Je pensais souvent,
Que lorsque souffle le vent,
Nos craintes et nos peurs,
Nous quittaient dans cette noirceur.Mais ce n'était pas le cas,
Elles demeuraient là,
Aussi épuisantes les unes que les autres,
Comme si c'était de notre faute.Alors je rêvais de m'échapper,
Dans un univers un peu plus joli,
Pardon si je suis malpolie,
Mais j'en avais marre de cette folie,
Et de notre monde démoli.Mon âme remplie de tristesse,
Et mon cœur de gentillesse,
Je continuerais de rester avec toi,
Même si tu ne veux plus de moi.
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Idées Brisées
PoesíaOn dit que la vie est belle. Mais qu'est-ce qu'il y a de plus beau que celle-ci ? Les mots. Les mots ont un pouvoir trop sous-estimé, ce sont nos armes les plus puissantes, plus tranchants que la plus tranchante des lames. Ce recueil contient des p...