Appel-Soukoku

Pluie et liquides

Posté dans le jardin,il vit la lumière de son appartement allumé,puis clignoter légèrement.
Trempé,Dazai se précipita vers les escaliers menant au balcon vers son appartement.
Il longea une première porte,puis une deuxième,jusqu'à arrivé à la sienne.
La lumière clignota à nouveau sous la porte,il pouvait sentir une énorme électricité dans l'atmosphère.
"Nakahara !" Dazai enleva négligemment ses affaires mouillés,les laissant au porche,et se précipita vers Chūya,inconscient sur le sol,un filet de sang coulant de son nez.
Il prit son visage,vérifiant s'il s'était blessé à la tête,un soupir de soulagement échappa ses lèvres lorsqu'il ne vit aucune blessures et que les marques d'Arahabaki se dissipaient.
Il l'emmèna,toujours inconscient,sur le canapé,posant sa tête sur ses cuisses et attrapant un paquet de mouchoirs pour lorsqu'il se réveillerait.
La tempête était plus violente qu'hier soir. En attendant qu'il se réveille,Dazai regarda la météo pour apprendre que ce merdier durerait sûrement la semaine entière au mieux.
Il soupira,au moins il aurait une excuse pour parti du boulot.
"Putain,Nakahara,pourquoi tu m'as pas appelé ?" Marmonna il en regardant avec inquiétude le rouquin.

