chapitre 1

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7:45, 8 septembre

Les doux rayons de soleil de ce jour de septembre traversèrent la fenêtre mis ouverte pour se déposer délicatement sur une peau pale, presque comme de la porcelaine.
bip bip bip!
Le son du cadran annonçant l'heure de se lever retentit dans la petite pièce bien rangé, là où reposait un jeune homme avec de longs cheveux roux flamboyant en bagarre. Lorsque le cadran continua de sonner lors de deux minutes qui on parti être un enfer, le roux décida enfin de donner un bon coup sur celui-ci de façon à le faire taire. Le jeune homme tourna son regard vers l'appareil qui venait tout juste de se taire pour constater l'heure.
« quel jour c'est pour que cette merde sonne à 7:45 du mat?! »
Pensa t-il brièvement avant de se rendre compte de la date d'aujourd'hui. Pris d'un sursaut lors de sa pensée soudainement apparu, il bondit hors du lit en s'exclamant.
-PUTAIN. C'EST DÉJÀ LA RENTRÉ?!
En un clignement d'œil , sa figure se vit courir vers son armoire pour trouver les vêtements qu'il s'était préparé un soir avant, histoire d'être plutôt chic. Avec sa fine main, il attrapa une chemise blanche ainsi qu'un blazer gris, qu'il enfila avant de mettre ses pantalons noir qu'il dû rouler en cause de leur longueur. Pour finir son look, Chuuya, le jeune roux, attrapa son collier noir qu'il enfila autour de son cou.

À peine habillé, il se précipita vers la salle de bain, à côté de sa petite chambre, maintenant bien illuminé par les rayons de soleil qui faisait luire ses yeux bleus. Enfin arrivé dans la salle de bain, il s'arrêta en face du miroir qu'il allait tant manquer une fois dans son nouveau dortoir. Il leva ses orbes azure pour voir son reflet et se contempla un instant , sans dire un mot.
-Je me demande bien avec qui je vais être en pair pour le dortoir d'ailleurs... murmura le jeune homme à travers ses fines lèvres rosé qui se mariais parfaitement avec la pâle teinte de sa peau.
Chuuya ouvra le tiroir de la commode du robinet pour y sortir un peigne qu'il utilisa pour calmer la pagaille de ses cheveux flamboyants. Une fois fini, la partie de ses cheveux un peu plus court que sa frange, qui elle passait au milieu de son front, tombait parfaitement sur ses épaule bien redressées.
Le jeune homme laissa un soupir laissant deviner une certaine inquiétude face à se nouveau monde qui allait s'ouvrir à lui dans moins d'une heure.

Son apparence déjà a son goût, chuuya descendit les escaliers pour allez au rez-de-chaussée , où un délicieux déjeuner préparé par son grand-père reposait sur la table. La douce odeur de moelleux pancake faisait déjà saliver le petit roux, qui se pressa le pas d'aller prendre siège devant son assiette qui semblait lui supplier de se faire dévorer.

-Ouah le vieux ! ça l'air trop bon! , a-t-il dit pour montrer sa reconnaissance face au let qui se trouvais en face de ses yeux qui le dévoraient déjà.

-Un peu plus de respect tu veux bien?! rétorqua son aîné, d'un ton qui laissait penser son irritation face au comportement de son petit fils.

Malgré sa petite taille, chuuya dévora tout le contenu de son assiette en moins de 5 minutes avec son appétit surprenant. Par politesse , il esquissa un sourire à son grand père et vint porter son assiette ainsi que ses ustensiles dans le lave-vaisselle.

à pas de course, le roux se rendit une seconde fois dans la salle de bain pour brosser ses dents rapidement , avant de devoir déguerpir pour ne pas manquer le train.

8:30 — gare de yokohama

La douce brise qui annonçait l'arrivé proche de l'automne caressait le visage du jeune homme , faisant virevolter ses roux cheveux , sans pour autant lui nuire. Avec ses valises derrière lui, le roux attendait avec impatience son train qui le conduirait à l'université de yokohama, l'endroit où il resterait jusqu'au prochain congé à le fin du premier trimestre. Perdu dans ses pensées , le petit se dit bousculer par un garçon qui semblait être son âge, qui lui se précipitait pour entrer dans le train qui venait tout juste d'arriver.
-EH CONNARD ?! TU PEUX PAS T'EXCUSER?! dit le roux bien agacé par le manque de politesse de l'homme qui venait de le bousculer.

Le ciel fendant Où les histoires vivent. Découvrez maintenant