1. Want some more

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"I'm in these bitch. I'm getting money.
One minute they hate me, then they love me."
.

Ceci est la première fiction que je vais écrire sur la célébrité. J'espère que ça va vous plaire.

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Un matin d'hiver, tout semblait calme. Dans le quartier du Queens, à New-York, la jeune Onika était déjà réveillé.

Il n'était seulement que 6h, mais la jeune femme, impatiente, étalait sur des tartines du beurre de cacahuète.

Elle avait la maison seule cette semaine, alors elle en profitait pour écrire ses chansons.

Installée sur son lit, elle répétait, écrivais, raturais, parfois même lâchait des petits cris d'énervement. La caribéenne était perfectionniste, une qualité le plupart du temps.

Vrrrrrrrrr vrrrrrrrr

Son téléphone portable se mit à vibrer, ce qui dernagea Onika.

Nic : Allô maman ?

Carol : Bonjour ma chérie, je ne te dérange pas trop ?

Évidemment, par politesse, Onika répondu que non.

Carol : Ça te dérange si je passe chez toi, ce soir ?

Nic : non.

Biensur que non ! Onika était d'ailleurs ravie, elle qui aimait sa mère plus que tout au monde, peut-être même plus qu'elle même. Elle se montrait très protectrice avec Carol, surtout que les scènes violentes de son enfance ne serait jamais oublié, gravé à tout jamais.

La jeune new-yorkaise qui avait été interrompu dans son travail reposa son cahier sur son bureau, ainsi que le stylo avec lequel elle écrivait. Elle se demanda ce qu'elle pouvait bien cuisiné pour sa mère ce soir.

La trinadienne avait très envie de faire plaisir à sa mère ce soir, que cette dernière soit fière d'elle.

Elle jeta donc un coup d'oeil dans le frigo, et le referma, sans surprise.

Toujours en se demandant ce qu'elle pouvait préparer, la jeune femme enfila ses baskets et sa doudoune, car les températures n'était pas élevé.

Elle ouvrit la porte, la referma après elle avec spin, descendit les escaliers à toute vitesse et se rendis dans le super marché du coin.

Elle scrutait chaque rayon susceptible de lui donné des idées de repas, quand tout à coup, deux jeunes femmes au fond du magasin l'interpella.

Onika avait l'impression de les connaître, mais mettre un nom sur ses visage lui été impossible.

L'une avait une longue chevelure rousse, qui lui arrivait à la taille. Elle portait un bonnet noir et une doudoune de la même couleur. Son pantalon kaki mettait en valeure se longue jambe.

L'autre était noire, mais elle ne portait pas de mèche, pas de tissage. Ses cheveux au naturel était court, mais souligné son jolie menton. Elle avait une doudoune bleu marine, ainsi qu'un jean noire.

"Mais -est ce que je les ai déjà vu ?!" se demandait Onika.

Les deux femmes ma troublait énormément, alors elle décida de s'approcher d'elle.

Elle fit semblant de vouloir prendre la sauce tomate, rayon où les deux jeunes femmes se trouvaient.

En avançant vers elle, Onika sentis comme une force les attiré, une aura... Les deux jeunes femmes dégageaient une force, indescriptible mais la trinadienne le sentait bien.

Elle prit un pot de sauce tomate au hasard, en dévisageant les deux jeunes femmes. Onika se rendis compte qu'elles parlaient, dans une langue qui lui était inconnu, mais malgré tout, elle avait l'impression de comprendre chaque phrase, chaque mots.

La black et la rousse s'arreterent subitement de parler quand elles comprirent qu'Onika comprenait ce qu'elles disaient.

La rousse, une peu plus petite que l'autre, lança alors à l'intention de la trinadienne :

La rousse : On ne sait pas déjà vu ?

Onika ne se rendit pas compte tout de suite que la question lui été adressé. Il lui fallait quelques secondes pour qu'un son sorte de sa bouche. Elle n'arrivait plus à parler, elle bafouillait.

Quand Onika arriva à aligner trois mots, elle disa :

Onika : Si, il me semble... Tu t'appelles ?

S'il y avait bien un truc qu'elle détestait, c'était de ne pas savoir à qui elle parle.

La rousse : Tressa, et voici Seïsa. Et toi ?

Onika : Onika.

A coter des deux Tressa et Seïsa, le prénom "Onika" paraissait banale.

Onika et Tressa faisait connaissance, dans un super marché.

Seïsa ne parlait pas beaucoup, elle se contentait de hocher ou secouer la tête.

Onika jetta un coup d'œil sur son portable, et s'aperçut qu'il était déjà 13h, et que cela faisait déjà 40 minutes qu'elle parlait avec des inconnus.

Le fait de les connaître la troublait énormément, mais la raison pris le dessus.

Onika mit fin à la conversation et leur dit aurevoir. Tressa lui proposa alors de manger avec elle, mais onika pensait "je ne les connait pas !!" mais elle déclina avec politesse l'invitation.

Elle finit ses courses, les paya, et rentra chez elle. La trinadienne n'arrêtait pas de penser Tressa et Seïsa, ces deux femmes qui lui parraissent si proche mais si inconnu aussi.

Dans l'après-midi, elle appela son grand frère Jelani. Mais lorsque juste après, elle voulu prendre l'air, elle revu Tressa et Seïsa.

Tressa : Onika ! Nous te proposons un marché...

Seïsa : n'a tu jamais rêver de devenir célèbre ?

Tressa : prends ce peigne magique...

Seïsa : quand tu te peingeras avec, tu deviendra la rappeuse célèbre que tu as toujours souhaité être

Tressa : mais ! Tu renonces à l'amour. Le véritable, amour

Onika prit le peigne et s'enfuie chez elle... Elle avait besoin de réfléchir.

Choisirait-elle l'amour ?

Ou la célébrité ?

Dricki [fanfiction]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant