Attaque et fuite

3 0 0
                                    

Mon réveil n'a pas été aussi tranquille que je l'espérais. En effet car c'est le bruit d'un combat et des tremblements de la terre qui me fit ouvrir les yeux. Tout de suite, je saute de mon lit pour aller à la fenêtre et ce que je vis était une vision d'horreur. Une mer de monstre était en train de piétiné la capitale, même de ma chambre je pouvais entendre les cris d'agonie du peuple qui tombait impuissants face à cet enfer qui s'abattait sur nous. J'étais terrifié. Mon peuple souffrait et mourrait à cause de moi. Des larmes coulait sur mes joues tandis que j'entends d'un coup le bruit d'une porte explosé sous les coups. Je baisse les yeux et vois avec effroi les monstres rentrée dans l'enceinte du château. Sans prendre la peine de réfléchir, je cours dans les couloirs pour rejoindre la grande salle du trône. Soudain, un tremblements secoue tout le château et me fait trébucher. Alors que je m'étale par terre, j'entends le bruit d'un combat au bout du couloir quand un bokoblin émerge de celui ci et tourne son regard vers moi. Malgré moi, mes larmes se remit à couler sur ma joue. Même si, au vu de sa couleur orange, c'était un des plus faible bokoblin, j'ai comme même peur. Je ne veux pas mourir. Je compris qu'il fallait que je bouge quand le bokoblin ce jeta sur moi en criant, arme à la main, mais mon corps refusait de bouger d'un millimètre, j'étais pétrifié. Alors que je voyais ma mort arrivé en même temps que le gourdin en bois s'abattait sur moi, Impa sorti de nul part et trancha le bokoblin en deux avant de se retourner vers moi.

- Votre Altesse !! Tout vas bien ?

Avec elle, deux autres guerrier sheika se précipita vers moi pour m'aider à me relever.

- Je suis désolée... Je n'arrivais plus à penser correctement. Je suis désolée, c'est ma faute. A cause de moi...

- Votre Altesse, rien de tout ça n'est de votre faute. Vous avez fait tout ce que vous avez put. Alors relevez vous et venez avec nous, nous devons vous mettre en lieu sur.

A contre coeur, je me lève et me met à courir derrière Impa suivis de prés par les deux autres guerrier qui sont restés silencieux tout du long de notre fuite. Impa nous fit passer par plusieurs couloirs en tranchant tout les monstres, de bas niveau heureusement, que nous croisons. Nous courons depuis plusieurs minutes quand nous sortons enfin à l'air libre, je nous pensais un peux plus en sécurité quand Impa me plaqua contre le mur, sa main sur ma bouche pour m'empêcher de faire le moindre bruit quand j'entends un immense brouha à côté de nous. Je tourne mon regard à l'angle du mur avec Impa. Nous regardons toute deux la scène et nos visages se décomposa. Devant nous, dans la grande cour interne du palais, des centaines de monstres acclamaient leur victoire et des cadavres de soldats gisaient au sol. Je lève un peux plus mon regard et cette fois ci, c'est tout mon être qui est pétrifié d'horreur. Sur l'estrade se tenait un homme grand en armure à la peau mat, il avait le sourire au lèvre en soulevant son trophé de sa main gauche. Je sus tout de suite avec les descriptions faîtes par les livres, que j'avais en face de moi l'incarnation du mal que les légendes contes: Ganon.
Mais je n'étais pas tant pétrifié par les monstres qui marchaient sur les corps des soldats, ni par la tête de mon père en sang dans la main de Ganon mais bien par le symbole gravé dans sa main et qui luisait d'une faible lumière : la Triforce. Et pas n'importe laquelle, dans sa main gauche brillait la Triforce du courage. Dans la main de l'incarnation du mal brillait la Triforce qui devrait briller sur la main du héro.
Je ne pouvais plus parler, plus penser à quoi que ce soit. Tout ce dont je me rappelle c'est d'avoir été tiré par Impa qui avait pris ma main pour me tiré hors de cette enfer et d'avoir couru encore et encore jusqu'à ne plus pouvoir tenir sur mes jambes. Je me rappelle d'Impa crié alors que je tombais inconsciente dans un sommeil agité et infernal.

720 mots

Un Monde InconnuOù les histoires vivent. Découvrez maintenant