😌🔞 TRIO 🔞😌
Chap. 10
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Une semaine c’était écoulée depuis le jour où j’avais emmené Géraldine chez moi pour qu’elle découvre où j’habite. Et bien entendu nous avions baisé ensemble. C’était inévitable. Je dois dire que Géraldine est une belle salope. Le genre de fille avec qui un mec aimerait coucher. Elle est bien foutue physiquement, un corps de rêve qui ferait fantasmer un prête. Son teint clair métisse la rend attirante et charmante. C’est son physique de bimbo qui la rend vraiment intéressante. La voir nue est un plaisir pour les yeux.
Elle a le dos un peu cambré qui fait ressortir la forme bien arrondi de son bodje (gros postérieur). Un cul bien rebondit que j’ai bien cogner avec joie en la culbutant en levrette pour la prendre comme une chienne. Et elle a adoré ça. Géraldine a un regard de biche qui me fait fantasmer dès qu’elle me fixe avec son magnifique sourire qui illumine son joli visage. Impossible de la regarder sans penser à lui faire des cochonneries. Géraldine, elle me fait bander sans forcer. Il suffit de poser juste mon regard sur elle et je la vois nue pourtant elle est habillée.
Depuis qu’on a couché en semble, et remit ça plus de 5 fois en 6 jours, je m’imagine souvent en action avec elle dans toutes les positions sexuelles possibles. Géraldine à fait de moi un homme comblé, sexuellement, car elle est chaude au cul et elle aime baiser avec moi. Géraldine hante mes pensées, mais je garde les pieds sur terre. Car en réalité Géraldine aime l’homme et la femme. Oui, vous m’avez bien entendu Géraldine est Bisexuelle. Mais hétéro la plupart du temps. Elle m’avait confié avoir été déçue par son premier mec, sur le plan sentiment, quand elle était une ado.
Elle s’est tourné vers les filles après avoir été gouiner par une copine lesbienne chaude au cul qui la baisa et l’initia au sexe entre fille. Et depuis Géraldine a un penchant pour le sexe entre filles. Mais elle m’a avoué préféré l’homme car elle a souvent envie de sentir une bonne bite lui défoncer la foufoune et qu’elle la prenne pour la baiser comme chienne ou pute. Elle m’avoua aussi avoir gouiner Mélissa. Et depuis cette expérience sexuelle inédite pour un délire sexuel entre elles, il leur arrivait de coucher ensemble en mode « lesbienne » chez Géraldine. Elle me précisa que Mélissa est sa « sexfriend ».
C’est comme ça que j’ai demandé et supplié Géraldine de permettre de les voir en train se gouiner et participer en les laissant le control. Géraldine accepta mais me demanda de lui donner un peu de temps pour en parler à Mélissa et la convaincre de jouer le jeu pour un délire sexuel à TROIS. J’ai patienté quelques jours. Un soir dans la semaine, j’obtins la réponse de Géraldine. Le rendez-vous fut pris pour le weekend. Le jour-J je suis allé les chercher en voiture dans leur quartier. Nous sommes allés boire et bavarder dans un bar. L’ambiance était bonne et détendue.
Après une tournée bien arrosée, on s’est levé pour aller chez moi peu avant l’heure du confinement. A peine arrivée chez moi, Géraldine s’est jeté sur Mélissa. Elle a commencé à l’embrasser devant moi. Mélissa se laisse faire sans être surprise ou gênée. Elles s’embrassent en fermant les yeux. Je les regarde en souriant et appréciant ce spectacle qu’elle m’offre. Voir ces deux filles métisses se bécoter sensuellement m’émoustille. Je suis rapidement tout excité et je veux en voir. Les deux filles m’ont regardé en souriant.
Moi : Faites comme si je n’étais pas là.
Mélissa : LOL ! Ah bon hein ?
Moi : Oui ! Mettez-vous à l’aise !
Géraldine : Commence par te mettre à l’aise !
Je décide d’ôter mes habits et de ne garder que mon slip noir Calvin Klein. Un peu gêné mais tout de même excité, je reste debout en slip devant les deux filles qui me fixer. Géraldine m’avait déjà vu nu. C’est le regard de Mélissa qui gênait un peu. Mais très vite, je remarque par l’expression de son visage souriant qu’elle ne semble pas déçue en voyant mon corps. Elle regarde avec intérêt mon gros sexe au repos. Mélissa me propose de m’installer sur canapé. Et de bien les regarder faire l’amour car cela n’arrivera pas tous les jours. Une occasion comme ça, j’en rêvais depuis longtemps.
