chapitre 5

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Djibril

Djibril : je commence à bien l'aimer Sarah.

Océane: calme toi mec si c'est pour baise avec elle c'est mort.

Je la regard puis je rigole

Djibril : Non t'inquiète je vais bien prend soins d'elle

Océane: te vraiment un mec bizarre

Je la regard juste et je continue à fumer. Vous allez dire à 14 ans il fume oui je fume il ya pas d'âge pour fumer.

Sarah

Jeudi 8 septembre 2018.

je suis arrivée devant ma porte et je sonne et la il ya ma mère qui m'ouvre.

Ma mère : tu est été ou depuis tout a leur je te appelé mais tu répond pas , tu faisais quoi dehors sarah.

Sarah: j'étais juste dehors avec mes amis c'est tout.

Ma mère : quelle amis des garçons ?

Sarah: non des fille.

J'étais obligé de la mentir parce que ma mère ne veut pas que je traine avec des garçons elle pense que si je traine avec eux ils vont me manipuler et ils vont juste vouloir coucher avec moi. mais moi je crois pas, tout les garçons ne pas pareils.

Je commençais à avoir un vide en moi, je me demande pourquoi je sent ce vide quand j'étais petite j'avais jamais ressenti un vide comme je le la maintenant en dirait qu'il manque quelques chose un amour mais je pas quel amour.

Depuis l'âge de me 11 ans je crois plus en l'amour car aucun garçon venait vers moi pour me dire que j'étais bellle, aucun garçon ma réellement aimée je toujours était enfermé à moi-même j'ai vraiment du mal m'ouvrir au autres même moi propre père ma jamais aimé donc je crois plus en l'amour quand je vois les gens se mettre en couple et qu'il s'aime vraiment je me dis que j'arrive seulement autre et que arrivera jamais à moi.

Bref je monte dans ma chambre et je me change, je met un jogging gris avec un crop top de base j'aime pas sa mais je me dis c'est juste pour dormir

Ma mère: sarah vien manger.

Moi: je pas faim

Ma mère: vien manger tu vois pas comment te maigre.

Je la réponds pas , ma mère me fait toujours de remarque sur mon corps que je suis trop maince que il font que je grossis parce que femme ne peut pas rester maince bref de remarque comme sa .

Moi et ma mère nous avons jamais eu un bonne complicité elle sait que me crié dessus a chaque choses qui va se passer.
Moi qui pensais que en venant en France je serais heureuse et que j'aurais une bonne complicité avec mes parents surtout ma mère.

Histoire d'une VieOù les histoires vivent. Découvrez maintenant