le soir tu t'endormais en souriant,
c'était beau et appréciable
cette douce chaleur irradiant,
jusqu'à ton coeur, elle était palpable.sourires volés,
rires envolésl'atmosphère était douce et chaleureuse,
l'amour flottait avec les particules d'air
sans grande difficulté. tu étais heureuse.tu n'y aurais pas cru,
même si on t'avais prévenue.
car la désillusion est apparue
de manière brutale, imprévue.comme la foudre, elle a frappé.
d'une violence sans nom,
enfin si ;
son nom à lui.tu l'aimais mais qui était-il ?
il t'as brisé sans bouger d'un pouce
ridiculement triste
tu erres maintenant sous la pluie douce,
fine et agréable,
tu espères quand même qu'elle te noiera,
avant que tu décides de le faire.ton coeur se ronge tout seul,
avec tes espoirs illusoires
et tes amours désespérés.
peut-être qui aime cet art.celui de s'auto-détruire.
ces rires volés
et sourires envolés.
n'était que fruits de l'amitié.rien de plus,
rien de moins.donc maintenant,
tu t'endors le soir en pleurant
espérant noyer tes sentiments
et voulant les rendreinexistants.
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Mots pour maux
شِعرde mon esprit coulent de fines pensées, pas si belles que ça d'ailleurs... mais j'essaie de les enjoliver histoire qu'elles plaisent un peu ailleurs. ceci est un fourre-tout de morceaux d'âme, de cœur brisé et de larmes balayées. ces douleurs vien...