Chapitre 1

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Venise, 6:30, Vendredi :

     Verre de whisky en main, cigarette en bouche, j'étais assis sur mon fauteuil entrain d'observer la vue sur Venise. Ma baie vitrée donné la vue sur l'ensemble de la ville. Je regarde ce beau paysage à chaque fois que je suis déprimé ou en colère, ça dépendait des jours et surtout de la situation où se trouvé le Cartel. Et aujourd'hui j'étais putain de déprimé. Ce connard de Levgueni Gavrikov nous faisait encore des siennes. Et ça, ça commençait à me les briser. Les russes tous les même... 

     Quelqu'un toque à ma porte. Je lui dis d'un ton ferme d'entrée. Je me retourne et je vois mon frère, Giovani Landsky. Celui ci s'assoie sur la chaise se trouvant en face de mon bureau, les bras croisée et le regard rivée sur moi. Comme d'hab.

     Meme si nous ne possédons pas le même sang qui coule dans nos veines, mon frère et moi partageons les meme points en communs. Comme la passion pour les voitures de courses par exemple. Nous  collectionnons des voitures miniatures depuis qu'on est gosse. Maintenant c'est ceux d'origines qu'on collectionne. Et ces graces à ses ressemblances que nous sommes aussi fusionnelles de nos jours. Certes nous nous disputons souvent, très souvent mais la plus part du temps ce n'est que de la plaisanterie ou des blagues de merde qu'on s'envoie à la gueule à longueur de journée. Je ne crois pas avoir eu de réel engueulade avec lui...A si une fois. Je lui avez piqué son pain au chocolat en primaire. On c'est bagarré et on sait bien fait réprimander par le padre(père).A la jeunesse je vous jure on n'était tellement con à l'époque...

-Mon frère, on est dans la merda(merde). Dis t-il en prenant une cigarette qu'il emprisonne entres ses lèvres. Lentement il active son briquet et allume sa clope. Ce chien de Gavrikov nous a voler de la drogues et ça c'est pas bon pour nos affaires. Poursuit-t-il en aspirant la nicotine. 

-Merci, j'étais pas du tout au courant. Dis-je d'un ton agacé en me re servant un verre de Whisky. Ce sal*p je vais le tuer un jour crois moi. La dernière fois qu'il nous avais fait un coup bas, j'ai failli l'étriper ce cane(chien). Criai-je les poings fermés et les dents serrées.

-Oui ça c'est très mal fini et t'a failli perdre une main, tu t'en rappel ? Dit-il les bras croisées. Mon regard croise le sien. 

      Mon frère se lève et regarde lui aussi la baie vitrée tout en fumant ça clope. Lui il regarde le paysage seulement quand il re pense a des souvenirs douloureux. Il pense a moi c'est adorable. 
Souvent on le voit, le regard vide. Ça n'a pas toujours était facile. On a connu des bat et des hauts dans notre réseau. Mais on a toujours remonté la pente, quoi qu'il arrivait. Mais les souvenirs restent...même quand on veut les oublier.

     Et en parlant de Gavrikov, j'aurais du le flinguer depuis longtemps mais cette abruti trouve toujours un moyen de nous échappaient. Et quand j'arrive a ça de lui pulvériser sa petite gueule, y'a toujours un type qui m' en empêche. La dernière fois j'avais mon glock pointait sur son front mais son cousin est arrivé à temps pour me mettre une balle dans le bras. J'ai voulu le tuer mais c'est moi qui me suis pris une balle, quel ironie du sort. 

-Je sais. Je bois mon verre en une traite et me rassoie sur mon fauteuil. Vous avez trouvé la trace de Levgueni ? demandai-je en regardant quelques documents confidentiels sur mon bureau qui traînaient ici et là.

-Non. Mais Lio est entrain de faire des recherches. Dit t-il en se levant. 
    
     À coté de mon bureau, se trouve une armoire remplis de verres et de bouteilles d'alcools en tout genres : whisky,vin, Vodka, Rhum, Soju etc. Giovani prend l'un des multiples verres et me prend la bouteille de whisky des mains. Il remplis son verre et me repasse la bouteille vide. Super...

Number 1 : MAFIAOù les histoires vivent. Découvrez maintenant