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(Média : Niall. J'aime cette photo.)
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Nda : J'ai mis du temps à poster, je le sais et j'en suis désolée. Je vous aime quand même mes licornes . En ce moment j'ai beaucoup de travail... MARINE SI TU PASSES PAR LÀ JE T'AIME FOOOORT

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13/09/2013, 12h34.

Cher journal,

Cela fait longtemps que je n'ai pas écrit. Ce que dit maman doit être vrai, je suis perturbée... Par lui. Par Niall. Il est tellement gentil par message... Mais je ne sais pas si je dois continuer à lui parler. Ma relation mère-fille se détruit de jour en jour, et ça, je ne peux pas le supporter. C'est insupportable. A l'école d'infirmière, j'étais à côté d'une fille très gentille, Lou. Elle est marrante et on a vraiment beaucoup de points communs ! Seulement, après tout ce qui c'est passé, j'ai peur de trop m'attacher à certaines personnes et le regretter après... Seulement quand je me dis que Lou ne peut pas me faire de mal, mon coeur dit le contraire. C'est horrible. Je sais qu'elle a le profil d'une parfaite amie ! Je n'en doute pas, mais... mais c'est comme un traumatisme. Oui voilà. C'est un traumatisme, léger, mais quand même... Je ne me contrôle plus, disons. Mais pour cette nouvelle année ''scolaire'', entammée de quelques jours déjà, je vejx que tout change. Je ferais n'importe quoi pour ne plus avoir de problèmes. Je ne veux plus être intimidée. J'ai déjà perdu trlm de confiance en moi.

*flash-back.*

-Eligrosse, c'est quoi ce chemisier en dentelle ?!? Tu cherches à mieux t'habillee, hu ? Ne cherche pas, rien ne te va.

-Pouah. Elle mérite qu'on luk crache dessus.

-J'suis sur que ton père il était gros. Ca doit être héréditaire, ah !

-T'es vraiment une sans amies. Pas étonnant...

*fin du flash-back*

Je ne ceux plus de ça Je ne veux plus de marqjes de coups. Je ne veux plus m'écrouler en larmes, tous les soirs. Je ferais n'importe quoi pour que ça change.

-ELINAAAA LE DEJEUNER EST PRET MA PUCE.

Ca tombe bien, j'ai un peu faim. Seulement un peu...

Je ferme mon journal et enfile mes chaussons. Je descends rapidement les escaliers, l'odeur de pates a la carbonara encahit mes narines. Mon plat préféré.
J'accoure à la table et prends a peine le temos de tirer ma chaise pour m'asseoir dessus. Maman a déjà servi les assietes.

-Elina...

-Hu ?

-Tu sais, ton père...

Ah. Mon père. Vu le ton de voix de maman, c'est surement... oh non. Pas ça. Non.

-Ca fait 2 jours qu'on a divorcé. On ne t'en a pas parlé mais... On ne se supportait plus. On ne pouvait plus continuer. Comme tu as plus de 14 ans, tu peux choisir de rester chez papa ou moi... On ne veux pas que vous subissiez et..

Non. Mais c'est quoi ça ? C'est une blague ?

''ON NE VEUX PAS QUE VOUS SUBISSIEZ MAIS LAISSE MOI RIRE MAMAN !!! TON DIVORCE AVEC PAPA ON DIRAIT QU'IL N'Y A QUE VOUS D'IMPLIQUÉ ! DEPUIS 2 JOURS TU TE RENDS COMPTE ? JE N'AI MEME PAS ÉTÉ MISE AU COURANR ! COMME QUOI MON AVIS VOUS VOUS EN FOUTEZ HEIN !

-Elina...

-DE QUOI ELINA !?!!

Je suis enervee. Quand je suis comme ça, je ne me calme pas avant une bonne heure.

Je monte dans ma chambre, faisant de fros bruits de marche et en prenant soin de claquer la porte de ma chambre derrière moi.

Je pleure. A ma plus grande surprise, je ne trouve qu'à m'effondrer sur mon lit et pleurer. Je pleure toutes les larmes de mon corps.

Il ne m'en ont pas parlé.

Ils n'en ont rien à faire.

Chez qui vais-je resrer ?

Un flot de questions sans réponses arrivent dans mon esprit à une vitesse effrayante.

Et quans le flot de larme est tellement ablndanr, on fini forcément pas s'endormir...

*****


*blop blop plob blop*

Un son étouffé de bulles qui éclatent me réveille de mon profond someil. Que j'étais bien, à dormir.

Mon premier réflex n'est, non pas de regarder mln message, mais regarder l heure. Il faut bien vivre en condition...

14h56.

J'ai vraiment dormi 2 heures ?

-Maman ?

J'ignore oû elle est...

Je descends les escaliers, a sa recherche, quand mon regard se pose sur un papier. ''Ma puce, je m'en veux tellement. Pardonne-moi. Pardonne-nous. Je suis allée faire les magasins. Je veux te laisser seule, un peu. Pour réflechir. Seulement, moi aussi j'en ai besoin. Je prendrai une chalbre a l'hôtel. Comlande toi une pizza ce soir. Je t'ai mis 20 euros sur le comptoir. Je t'aime. -Maman.'

Show us you're strongOù les histoires vivent. Découvrez maintenant