Le samedi matin se déroula sans encombre. Je fis mes devoirs ainsi que ma soeur.
L'après midi nous devions aller faire des courses en centre ville. Après avoir déchargé le caddie dans le coffre de la voiture, ma mère se dirigea vers le centre ville où il y avait une grande pharmacie, trop bien connue de ma soeur et moi. C'est là que ma mère commandait et achetait nos accessoires censés contenir nos oublis nocturnes. Ma mère se gara et nous invita à l'accompagner. Nous étions par fières ma soeur et moi de pénétrer dans se magasin. C'est là que nos soucis de la nuit étaient révèlés. La dame qui tenait le comptoir était gentille mais elle était au courant de tout. Une cliente accompagnée d'une fillette un peu frèle étaient déjà la caisse en attendant la vendeuse. Je ne reconnu pas de suite la fille tout de suite car, elle est sa mère, étaient de dos. La fillette se retourna pour voir qui pénétrait dans la boutique, c'est là que je reconnu Véro. Véro, rougit en me reconnaissant tout en affichant le même sourire qu'à la colo quand elle se faisait changer par Catherine.
La vendeuse sortit de la réserve :
- Voila trois culotte à pressions. que vous m'avez commandées. J'ai pris la liberté de prendre du 12 ans au lieux du 10 ans. J'ai pu voir l'épaisseur des garnitures que vous utilisez en ce moment je pense que cela ne sera pas de trop. En plus la demoiselle pourra les mettre seule car c'est bien plus simple qu'une pointe à nouer. La demoiselle peut-elle passer dans la réserve pour voir si cela convient ?
La maman de Véro était une femme à l'aspect relativement revêche. Elle acquiéssa avec une moue réprobatrice. en s'adressant à nous :
- ça coûte 64 francs cette affaire. Mais bon elle n'aura plus besoin de moi pour que je la prépare après le dîner. En tous les cas les protections proposées par Catherine sont très bien. J'en ai fait l'expérience la nuit dernière. Pas de fuites. Ni pendant le séjour au ski, sauf une nuit je crois.
Ma mère acquiessa. Pendant ce temps Véro était à la remise sous la férule de la vendeuse. Elles revinrent au bout d'un moment. La vendeuse tendit la pointe à nouer à la maman de Véro.
- Voila essai concluant. Votre fille avait deux rectangles dans la pointe à nouer. Avec votre permission j'ai appris à votre fille à mettre la culotte ouvrante seule. Elle s'est très bien débrouillée. Le problème avec les pointes c'est que si les noeuds sont mal serrés ils se distendent, c'est source de fuites.
Nous saluâmes Véro et sa mère cette dernière nous pris à parti.
- C'est vraiment bien ces rectangles jetables. Non seulement ils sont gratuits mais en plus leurs absorptions semblent infinies. Ouf plus de drap et de pyjama à laver une fois sur deux sans parler des serviettes éponge qui puent le matin et qu'il faut aussi laver.
Vînt notre tour. Ma mère avait commandé pour chacune d'entre nous 2 culottes plastiques d'un nouveau modèle : elles étaient dotées de bandes velcro sur le devant ce qui rendait une ouverture intempestive quasi impossible. Sur nos culottes à boutons les pressions du bas sautaient parfois selon nos mouvements. Surtout pour ma soeur qui y glissait 3 rectangles de cellulose.
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Secret d'une énurétique dévoilé.
Художественная прозаNathalie est une fille énurétique de bientôt 11 ans.Son secret va être découvert... mais il n'y aura jamais de moqueries.