Une toile blanche, un pinceau dans une main qui pouvait signifier un crayon et un bout de
papier, mais c'était beaucoup plus que ça.Un visage un regard, un sourire.
J'adorais, dessiner ses yeux et les contempler pendant des heures, mais j'avais peur, peur que la symétrie ne soit pas là. J'avais peur de mettre de la peinture sur ma manche, fut étalé sur ma toile.
Un visage un regard, un sourire.
Il aimer se regard.Le temps est passé. La peur du renouvellement est apparu. Ma toile est devenue grise. Ce gris n'a pas voulu se détacher. J'ai donc décidé de passer à d'autres couleurs, des couleurs plus joli.
un visage un regard, un sourire.
Les jolies couleurs se sont mélangés et sont devenus noir. Elle me fut rappeler ce que le gris d'avant était celui qu'il me fallait.En réessayant te retrouver ce gris en mélangeant du noir et du blanc. Le résultat était jamais le même plus foncé au plus clair mais jamais au juste milieu et c'est là que tu as compris que tu ne le retrouver pas.
Le deuxième amour
