chapitre 3 : La phrase de trop.

48 4 0
                                    


00h30

- Les gars on va partir. Alix est bourré et elle a court demain.

- Pas de soucis ramène la vivante s'il te plaît dis Lucas en l'embrassant sur le front.

C'est mignon, il s'inquiète pour elle.

- Au-revoir les copains !!!! Dis Alix en gueulant.

Cette fois c'est a mon tour de la géré. Elle est insupportable quand elle est bourré.

- Je te raccompagne dit le blond.

- Nan tu n'es pas obligé, je sais me débrouiller toute seule dis-je froidement.

Il ne va jamais me lâcher ou quoi ?

- C'était pas une question.

Il décide donc de me raccompagner jusqu'a ma voiture. Alix monta du côté passager et commençais déjà a s'endormir sur la vitre.

- On se revoit quand ?

Se revoir ?

C'est une blague la ?

Il me fixait en attente d'une réponse.

- Jamais lâcha-je froidement.

Son regard se refroidit.

- Ne crois pas que je veux te revoir pour te sauter, tu n'en vaut pas la peine.

Ma main claqua violemment sa joue.

Je n'ai pas pu me contrôler.

- Je rêve où tu viens de me frappé ? Dit-il étonnés.

- T'est aveugle ou t'en veux une autre ?

Avant qu'il puisse répondre, je me glissa dans ma voiture pour ne pas lui faire face.
Je démarra la voiture a toute vitesse et parti en direction de notre maison.

Il était allé trop loin. Lui avait tout les souvenirs de cette nuit et moi je n'avais rien et la situation l'amusait tellement.

Un gros sadique.

Il pouvait utiliser c'est informations contre moi. Il savait tous et je ne savais rien.

Le lendemain : 7h45

Le réveil d'Alix n'arrêtais pas de sonner depuis au moins cinq minutes.
Je décide de me lever pour la réveiller.

Elle va loupée des cours cette cruche. Bon je suis pas là mieux placée pour parler.

- Alix, putain réveil toi criais-je.

- mmhh... Laisse moi dormir.

Dans tes rêves.

- Je rigole pas, lève toi tu va être en retard.

- Tu va en cours aujourd'hui ?

- Nan Alix je travaille aujourd'hui dis-je désespéré.

Mon patron Barri a besoins de moi pour les commandes. Car Caroline la stagiaire est malade.

Alix me fixa d'un air étonnée.

- Tu m'avais dis que tu allais en cours cette semaine ?

Je dis sa a chaque fois.

« Un amour accidentel »Où les histoires vivent. Découvrez maintenant