CHAPITRE 1

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Point de Vue extérieur.

Nous entrons dans une ère différente des précédentes. Le monde, la vie, les différents peuples qui constitue notre hémisphère étaient tous présent ce jour là. Pour Davalone, planète orbitant autour du soleil le plus grand de notre galaxie, non loin de la nébuleuse du printemps, aujourd'hui était citer comme un «jour de fête». Mais du point de vue de beaucoup d'entre nous, surtout les déserteurs que nous nommons les éradiés, il était citer comme défaite.

En 723 après J-C, une guerre éclata entre la population de Davalone, et les êtres humains.

Mais aujourd'hui Davalone était devenue un champs de ruine dans de nombreux royaume. Mais le royaume d'Eradius, là où la population mère s'était installer, était devenue un véritable havre de paix. Malgré la royauté qui avait prit le pouvoir sur chacun d'entre nous.

Nous sommes réunis aujourd'hui pour célébrer ce jour ci important qui restera en mémoire de tous. Notre victoire contre le peuple de la Terre et les déserteurs. Célébrons cette fête comme il se doigt, sans oublier nos pertes qui ont été très nombreuses ces centaines d'années passées. Et gardons en mémoire cette unique chose. La population mère n'a perdue une seule guerre depuis plus de 2000 ans. Et il n'est pas dans nos futurs projets d'en perdre une seule sur les décennies et les siècles futurs qui arriveront.

Là était ses paroles qui résonnèrent dans ce calme immense qui régner depuis plusieurs minutes. Tout le monde s'était tu lorsque le grand Duc de Davalone s'était avancer sur l'estrade prêt du trône qui autrefois était adresser au grand Andreas Conelli. Ce nom qui autrefois avait été synonyme de vertus, de discipline et de grandeur pour chaque habitants de cette planète avait été remplacer par celui de Naalo grand Duc de notre pays. Il gouvernait à présent chaque peuple qui vivait à Eradius sans compter les Eradiés qui eux ne se soumettait à une quelconque force patriarcale venant de cette cité.

Autrefois Eradius était habitée par les déserteurs, il s'agissait de leurs maison, de leur histoire, chacun de leurs générations avaient battit cette cité. Mais à la disparition du roi Andreas Conelli, il ya de ça 20 ans, le Duc Naalo avait chasser les Eradiés de leurs terres. Ces derniers se rapatriant dans les terres les plus isolés de Davalone se retrouvèrent en clan dans les déserts les plus profonds et les plus secs du pays. Hostile, froid et dangereux c'était bien là les traits de caractère qu'était les déserteurs.

Dans ce palais immense où ils étaient tous réunis, on pouvait apercevoir des personnes très importantes aux yeux de la royauté à Davalone, tel que les nymphes qui en ce jour de fête avait prit forme adulte, elles étaient tellement magnifique, que de là où nous nous trouvions, leurs peau parsemées de milles et une étoiles, briller de milles feux. Je les enviais beaucoup, elles étaient toutes d'une beauté sans pareil, mais le seul inconvénient qu'elles avaient était de ne pouvoir procrée. Beaucoup d'entre elles n'avait jamais accepter leurs vraies nature, et elles étaient bannis à vie de la cité, se retrouvant dans les tréfonds de Davalone, parmi un peuple qui ne possédé aucune lois, aucuns gardiens, seulement un souverain qui accepter à bras ouvert les bannis.

La seconde espèce que nous pouvions apercevoir parmi toute cette foule, était les fées, ces créatures si pure et si frêles, qu'elles étaient tenu à l'œil par des gardes centaures qui les protéger sans trop les brusqués.

Tout ce jolie peuple finalement réunis et accompagner par les populations mères qui elle cacher soit leurs apparences qui pouvait montrer leur différence d'un physique humain, soit des aptitudes qui leurs avaient été offert dès leur naissance. Nous ignorons totalement la puissance que les populations mères pouvaient avoir, c'est bien pour ça que aucuns peuple n'osait se soulever d'une quelconque manière, quant aux déserteurs, ils l'avaient fait une fois, il ya 2000 ans de ça, ils savent donc de quoi ils sont capable. Les déserteurs n'avaient pas perdu car ils n'étaient pas assez fort, mais plutôt par un manque d'effectifs, ils n'était qu'une petite centaine à se battre pour cette paix qui était menacer, et pourtant ils avaient pu faire des dégâts très lourd pour la royauté.

DAVALONEOù les histoires vivent. Découvrez maintenant