Tearing of a soul- En pause

Chapitre 1-

Pdv de Lydia :

Je suis déjà en retard pour le jour de la reprise des cours, tient dont, enfin rien d'étonnant venant de moi, être en retard sa deviendrais presque mon pêcher mignon. Les vacances d'hiver viennes de se terminer, c'est triste mais c'est comme sa.  Malgré mon envie de retourner dormir parce que mes yeux et mon corps entier, m'appelle à rester dormir jusqu'à temps qu'ils ai récupérer de leur nuit mouvementé par l'insomnie... Je dois comme même me bouger, et vite finir de me préparer, car Julia, qui n'est autre que ma meilleure amie, m'attend en bas de mon appartement dans moins de dix minutes, pour retourner sur les bancs de l'école.

Seul problème je ne suis pas tout à fait prête, mise à part le brossage des dents, et être habiller c'est tout ce que j'ai fait jusqu'à maintenant. La preuve est que trente minutes sa ne me suffit pas pour être prête, le réveil à été dur se matin...

Habillé de mon jean mom déchirer, et d'un simple t-shirt à manche longues blanc. Je me dirige dans ma salle de bain, refaire ma façade, parce que sa va pas, et que j'ai plus l'impression de ressembler à un zombi plutôt qu'à une jeune femme qui vient simplement de se réveiller.

J'applique une dose d'anti-cerne, j'en ai besoin vu ce que je vois dans le miroir, se ne sont plus des cernes mais des valises que je me trimballe sous les yeux. Une fois cela fait, quelques touches de fond de teint, mes cils recourber par mon mascara, et je termine par un peu d'highlither pour briller un peu.

Enfin c'est surtout pour cacher la misère de la mine que j'ai, mais sa reste mieux comme sa. On voit que j'ai une tête fatiguée mais le maquillage à fait son job en me donnant un visage un peu près potable, pour faire face à la population dehors.

Je suis coupée dans ma contemplation devant le miroir par une sonnerie, qui plus est celle de mon appartement, et je devine déjà qui sais.

J'ouvre la porte et sans m'y attendre Julia m'assaille d'insulte, et de paroles toute aussi folle les unes que les autres :

-Non met sa vraiment pas toi, quand les gens sonnent la moindre des choses c'est d'ouvrir toute de suite, sa éviterai que je m'inquiète. Tu m'explique? C'est quoi cette tête, t'a pas dormi de la nuit c'est sa ? Argh je le savais, fin non je m'en doutais, je t'ai appeler cinq fois depuis 7h, personne n'a répondu, alors je me suis dit mais qu'est ce qu'elle fout, elle à peu être eu un accident chez elle, ou alors elle s'est évanouie, ou si sa se trouve elle est en train de faire une crise d'eczéma chez elle et elle est en panique, ou peu être que...J'interviens avant qu'elle n'est plus de souffle en rétorquant

-Stop, Julia tu va trop loin, arrête, je vais très bien, malgré mon ton on ne plus sérieux, je ne peu m'empêcher de rire en l'ayant écouter dire toute ces paroles sans bégayer, alors qu'elle était littéralement paniquée, enfin c'est mon impression.

-Sa te fait marrer maintenant, tu sais quoi je m'en vais, part-elle en boudant, mais sachez une chose... 1... 2.... 3... et voilà elle ne sais pas me faire la gueule:

-Non met sérieusement tu va bien ? Tu sais que le maquillage permet de mettre en avant comme de camoufler certaine zone du visage mais il n'efface pas la fatigue, qui est bien visible sur ta face, au passage, t'es au courant ? Se moque t-elle en me faisant un signe du doigt désignant ma tête

-Je le sais très bien je te remercie, néanmoins c'est toujours mieux que rien, bon on y va parce que la, on va vraiment être en retard si on continue à débattre de ma mine, soufflais-je , je récupère mon sac et ma veste et nous nous dirigeons vers sa voiture direction l'université,quelle joie...

En arrivant à l'Université, plusieurs étudiants arrivent comme nous, sois par bus sois pas voiture pour ensuite rejoindre chacun leurs salles de classe après avoir emprunter le chemin pour y aller.