Disappearing when you wake up

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Vous savez la scène dans Twilight où Bella c'est fait laisser par Edward et qu'elle reste des mois assis dans sa chaise et voit passer les saisons? Et bien je me sentais exactement comme ça se matin en me réveillant. Je voulais que ce sois un cochemard mais, ce ne pouvais pas être ça. Je suis dans l'entré de chez moi et je ne dis pas un mots. Le silence règne dans mon esprit tout comme celle de mon frère. Je crois qu'il est plus choqué à propos d'hier que moi je le suis. Je descend dans la cuisine pour ramasser mon dîner avant d'aller en cours.

-Livia, ton père va venir te chercher ce soir.
Dis ma mère avec une voix stricte. Je fronce elles sourcils doucement en la regardant du coin de l'oeil.

-Pooooouuuuurquoi ?

-C'est rendu dangereux à l'extérieur et tous la ville est en alerte de panique.
Dis-t-elle en fesant des sandwich.

-C'est ridicule. Il faudra bien que quelqu'un le trouve gars un jours.

-Oui eh bien c'est le rôle de la police de trouver les criminels et toi tu doit rester à l'abri de ce gars.

-Je suis grande maintenant. Je peux...
Je n'ais pas le temps de finir ma phrase qu'elle me coupa la parole.

-Livia! Arrête de t'obstiner avec moi, ton père va venir te chercher.
Mes yeux roule vers le haut comme un réflexe et je me dirige vers la porte d'entrée.

Je sorti de chez moi. Dans la rue, je sent quelqu'un agripper ma main et me tire vers en arrière. Cette personne à la veste noir m'amène sur la parois de l'immeuble où j'habite. Il enlève son capuchon et c'est bien la personne que je croyais. Vinnie me fait un sourire idiot mais, l'envie de lui frapper le visage était plus présente.

-Aouch!
Tout compte fait, il l'a bien mérité.

-Désolé c'était plus fort que moi.

-Je devrais appeler le service de violence entre conjoint et conjointe.
Dis-t-il en souriant.

-Oh t'a pas remarqué ont est plus ensemble.
Son sourire disparu automatiquement de son joli visage. Je ne m'attendais pas à se que ça le dérange que nous soyons plus ensemble. Peut-être parce que j'ais toujour l'impression que les garçons sont trop orgueilleux en général.

-Ouais, alors pourquoi tu me regarde toujours avec ses yeux là?

-J'ais toujours ses yeux là Vinnie.

-Peux importe, les menbres de ma famille veulent te voirent.
Des points d'introgations se dessine dans mes yeux. En quelle raison sa famille voudrai me voir

-Pourquoi?

-Je peux pas t'en parler là maintenant parce que c'est pas tout le monde qui devrais entendre.

-y'a personne ici.
Sauf sur l'autre côté de la rue

-Nah mais je préfère pas.

-OK mais mes cours?
Nous nous obstinons de plus en plus et les gens de l'autre côté de la rue ce demandait quesqu'il se passait

-T'es cours tu peux te les mettre là où je pense de toute façon c'est pas comme si tu en avait besoin.

-Oui je dois quand même pouvoir gagner ma vie plus tard!

-T'est une bonne gangster tu sais? Tu tire bien, t'es intelligente mais, un peut chiante.

-oh! Espèce de connard tu veux qu'ont parle de toi!? Toi t'ais beau à l'extérieur mais t'es comme tout les gars de New York. Née avec une cuillère en argent planté dans le cul.

-t'a fini?
Il lève un sourcil en direction du ciel.

-Oui et je part.
Il agripper une fois de plus mon bras comme une vulgaire poupée de chiffon.

-Non livia tu viens avec moi c'est important.

-Non j'ais pas le t......hé!
Il se pencha et me leva comme un sac de pomme de terre sur son épaule. Surprise par l'événement je me laissant tomber comme une gélatine. Je suis impressionné par le fait qu'il est toujours debout et marche très droit même si il à un poids de 134 livres sur son épaule droite.

Je commençait à me débattre sur son épaule mais, pas trop pour ne pas tomber car, comme ma tête est en direction du sol, je ne voudrais pas la fracasser contre l'asphalte. Il n'a pas l'air plus dérangé que ça même si je fait des légère frappés dans son dos. J'entend une portière s'ouvrir. Il se baisse pour me rentrer dans la voiture mais mon crâne de fait frapper par de dessus de la porte.

-Aouch

-Oups désolé.
Dit-il non chaland. Je suis même sur qu'il là fait exprès. Mes fesses tappe les banc de la voiture et Vinnie ferma la porte.

-Bonjour ma demoiselle.
Dit une voix heureuse en anjouer.

-Billy voulez-vous bien la fermer.

-Vos désirs son des ordres
Pfff

Sur le chemain je ne pouvais m'empêcher de faire la gueule. Les bâtiments de New-York disparaîssent de plus en plus que l'on s'éloigne vers la manoir. Vinnie parlait tout le long du trajet au téléphone. C'était peut-être pas vrai, il fesait surment semblant. Quand nous arrivions devant la grosse baraque, je sent le même sentiment qui m'es apparue la première fois que j'ais mis la pieds ici.

Rien n'a changé sauf les arbustes mieux taillée que la dernière fois. Billy se stationne devant l'entré et il descend de la voiture pour m'ouvrir la porte. Vinnie se précipita pour me tendre sa main mais, je refuse instantanément en la poussant.

Inutile de vous dire comment il manifesta un sentiment de bizarroïde après que je lui ais passer un vent.
Billy lâche un petit rire en coin et le caché avec sa main décoré d'un gants blanc.
Je me rend au bout des marche, juste devant la portes et elles s'ouvre tout seule.

En fait les pingouins sont derrière mais, aucune chance de les voir de l'autre côté des porte puisqu'elles son immense.

Le père de Vinnie apparaît devant et il à l'aire de m'attendre le pied ferme. Quesque j'avais fait pour qu'il m'entende comme ça. Il prend une grande respiration avant de marcher vers la droite.

-Suivez-moi.

WHEN THE BIRDS SING~ Vinnie HackerOù les histoires vivent. Découvrez maintenant