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Je me retrouve seule avec Alice. Sans m'en rendre compte je continuais mes caresses sur sa cuisse. Mais elles étaient peut-être trop haute donc je redescends légèrement. Je place ma tête contre son dos respirant enfin normalement.

Sam: J'aime actuellement ton chef le vieux pervers misogyne.

Alice: Ah j'aurais préféré que tu dises que tu m'aimes. Mais bon...

Sam: Tu veux vraiment l'entendre ?

Alice: Hum moui.

Sam: Je t'aime, toi seulement toi, personne d'autre.

Alice: Moi aussi je t'aime toi.

Je rigole contre son dos.

Alice: Qu'est-ce qui te fait rire ?

Sam: On a une relation qui va un peu à l'envers.

Alice: Pourquoi ?

Sam: On se dit je t'aime avant d'être en couple, tu vies presque chez moi et je t'inclus dans mes conversations privé comme si t'étais ma femme.

Alice: On est atypique.

Sam: C'est mieux que d'être comme tout le monde.

Je la pose sur mon bureau et l'embrasse.

Alice: On dirait le début d'un film pour adultes.

Je pouffe.

Alice: La mafieuse sexy prend sa blonde dans son bureau.

Je me laisse tomber dans mon fauteuil morte de rire. Alice tire mon fauteuil vers elle je me retrouve à sa merci. Elle arbore un sourire. Elle m'embrasse mais je l'interromps.

Sam: Te prendre dans mon bureau serait plutôt vulgaire.

Alice: En prenant en compte ton statut de mafieuse, pas tellement. Ça serait même respectueux.

Je la soulève pour l'assoir sur moi. Je replace ma main sur sa cuisse. Elle entrelace nos doigts et mène ma main avec la sienne pour les faire remonter plus haut sur sa cuisse. Elle saisit ma cravate et la tire plus je monte. Elle soupirait d'aise. Pour l'embêter j'arrêtais mes mouvements. Elle émettait un grognement. Ezio arriva dans le bureau.

Ezio: Tu devrais prendre ta journée après ce qu'il vient de se passer.

Sam: Avec plaisir. Je vais te laisser et passe le bonjour à Ange.

Ezio: Oui oui comme d'habitude.

Ezio repart. Je pose Alice sur le bureau et range mes affaires. Elle remet sa jupe en place et on part direction chez moi dans ma voiture. Sur le trajet je pose ma main sur sa cuisse.

Alice: J'adore quand tu fais ça.

Sam: Quoi ?

Alice: Ta main. Même si on dirait que je suis ta propriété j'adore le contact de ta main sur ma hanche ou sur ma cuisse. Ça me permet de savoir que t'es prêt de moi.

Je souris. Je ne faisais absolument pas exprès de mettre ma main à ces endroits. Je cherche juste sa présence, c'est comme ça depuis qu'on a commencé à se voir je cherche toujours à l'avoir près de moi. Je nous gare et lui embrasse la tempe. Avant de lui chuchoter à l'oreille.

Sam: Mia cara je te veux prêt de moi chaque instant.

Je sors de la voiture et viens lui ouvrir la portière. Elle sort et on rentre chez moi.
Une fois dans le salon Alice vient s'agripper à mon cou. Elle m'embrasse à pleine bouche. Je dépose mes mains sur ses hanches et la rapproche le plus possible. Elle gémit contre mes lèvres, et c'est un son merveilleux à écouter. On s'éloigne à bout de souffle se regardant dans les yeux. On voulait toutes les deux plus beaucoup plus. J'attrape ses cuisses et la soulève elle enroule ses jambes autour de ma taille. Je la plaque contre un mur. Elle dépose ses lèvres dans mon cou m'arrachant à mon tour un gémissement. Ses mains dans mes cheveux. Elle mords ma peau la suce, la lèche après ça j'aurai une belle marque. Je descends ma main en caressant son corps passant de son dos à ses fesses puis son ventre m'arrêtant devant sa jupe. J'attendais son feu vert.

Mia cara Où les histoires vivent. Découvrez maintenant