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Moi:stp lui dit pas si tu lui dis je suis morte, est-ce que tu comprends ça ?enterrer 6 pieds sur terre.

Il fait semblant de réfléchir

Kaleb: donc ça te poserait, pas de problème de passer une journée avec moi?

J'ouvre grand mes yeux.

Moi: bien sûr que ça me dérange, t'es malade ou quoi ?

Kaleb: bon, bah je vais partir tout dire à amir.

Moi : OK, c'est bon .quand ?

À vrai dire j'avais aucune envie de passer une journée avec lui, mais j'avais pas trop le choix soit c'était ça soit je me faisais démonter. Ce chien a réussi à avoir ce qu'il voulait.

Kaleb: tu le sauras bien assez vite

Ça me soûlé, comment il voulait trop faire le mec mystérieux .

Moi: bon, maintenant que t'as ce que tu veux, tu peux me lâcher

Il me lance un petit sourire puis il se rapproche de plus en plus de moi il me regarde dans le blanc des yeux pendant au moins cinq secondes. Je fronce les sourcils.

Moi: te rapproches pas de moi, comme ça tu me dégoûtes.

Il ne répond pas à ce que je viens de lui dire, et continue de se rapprocher jusqu'à être à 2 cm de mon visage. Il regarde mon visage, puis mes lèvres.

Au moment où je m'apprêtais à lui crier dessus, il lève la tête, puis me fait un bisou sur le front . Je m'attendais pas du tout à ça j'étais sous le choc mais très très énervé il avait pas le droit de faire ça.

Dans ma tête, je m'imaginais Youssef en train d'assister à cette scène, même si on est pas en couple je l'aime. Oui je l'aime donc je pouvais pas me permettre de rester comme ça sans rien dire

Ces lèvres étaient posés sur mon front. J'ai le pouce violemment, ce qui ne le fait pas bouger d'un pouce donc je lui mets une grosse gifle

Moi: qui t'a permis de faire ça ? Tu me prend pour ta pute batard va.-sec-

Oui j'avoue j'étais un peu sauvage, c'était pas dans mes habitudes, mais je sais pas il me rendait ouf.

Après avoir fini de lui dire ce que j'avais à lui dire, je le regarde il avait un regard noir. Je voyais dans ses yeux qui voulait me défoncer. Mon réflexe a tout de suite été de sortir du lit et de m'éloigner le plus possible de lui,.

Je le voyais s'approcher de moi en furie. Je continue à reculer jusqu'à être Dos au mur. J'étais coincé je pouvais plus aller nulle part il s'approcher toujours de moi jusqu'à que je sente sa respiration chaude sur mon visage.  je voyais qu'il avait envie de me cogner, mais il se retenait.

Kaleb: iheme Je me suis toujours promis de jamais frappé les femmes, mais me mets pas hors de moi-sec-

Cette phrase était très sec, mais il garder une attitude calme, un peu trop calme même.

Moi: je t'ai déjà dit que j'avais quelqu'un tu crois chuis un pute pour que tu posée t lèvres sur mon front-sec-

C'était à mon tour de lui lancer on regard de  la mort qui tue

Le choix le plus important de ma vieOù les histoires vivent. Découvrez maintenant