chapitre 12

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PDV Luna

Rue de nuit: 8 février: 2h30 du matin

Je suis là, concentré au maximum, gants, casque et ma moto. Je suis prête a partir. Je regarde droit devant moi avec une certaine envie de partir le plus rapidement possible. Battre mon record. Je tourne la tête à ma gauche, un homme sur sa moto, Kawasaki Ninja noir et verte, en full cuir noir. Je tourne la tête à ma droite et un autre homme était prêt a partir. Sur sa moto, Honda CBR rouge, en full cuir noir et rouge. Moi, je suis sur ma Ducati, mon casque rouge et noir avec une visière noir, et mon équipement full cuir noir également.

Une femme viens devant nous avec un drapeau en damiers. Elle nous décris les règles de la course. C'est-à-dire, il y en a aucune. Elle tend le drapeau puis les moteurs commence a ronronner de partout. D'un geste rapide, elle agite le drapeau, ce qui annonce le début de la course.

Est ce que je viens de faire un départ arrêté ? Oui, comme les autres pilotes. Je met seulement 5.67 secondes a atteindre les 100 km/h. Ce n'est pas mon record, je peux faire mieux. Il y a aucun trafic, ce qui facilite la course. 1 tournant, 2 tournant, tout ce passe bien. Mon genoux touche le sol comme il le doit. J'actionne mes vitesses parfaitement bien. Mais de la pluie s'abat sur nous. Ce n'était pas prévue.

Je suis en 2e postion, je me concentre encore plus, je ne dois pas glisser alors je diminue ma vitesse, passant de 278 km/h à 232 km/h, c'est pas un gros écart, mais c'est suffisant pour que le dernier me rattrape. Et c'est ce qu'il se passe, il est juste derrière moi, mais un tournant arrive. Il force le passage dans l'intérieur ce qui m'oblige à me placer à l'extérieur du virage, vers les plaques dégoût. En me redressant vers la fin du virage, je perd l'avant.

Ma roue arrière reste dans sa position alors que je veux me redresser ce qui provoque une glissade pas prévue, je contrôle un petit moment mon véhicule jusqu'à arriver en face d'une voiture, si je veux pas me faire percuté, j'ai pas le choix.

Je lâche donc ma vitesse pour actionner mon frein en tournant mon guidon pour esquiver la voiture garer, ce qui provoque une plus grosse glissade et qui me fait tomber sur tout le côté gauche. Je lâche directement ma moto la laissant glisser sur tout le long du coter gauche avec 2, 3 petit tonneaux. Je me laisse glisser également sans forcer à me redresser. Je protège mes points faible de mon corps en me recroquevillant doucement.

Ca ma parut comme une éternité, je sais pas combien de temps j'ai glisser, combien de temps la chute a durée. Mais au bout d'un moment, je me suis stopper. L'adrénaline ma permis de me lever et de courir vers ma moto. Je regarde les dégâts. Je suis sous le choc, tétanisée, je n'arrive pas a placer des mots correctement. Je regarde autour de moi et je suis seule. C'était une course clandestine. Quand il y a un accident c'est chacun pour sa pomme. La douleur de mon corps se réveille alors je m'assois par terre et a le reflex d'appeler les pompiers.

Hopital: 8 février: 10h

Je me réveille dans une chambre d'hôpital, je soupire, j'ai vraiment rien de grave sauf 2, 3 brûlures sur le bras gauche et des égratignures de partout, vue ma vitesse, c'est littéralement un miracle, mais j'avais un équipement digne de ce nom, ce qui m'a permis d'éviter de grave blessures. Les médecins m'indique plus tard que je peux partir. Ce que je fais. Je me renseigne le plus vite possible pour savoir où est ma moto, et j'apprends qu'elle se trouve à la fourrière en attendant que je la récupère.

Not Whitout You (En Cours)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant