Felix était un jeune garçon de vingt-deux ans. Il travaillait au palais des anges en tant que cupidon - et ces derniers étaient de loin les bienvenus. Malheureusement, ils avaient tous commis une erreur dans leur vie antérieure.. un suicide.
Leur rô...
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Le plus jeune secoua la tête de haut en bas sans le regarder.
Felix sentait ses joues le brûler exagérément.
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Une fois avoir bien mangé et s'être reposé jusqu'à la fin de l'après-midi convenablement, les deux jeunes hommes avaient pris une douche et s'étaient vêtu de vêtements confortables. Le blondinet était habillé d'un pantalon noir ainsi qu'un pull marron assez grand tandis que l'autre garçon s'était vêtu d'un col roulé et d'un pantalon noir.
Ils étaient donc prêts à partir et s'approchèrent de la porte d'entrée pour exécuter cela avant que le plus grand ne s'arrête soudainement.
« Felix, tu ne peux pas sortir comme ça », commença-t-il en regardant le concerné, « Tu vas attraper froid »
Le plus jeune sentit ses joues se teinter faiblement à l'inquiétude de son petit ami, « Ne t'inquiète pas, ça va »
Mais le noiraud secoua la tête négativement avant de se précipiter vers les escaliers pour aller à l'étage. Il revint après plusieurs minutes avec des manteaux noirs à la main et les tendit devant l'autre garçon qui était légèrement confus.
« Prends-en un et je prendrais l'autre », dit le plus grand avec un sourire.
« Mais ce sont tes affaires.. »
« Ce qui est à moi, est aussi à toi », rétorqua-t-il joyeusement.
Le blondinet rougît fortement à ces mots et attrapa un manteau timidement pour l'enfiler. Celui-ci était légèrement trop grand mais ça ne se voyait presque pas ce qui fît sourire le noiraud.
« Ça te va bien », dit-il en mettant son propre manteau.
Son petit ami se contenta de rougir davantage en voyant l'élégance du plus grand. Cette longue veste noire descendait jusqu'à la moitié de ses cuisses et était tellement belle que Felix se retourna vers la porte pour l'ouvrir afin de s'échapper.
Hyunjin haussa faiblement un sourcil devant sa timidité et soupira doucement avec un sourire en le rattrapant sans oublier de verrouiller la porte. Son bras se posa sur les épaules du plus jeune pour le taquiner.
« Qu'est-ce qu'il y a, Felix ? », demanda-t-il fièrement, « Tes joues sont toutes rouges »
Ce dernier secoua la tête négativement en la descendant vers le bas pour ne pas que le plus grand remarque son nouveau rougissement.
« Pauvre petit chou », dit le noiraud en saisissant l'une de ses joues tachetées pour la tirer faiblement.
Le blondinet fît une grimace et fronça légèrement les sourcils en relevant la tête vers le plus grand.
