C'est comme ça

Chapitre 2

Je me réveilla donc ce matin à 8h15 et parti courir pendant une heure dans la forêt de Clairefontaine une fois cela fait j'alla déjeuner. Dans la salle du petit déjeuner je retrouva Antoine, Paul, Olivier, Hugo, Théo, Lucas, Raphaël, Kyllian et Benjamin:
- bonjour tout le monde, m'exclamai-je avec entrain.
- salut Louise, comment tu fais pour être de si bonne humeur le matin ? Me demanda Antoine.
- je vais courir, ça me réveille et fait du bien, après je suis en forme pour la journée.
- t'as du courage nous on en peu plus, ralla Lucas.
- vous êtes sportif ou pas ? Rigolai-je.
- c'est pas drôle on est épuisé nous, se lamenta Benjamin.
- en tout cas vous feriez bien de vous dépêcher il est bientôt 10h, leur rappelai-je.
- oui chef, me répondirent-ils en même temps et en partant en courant dans leurs chambres pour se préparer.
J'alla moi même dans ma chambre afin de prendre une rapide douche et de changer de vêtements, enfilant un ensemble de jogging à l'effigie de l'équipe de France. Je partie ensuite en direction du terrain où certains joueurs étaient déjà entrain de s'échauffer, je retrouva donc les autres kiné:
- bonjour Louise, tu as bien dormis ? Me questionna Gil avec un regard bienveillant.
- oui très bien, mais j'ai eu du mal à m'endormir car j'avais très hâte de commencer.
- c'est normal, tu vas voir normalement le matin c'est assez tranquille, on va surtout regarder et intervenir pour des chevilles, des genoux ou des cuisses. Le genre de choses qui se rétablissent assez vite, m'expliqua Chantal.
- d'accord super, ça me va.
Pendant environ 1h30 tous se passa bien jusqu'à ce que je vis Benjamin tomber au sol en se tenant la cuisse à la suite d'un choque contre Lucas. Je partis donc le rejoindre accompagné des autres kinés:
- laisse nous voir benjamin, demanda André
- laisse plutôt Louise, ça a pas l'air grave et comme ça on va pouvoir voir comment elle s'en sort, répliqua Gil
Je m'approcha donc de Benjamin et lui pris délicatement la jambe afin de pouvoir examiner sa cuisse. À priori rien de grave, je commença donc à le masser jusqu'à ce qu'il me dise qu'il n'a plus mal:
- c'est bon merci ça va mieux, me remercia-t-il
- y'a pas de quoi, n'hésite pas à venir me voir si t'as encore des douleurs à se niveau ce soir ou demain
- ok pas de problème
Une fois de retour au bord du terrain Chantal me dit:
- tu t'en ai plutôt bien sorti dis donc pour une première fois
- c'est vrai que tu as été efficace, me félicita Gil
- et puis le petit benji avait l'air content que ce soit toi qui le fasse, ajouta André avec un sourire en coin
- ah non hein! Commencez pas à vouloir me caser avec un des joueurs, je suis pas là pour ça !
- on verra, on verra, renchérit Chantal en rigolant de ma tête choquée
Le reste de l'entraînement se passa sans encombres, puis nous partirent manger.