et encore moins ici.

Sam: À vrai dire moi non plus.

Elle détourne enfin le regard de l'eau et me regarde dans les yeux.

Alice: Alors ma photo ne t'as pas déplu ?
J'ai attendu toute la nuit pour avoir une réponse en vain.

Je rougis fortement. Je ne pouvais décidément pas dire qu'elle m'avait retourné la tête et l'estomac. Elle me regarde et rit.

Alice: Je prends ça pour un oui.

Sam: La prochaine fois je te répondrais.

Alice: Qui t'as dit qu'il y aurait une prochaine fois ?

Je lui souris en guise de réponse.

Alice: Tu faisais quoi avant de venir ici ?

Sam: Je faisais mon footing matinal et après je voulais me poser sur la plage pour réfléchir c'est là que je t'ai vu.

Alice: Sportif en plus d'être sexy et dangereuse. Quel est ton défaut parce que je commence à croire que tu n'en as pas.

Sam: Hum difficile à dire. Je dirais que je suis trop violante parfois.

Alice: Ça peut être un défaut comme une qualité.

Sam: Perverse.

Alice: Qui t'as dit que je parlais de ça.

Elle affiche un sourire narquois.

Sam: Tes yeux le disent.

Mon téléphone nous coupe dans notre bataille de regard. C'était Ezio.

Sam: Mon chevalier m'appelle excuse moi j'en ai que pour quelque minutes.

Elle hoche la tête disant qu'elle m'attendrai.

Appel• Ezio

Ezio: Ma femme adorée. Où es tu ?

Sam: Mon chéri d'amour en quoi ça te concerne ce que je fais actuellement ?

Ezio: J'aimerais éviter te retrouver dans un bar à te bourré la gueule au bord du coma éthylique.

Sam: Je ne bois plus tu le sais. Je fais juste mon footing comme presque chaque matin.

Mia cara Où les histoires vivent. Découvrez maintenant