PROLOGUE

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Selon les Davoliens de l'antiquité, la planète Terre était constituer à l'origine d'êtres humains en loi avec la nature et notre peuple actuel. Nous étions un tout complet, si unis et en parfaite symbiose ensemble que les populations mères voulaient abolir ces égalités car selon eux, nous ne devions pas nous rabaisser à un statut aussi misérable que celui de l'Homme. D'après eux, notre royaume, Davalone, ne pouvait pas être comparer et accepter des êtres humains sur ses terres sacrés.

Les Eradiés eux, ne possédé pas ce même état d'esprit, ils voulaient se battre pour cette justice et cette plénitude qui nous habiter lorsque nous cohabitions tous ensemble. 

Quant à nous, les Euclide, notre avis ne compter pas pour la population mère, nous étions comme les rejeter de ce cosmos. 

Mais laisser moi vous en apprendre d'avantage...

Davalone un astre tournoyant dans la nébuleuse du printemps avait réussi dans l'antiquité à voyager entres les mondes, de la planète Terre où vivent les humains, à notre planète qui autrefois était faite de paix et d'harmonie entre chaque populations. Mais lors de la guerre qui éclata entre les Humains et nos populations mères, s'en suivit un autre peuple, les Eradiés. La fin pour nous tous, habitants de Davalone avait été annoncée. Mais après une guerre acharnée qui dura prêt de 1300 années, seulement 8% de la population de Davalone a réussi à survivre et ça en partie grâce aux Eradiés. 

Les populations mères, se regroupant entres les principautés, la royauté de cette planète en faisait entièrement partie, il était difficile d'entrer en contact avec eux, il nous était strictement interdit de nous mélanger ensemble, car selon leurs visions des choses nos sang étaient totalement différent et assez pure.

Les Eradiés, un groupes de déserteurs ne vivaient nullement dans le royaume, reculé dans les contrés les plus lointaine de Davalone, leurs terres étaient les plus dangereuses. Personnes n'osait y mettre les pieds, à part les étrangers, mais ils disparaissaient immédiatement, c'était comme si ils n'avaient jamais exister... La défaite de cette guerre contre les populations mères les avaient éloignés de tout. 

Quant aux Euclide, nous étions en quelques sortes les souffres douleurs, l'ignorance, la négativité et le chagrin planer dans les tréfonds de Davalone, nous avions finit par regrouper tous ici, comme si nous étions de vulgaire déchets qui étaient mit dans les ordures. 

Mais une légende qui nous était raconter lorsque nous étions enfant, parvenait à chaque oreille de chaque Euclidiens. Elle stipulait qu'une enfant au sang mêler soulèverait chacune des populations, les regroupant tous. Déserteurs, Euclidiens se soulèveraient ensemble contre les populations mères. Mais le plus surprenant dans tout ça c'était bel et bien que cette enfant planer et vivait chaque vies, les unes après les autres sur la planète Terre. Là était sa malédiction jeter par nos ancêtres de la population mère. 

Ce que je pense, c'est qu'ils avaient sans doutes peur de perdre ce pouvoir qu'ils chérissent tant. Perdre leurs richesse, leurs titres et leurs royaume. 

Tout ce que je peux vous dire, c'est que pendant toute mon enfance j'ai espérer rencontrer un jour cette femme, l'espoir est toujours là, celui qu'un jour cette femme apparaitra et nous sauvera tous, nous unissant nous et les Déserteurs. 

Nous ne pouvons pas continuer comme ça. Nous ne pouvons pas les laisser nous traiter de cette manière. 

Nous sommes comme eux, des habitants de Davalone, pas de simples pions.

DAVALONEOù les histoires vivent. Découvrez maintenant