Mon Severus Rogue

PARTIE 2: Chapitre 8

Tous se passait magnifique bien entre Severus et Abbygaelle. Et les jours passèrent à une vitesse folle. Les examens de fin d'année avait déjà été un fait, et cette semaine, il ne restait plus que les BUSE. Severus et Abby étaient libre cette semaine, ils profitèrent pour faire quelques potions et passer du temps ensemble.
On se retrouve le 17 juin pendant l'après midi. Quelqu'un toqua à la porte des appartements de Severus. Abby était là avec lui, chacun avait dans leur main un livre.
Severus alla ouvrir et il tomba sur un élève de cinquième année à Serpentard.

- Que voulez vous, Montague ?

- Ombrage demande si vous avez encore du Veritaserum, elle n'en n'a plus dans sa réserve ?

- Je lui est rempli cette semaine. Dit lui que j'arrive. Dit il, puis il ferma la porte.

- Abby vient avec moi, j'ai pas envie de mourrir. Dit il en ironisant.

- Je viens mais ne fait plus jamais de blague, ça ne te vas pas du tout.

Puis ils allèrent dans le bureau d'Ombrage. Ils virent Potter, Granger, Weasley et encore d'autres.

- Severus, j'aurais besoin de Veritaserum. Dit Ombrage.

- Je n'en n'ait plus dans ma réserve. Et, malheureusement la potion prend un temps énorme, et sans parler des ingrédients qui sont difficiles à avoir. Dit Severus

- Mais comment, je vais alors, pour savoir la vérité. Potter ment encore une fois. Dit Ombrage.

- Potter ment, tient qu'elle drôle de chose. Dit Abbygaelle. Vous ne le punissez plus avec votre plume.

- Black ! Mêlé vous de vos affaires. Hurla Ombrage sur Black.

- Vous voulez qu'on joue à qui est la plus méchante. Demanda Abbygaelle tout à fait calme comparé a Ombrage.

- Roh ! Merci professeur Rogue même si vous m'avez était inutile. Je vais vous laissez partir vous et votre AMIE.

- Il a prit Patmol. Dit Harry avant que Severus et Abby partent.

- Qui est Patmol ? Demanda Ombrage.

- Nous l'ignorons, n'est ce pas Abbygaelle.

- Oui, Severus. Patmol, c'est rigolo. Mais monsieur Potter, nous sommes vos professeurs. Vous devriez vous tenir la prochaine fois, ou lieu de dire des tels absurdités.

Puis Black et Rogue partirent du bureau de Ombrage. Ils se rendirent dans les appartements de Severus. Une fois arrivé là-bas, ils informèrent les membres de l'ordre du Phœnix.

- Nous devons plus qu'attendre maintenant. Dit Abbygaelle.

- Je pensais que tu voulais y aller, j'allais de convaincre de ne pas y aller mais tant mieux.

Elle ne répondit pas à ceci. Il eu un blanc. Soudain elle le coupa.

- Je vais dans mes appartements. J'ai besoin de me reposer. J'ai été de garde cette nuit.

- Y'a mon lit si tu veux, c'est plus proche. Proposa il a son amie.

- Oui avec plaisir. Dit-elle.

Une heure après on pouvait voir: deux personnes dans les bras de l'autre. Abbygaelle dormait paisiblement. Severus la regardait. Plus le temps qu'il passait avec elle, puis il l'aimait. Lui dire, non, c'était une mauvaise idée. Elle ne l'aimera jamais, il en était convaincu.

- Abby...Je...Je t'aime tellement.  Chuchota t il.

Puis il partit, il alla voir on s'en était avec Potter et sa bande au ministère.

Abbygaelle dormit jusqu'au début d'après midi. Lorsqu'elle se réveilla Severus était là à côté, en train de lire un livre.

- Bonjour, monsieur.

- Monsieur ? Vraiment. Dit il en rigolant.

- Ça va ? Dit elle.

- Ab' il faut qu'on parlent. Dit il en prenant une voix plus sérieux.

- Sev, tu commences à me faire peur. Dit elle.

- J'ai plusieurs mauvaises nouvelles.

- Vasi, raconte. Dit elle en gardant toujours son sourire.

- Hier, voldemort a fait une fausse vision à Harry comme quoi Sirius était en danger au ministère de la magie. Harry et sa bande y sont allés. C'était un piège pour que Harry donne une prophétie. Il y avait beaucoup de mangemorts, y'avais ta cousine Bellatrix ou encore Lucius. Et ils se sont fait pendre par le ministère de la magie. Ils ont été envoyés à Azkaban. Voilà la première mauvaise nouvelle.

- Ok et c'est quoi le reste ? Demanda Abbygaelle un peu déçu de se que Severus venait de lui raconter.

- Les membres du Phœnix y sont aller suite à notre intervention. Et... et ton cousin Sirius est mort. Dit il.

Abby ne changea pas de tête faciale, aucune larmes ne vernirent sur son beau visage, pas une.

Au bout d'un moment, Abbygaelle prononçait quelques mots avec aucun rapport au évènement de la nuit. Elle disait juste qu'elle avait des corrections qu'elle devait faire, et qu'il fallait qu'elle soit tranquille. Severus la laissa partir. Il allait la retrouver ce soir au dîner.

Pourtant ce soir là, elle ne fut pas là. Severus s'inquiétait. Il décida après manger d'aller la voir. Lorsqu'il essaya d'ouvrir la porte elle était fermé à clé. Pourtant Abby ne l'a fermait jamais quand elle était dedans. Il toqua, aucune réponse. Elle a due partir se dit il. Puis il passa la nuit seul dans son lit. Il alla prendre son petit déjeuner, ou il se dit qu'il la retrouverait mais non. Il se pourra qu'elle déjeune plus tôt ou plus tard ce jour là. Il l'a ferai bien ce midi après les cours du matin. Mais non, il s'inquiéta de plus en plus. Il en parla à Dumbledore et a McGonagall de son inquiétude. Ils trouvaient ceci bizarre. Ce soir il avait eu une réunion avec l'ordre à Poudlard, Abbygaelle serait là.

Severus monta les marches une à une sans se presser mais tout de même avec 30 minutes de retard. Il toqua dans la pièce, où ils trouvèrent pas mal de monde de l'ordre mais encore Harry Potter, Ronald Weasley, Hermione Granger et leurs copains qu'ils les avaient aidés au ministère.

- Pas la ? Demanda Severus à Dumbledore

- Non. Dit-il

- Ou est Abby ? Demanda Remus.

- Aucune idée. Répondit Dumbledore

- Elle n'est pas dans sa chambre. Demanda Remus.

- La porte est fermé à clé. Dit Severus

- Elle est au courant pour Sirius ? Demanda Harry.

- Oui, Severus lui en parlé.

- Oh put*** ! Dit Remus.

- Qu'est-ce qu'il y a ? Demanda Molly qui jusque là écoutait la discussion.

- Ou sont les appartements de Abbygaelle ? Demanda Remus

- Severus va te montrer, nous vous attendons ici.

Severus et Remus descendirent jusqu'à la porte des appartements de Abby. Remus prit sa baguette et la dirigea vers la poignée de la porte.

- Bombarda. Prononça t il.