Love Toxic

La rentrée...

NDA : CC (UnU), j'ajoute cette petite note pour vous aider un peu, car j'ai un style d'écriture assez particulier alors j'ouvre cette petite parenthèse pour vous aidez à cerner le truc.

-Les parenthèses () : Servent à exprimer les pensées atypiques et personnelle du héros

-Les astérisques ** : Servent à exprimer une action courte, une onomatopée, des mimiques, des gestes simple et parfois des sentiments brefs.

-Les accolades {} : Servent à exprimer les pensées personnelles et profondes des personnages.

Sans signe distinctifs particulier, c'est tout simplement le héro qui continu son histoire.

voilà, j'espère que cette petite clarification vous aidera a mieux cerner mon style et à apprécier l'œuvre. Dite moi en commentaire ce que vous pensez de mon style, n'oubliez pas de voter si l'histoire vous plaît (UnU).

Bye kisssss. Bonne lecture.

CHAPITRE 1

Aujourd'hui ça fait 3 jours que je suis arrivé en France pour continuer mes études supérieures ; 3 jours que j'ai quitté ma famille, mes amis pour m'installer dans un autre pays et je dois dire que passé l'excitation d'être dans un pays étranger, je ressens un immense pincement au cœur. Je ne me suis jamais vraiment éloigné de mes deux petits frères et encore moins de ma mère et aujourd'hui je ne peux les voir que via face-Cam. Et dire qu'il y'a un mois je n'y croyais pas.

*Un mois avant...*

-Aller debout, il est déjà neuf heures passé et tu ne vas pas passer toute la journée au lit.

-*hmmm* maman s'il te plait encore dix p'tites minutes, disais-je alors que j'immergeais lentement de mon sommeil.

-Tu as dit la même chose à ton petit frère quand il est venu te réveiller il y'a plus de trente minutes.

Et comme si de simples paroles ne suffisaient pas, elle ouvrit les fenêtres en grand pour me forcer à sortir du lit. C'était contre mon gré et à contre cœur que je quittais mon lit pour me diriger vers la salle de bain afin de me débarbouiller le visage et me brosser les dents.

-Voilà ce qui arrive quand on passe la nuit sur le net, disait ma mère en passant devant la salle de bain avec un panier de linge sale.

-Je ne réponds pas aux attaques le matin.

Apres ma mini toilette, je me changeais et troqua mon pyjama pour un Jogging gris assez moulant (oui j'aime quand ça me moule un peu, ça met mon derrière en valeur et ce n'est pas pour me vanter mais il est trop sexy) avec un tee-shirt de la même couleur. Une fois prêt, je me coiffe un peu et je retrouve la petite famille à la terrasse du balcon prenant le petit déjeuner, un samedi normal chez nous.

-Le champion ? Tu as bien dormi ? disait mon beau père.

Je m'installe à la petite table plastique, qui du haut de notre maisonnette d'un étage nous donne une belle vue plongeante sur le reste du quartier, elle est petite mais trop mignonne notre maison.

-*pff* ça fait plus d'un mois que j'ai obtenu mon examen, ça vaut plus la peine de m'appeler comme ça

-Ça c'est chez toi, mais chez moi ça vaut toujours la peine, troisième meilleur moyenne de la contrée et première moyenne de ton cycle, nooon mon fils tu es fort.

En fait je fais genre, mais secrètement ça me plait qu'il fasse autant mes éloges, surtout qu'entre lui et moi ça n'a pas toujours été une très grande entente. Il avait son petit protégé qui non seulement est plus âgé que moi mais en plus il a un caractère de merde doublé d'un égoïsme narcissique. En gros un parfait connard, mais ça on ne pouvait pas le dire parce que nous sommes les plus petits mais du moment où quand il prépare toute une marmite et qu'il prend la moitié et que je dois partager l'autre moitié avec mes deux petits frères, je ne peux pas rester sans parler. Et il a suffi que je le fasse une fois pour m'attirer les foudres de son oncle (ce n'est même pas son père en plus) et donc j'ai dû prendre sur moi jusqu'à ce que le bon monsieur puisse partir à l'université (on a près de trois ans d'écart et nous ne sommes écart que d'une seule classe et c'est lui le protégé). En tout cas après son départ, je dois dire qu'entre mon beau-père et moi, les rapports se sont beaucoup améliorés, du moins assez pour qu'on puisse se sourire mutuellement sans arrière-pensée (la plus part du temps pour moi en tout cas).