Prologue

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Rwoine, voila comment je m’appelle, R-W-O-I-N-E , un prénom originale écrit d’une façon particulière, pour ma mère j’aurais dû être une enfants particulier, ma mère n'aurait pas dû tomber enciente de moi, la naissance de ma soeur aînée la presque rendu fertile à son plus grands désespoir mais un ans plus tards me voila, j'étais à ce moment là son plus grands miracle, j’ai même failli m’appeler miracle ou encore espoir mais heureusement mon père s’y est opposé, sauvé par le gong comme on dit, c’est donc comme ça que je me suis retrouvé à m'appeler rwoine, Rwoine Marie Swan.

je suis née le 10 juillet 1988, un ans après la naissance de ma grande soeur isabella, malheureusement pour moi et ma soeur nos parents on divorcé deux mois après ma naissance, ma mère Renée nous appris avec elle pour vivre chez notre grands mère en californie puis nous somme allée à riverside après que ma mère eu son diplôme d’enseignante, quands j’ai eu 5 ans on a emménagé à phoenix, moi et ma soeur nous rendons souvents visite à notre père pendants les vacance d’été, j’ai toujours adoré aller là-bas, les jours de pluie récurrente dans cette ville plus l'immense forêt qui l’entoure m'a toujours attiré et rendue heureuse.

je me suis toujours mieux entendue avec mon père charlie qu’avec ma mère, malgré que j’était l’enfants miracle de renée le faits que je ne partager absolument pas les même sance d'intérêt qu’elle et le fait que je préféré être seul que de rester avec elle ou ma soeur n’a pas était a mon avantage, j’ai toujours trouvé que ma mère se comporté souvent comme une enfants, mon père lui, il ma toujours compris, malgrès nos distance je l'appelle souvent et nous avons une très bonne complicité, il ne se mêle jamais de mes affaire et me laisse tranquille quand je le veux, il n’est pas envahissant est il est toujours directe avec moi ce que j'apprécie le plus chez lui, ma mère c’est remarié avec un mec du nom de phile dwyer, se garçon je n’est jamais su le voire, trop envahissant, il voulait trop controler mes choix et ma vie, me forcent à sortir me promener quands il faisait plein soleille, me poussant à aller parler a d’autre ado de mon âge pour me rendre plus “sociale” ou encore me répètent que la vie n'était pas que musique et qu’il fallait vivre la vie au lieu de resté enfermé dans sa chambre écoutant des musique “dépressif” et a lire des livres stupide dans le noire, c’est pourquoi j’ai êtait super heureuse quand ma mère ma annoncer que moi et ma soeur allons vivre chez notre père a forks car celle-ci allais voyager avec phile pour son travail, j’ai êtait vraiment reconaissante quand j’ai su que c’était isa qui avait proposer a ma mère se choix 

c’est donc pour cette raison particulière ou j’était hors de ma chambre et de ma maison habillée d’un t-shirt noir a lafiche du groupe Nirvana trop grands acheter au rayons homme avec pardessus un gilet en brun foncé ouvert dont la manche droite tombé de mon épaule, d’un jeans délavé gris presque noir trop large qui était tenue par une simple ceinture noire est de converse rouge au dessin et écrit vulgaire que j’ai moi même fait avec un feutre noir indélibile c’est chausure date tellement qu’elle son usé, mais cheveux brun retombé sur mes épaule, ils sont légérement ébourifié vue que je me les suis a peine brosser, j’était légérement maquiller sans plus mais javais surtout un grosse paire de lunette de soleille rabachit sur le nez, je vous est déjà dit que je ne suporté pas du tout le soleile et la chaleur ? bon ba maintenant c’est fait, je ne le supporte tellement pas que ma peau pâle m'aurait bien fait passer pour malade, pas que je suis allergique au soleille ou qu’il a une mauvais réaction sur ma peau non, c’est juste moi qui hait le soleille et la chaleur 

je suis là, debout devant ma maison attendant ma soeur et ma mère qui discuté ensemble jusqu'à ce que philipe les interrompre 

- et vous venez? je vous adore mais il a un avions à prendre 

je me dirige vers la voiture et mais mes bagage dans le coffre gardants juste mon casque et mon Mp3 avec moi, je rentre dans la voiture en bousculant phile en lui sortant un faible mais froids “bouge” puis je m'installe sur le siège arrière du côté droit, je mit mon casque sur mes oreilles et lança ma musique à fonds avant d'appuyer ma tête sur la vitre de la voiture, je fut vite rejoint par ma soeur aînée et les deux adultes 

- personne n’a rien oublié ?

demanda le seul garçon de cette voiture, le seul adulte qui m'énerve plus tout, je ne répondit rien, ni releva la tête pour lui donner ne serait ce qu'un peu d’attention 

- non c’est bons tu peux démarré 

répondit ma soeur isabella, et il démarra enfin sa stupide voiture diréction l’aéropords.

La fille de l'eau//Twilight FiniOù les histoires vivent. Découvrez maintenant