(Fanfiction Hazbin Hotel) Blood est un pêcheur au passé douloureux. Une fois en enfer, il se fait connaître par son Golden Show, un théâtre/ salle de concert qu'il a créer lui même. Cependant, son passé refait surface. Sera-t-il capable d'affronter...
Alarie n'a pas tardé à arriver. Au bout d'une petite dizaine de minutes, il toque déjà à la porte de ma loge. Je me tourne vers lui, souriant. Je le vois légèrement inquiet en me voyant en fauteuil roulant, avec un plâtre au pied. Je lui raconte alors ce qu'il s'est passé depuis mon combat contre le groupe de démons jusqu'au moment où mon père m'a ramené ici. Il m'écoute sans dire un mot jusqu'à ce que j'ai terminé.
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<< Blood je pense pas que se soit une bonne idée de le pardonné tout de suite s'il t'a abandonné. Cherche a savoir pourquoi et vois après si il ne te laissera pas encore. - Il m'a expliqué que... C'était à cause d'une dispute avec ma mère qui a mal tourné... Un truc comme ça. - Il aurait dû resté en contact avec toi et ton frère. - Ouais, je comprends pas pourquoi il n'a pas osé le faire... Je lui en veux tellement ! - Alors ne lui pardonne pas maintenant? - Je n'en ai pas envie, mais ce qu'il me trouble c'est qu'il m'a quand même aidé quand je me suis attiré des ennuis hier. Pourquoi maintenant ? Pourquoi après tant d'années... - Je ne sais pas, peut-être qui cherche qu'elle que chose? (Je ne répond pas de suite, cherchant mes mots). - Oui... P-peut-être... (Je commence à bégayer. Je suis inquiet à la simple pensée que mon père soit venu m'aider par intérêt.) - Ne t'en fais pas. - Mouais... Je n'arrive plus à réfléchir clairement Alarie. - Repose toi et réfléchi à ça. - Oui tu as raison. Merci Alarie. - De rien Blood. Mais je suis désolé, je ne vais pas pouvoir rester plus longtemps. Par contre si tu as encore besoin de parler à quelqu'un n'hésite pas à m'appeler je ferai tout mon possible pour venir te voir. - C'est vraiment sympa, merci encore. À plus ! >> Sur ce, il me fait un clin d'œil avec un petit sourire en coin, ce qui me redonne un peu de joie que j'avais perdu depuis la veille. Je le regarde partir, restant assis le regard dans le vide, me demandant qu'est-ce que je pourrais bien faire.
