The Rufferton

Chapitre 1

Mardi 20 Janvier 1812.
À Bexley [Londre]

SOPHIE.

On attendais avec impatience,mes quatre frères,mes deux sœurs et moi,que ma mère: Lady Rosa,finisse de lire le journal,ou,comme j'aime l'appeler. La lettre.

Elle lisait dans sa tête,mais à chaque ligne qu'elle lisait,elle écarquillai les yeux.

Mes yeux ce sont mirent à la fixer. Le bruit le l'horloge m'agaçai fortement,mais le silence de ma mère le faisait tout autant.

Je voyais que mon frère aîné: Eddy,commençait à perdre patience.

Et je le comprenais.

Tout les huit dans le salon,ma soeur aînée Odessa,ma petite soeur Tessa et moi-même nous étions assises sur le canapé en face de ma mère,quant à elle,elle était assise à côté de mon deuxième grand frère: Nicolas.

Et le reste de mes frères étaient debout. Derek et Rune.

Les deux derniers de la famille sont Tessa et Rune. Ce sont des jumeaux. Mais il ne ce ressemble pas.

— Vous-

— Nous sommes invités au bal de fin d'hiver,organisé par la Reine Charlotte ! Elle l'a appelé: « fin d'hiver,début printemps » ! s'exclamât ma mère en coupant Eddy.

— Mais nous somme a peine fin janvier,le printemps est dans presque deux mois ? demanda Odessa,les sourcils légèrement froncés d'incompréhension.

— Et alors ? C'est la Reine qui fait ce bal,elle peu l'appeler comme elle veux,du temps que vous vous trouvez enfin quelqu'un !

— Pourquoi le mariage ? demanda Rune. Nous sommes jeunes.

Ma mère ce retourna vers lui,ne manquant pas de le fusillait du regard.

— Eddy a vingt-sept ans ! Et vous pensez,que vous êtes tous jeunes !?

Eddy grimaça.

Le pauvre.

— Si ça continue comme sa,je vais vous organisé des mariages arrangé !

— NON ! s'exclament la plus pars d'entre nous.

— Vous voyez ? Mais si l'un de mes enfants n'est pas marié en printemps je vous trouverais quelqu'un moi-même. Est-ce clair ?

— Ce n'ai pas de nôtres fautes si on ne tombent pas amoureux. dit Nicolas.

— Vous faite trop les fiers. Vous êtes trop compliqué. A l'époque je-

— Allez moi je vais voir mes chevaux ! dit Tessa en ce levant,coupant ma mère de sa petite anecdote.

Je vis Nicolas et Odessa plissé leurs lèvres pour pas rire,j'ai moi-même baissé les yeux pour ne pas éclater en fou rire.

On sait jamais,c'est Lady Rosa ma mère...

— Je vais aller faire pareil. dit Eddy en sortant du salon.