Chuya reprit conscience un peu plus tard.
Il fut desuite réveillé par la sensation de goutelettes sur son visage. Il ouvrit doucement les yeux pour voir qu'il avait sa tête sur les cuisses de Dazai.
"T'es pas sensé être au boulot toi ?" Marmonna Chūya,en protégeant son visage des goutelettes provenant de ses cheveux brun mouillés.
"J'ai fini le boulot.
-Oh..." Il sentait une chaleur au niveau de son nez,il porta sa main au niveau de celui ci,pour réaliser qu'il avait saigné du nez.
Il se rappella alors de ce qu'il s'était passé alors qu'il se redressait difficilement et que Dazai lui tendait un mouchoir.
Il se souvint alors qu'il avait senti une violente douleur au bras droit,comme si il était cassé,et l'impression qu'on lui perçait les entrailles,dans l'après midi,probablement au plus fort de l'orage.
Lorsqu'il raconta cela à Dazai,celui-ci ne sembla pas savoir quoi dire ou faire.
Chūya essaya alors de se lever,mais Dazai le retint,le forçant à se rassoir.
"On va attendre que l'orage se calme."
Ils restèrent un moment dans le silence,avant que Dazai ne demande :
"Dans ce genre de moment,ça se manifeste comment...?
-Arahabaki ?...Je dirais..."
Chūya s'eloigna du contact de Dazai quelques minutes puis analysa ce qu'il avait ressentit et ce qui s'était passé chez lui.
Il se rassit sur le canapé,Dazai lui proposa de venir dans ses bras,ce qui malgré toute sa fierté,n'était pas de refus à l'heure actuelle.
"Comme une présence...c'est euhm...comment on dit déjà..." Chūya claqua des doigts "Quand s'est angoissant mais plus que ça...
-Anxiogène ?
-C'est ça. T'as l'impression d'étouffer et...cette fois je l'ais vu.
-Tu l'as vu...?
-Pas vraiment mais...C'était comme une paralysie du sommeil avec des voix qui me parlaient,sa voix."
Après un silence,Dazai lui demanda :
"Et qu'est ce qu'il te dit ?
-J'ai pas envie d'en parler."
Non,à vrai dire,Chūya savait que si il en parlait,il devrait parler de ses problèmes et qu'il avait peur de se montrer vulnérable ou bien de pleurer,c'était tellement ridicule.
"Nakahara. Tu crois vraiment qu'une sous merde dans mon genre va te juger ?" Il leva piteusement les yeux vers Dazai,qui ne semblait pas rigoler le moins du monde. Sachant très bien qu'il ne pourrait pas le convaincre qu'il ne mérite pas cette insulte (même si parfois il pensait souvent le contraire...),il décida de développer :
"Il me dit que sans lui on m'aurait abandonné depuis longtemps. Que je ne suis pas humain. Que personne ne m'aimerait si ce n'était pas pour mes pouvoirs,et que sans eux je ne servirais à rien. Que je ne suis qu'une machine et rien d'autre. Que...enfin bref,t'as compris."
Dazai l'observa avec un mélange de compassion et de peine.
Il ne dit rien pendant un long moment,sentant quelques gouttelettes chaudes tomber sur sa chemise qui commençait à peine à sécher.
"Tu as toujours été humain,Nakahara. Et tu vaux bien plus que tes pouvoirs." Furent les deux seules phrases qu'il dit alors que Chūya essayait de pleurer aussi silencieusement que possible.
"Je pensais que je pouvais me débrouiller sans toi. Jusqu'à présent c'était le cas." Fit il entre deux reniflement honteux. "Putain je me sens comme de la merde." Il s'accrocha à sa chemise mouillé de pluie et de larmes.
Une fois plus calme,les deux jeunes hommes restèrent longuement dans cette position en silence,jusqu'à ce que Dazai éternue.
Celui ci enleva et jeta sa chemise vers le placard qui renfermait la machine à laver.
"Quitte à te mettre à poil,tu pourrais au moins te lever !" Enragea Chūya alors que Dazai l'encourageait à revenir dans ses bras.
"C'est bon me fait pas un cirque,tu m'as littéralement vu avec ma chemise ouverte hier.
-C'est pas là le problème ! Le problème c'est que tu as jeter ta putain de chemise à côté de la machine !
-C'est pratiquement le même résultat que si je m'étais levé avec dix fois moins d'effort...et puis avec Arahabaki,je préfère pas prendre le risqu-"
Chūya se metta à quatre pattes au dessus de lui pour le regarder dans les yeux
"Utilise pas Arahabaki comme excuse ! Je me suis débrouillé très bien sans toi-"
Dazai posa sa main sur son visage pour annuler l'influence du dieu.
"Tu veux qu'on parle de l'état dans lequel je t'ais retrouvé un peu plus tôt ?
-C'était exceptionnel !"
Chūya toisa Dazai un instant,puis se rappella d'un peu plus tôt ce matin,lorsqu'il s'était déshabillé et du baisé qu'il lui avait posé sur la tempe.
Il se rallongea sur lui,se sentant rougir.
"Ta tête est chaude,Nakahara.
-J'ai une poussée de fièvre !"
Dazai posa sa main glaciale sur son front "Absolument pas,non. Est ce que tu serais en train de rougir,mon cher Nakahara ?
-Ta geule !
-Quoi c'est le fait de me voir dans cette tenue qui te fait rougir ?" Ricana Dazai alors que Chūya attrapait la couverture présente sur le canapé et tentaient de l'étouffer avec "Je te tuerais un jour j'te jure !
-Okay ! Stop ! J'ai pas envie de mourrir de cette manière !" S'étrangla Dazai en essayant d'enlever la couverture.
"Oui oui ! C'est bon,j'ai compris ! Tu veux te faire étrangler uniquement par une jolie jeune femme !"
Dazai parvint à enlever la couverture puis regarda Chūya.
"Y'a que les membres du café et de l'agence qui savent ça..."
Chūya fixa la couverture et réfléchi un instant "Quoi ? Me regarde pas comme ça ! C'est logique ! Ton grand fantasme quand je t'avais vu était de mourrir avec une jeune femme !"
Dazai ne dit rien,se contentant de le toiser de haut en bas. Il ne fit aucun commentaire,mais se dit qu'il en parlerait à Chūya plus tard.
Se pourrait il que la mafia espionnait l'agence ?
Ce n'était pas la première fois que Chūya se laissait emporter et parlait de détails bien trop spécifique à l'agence pour les avoir devinés.
Un éclair fendit le silence entre eux,et coupa l'électricité.
"Putain de merde." Râla Chūya,alors que Dazai soupirait,blazé.
Chūya se leva "je vais chercher des bougies.
-Nakahara,attends
-Quoi ?
-J'ai pas envieeeeeeeee !"
Dazai sentit une douleurs sur sa tête,Chūya venait de lui donner une pichenette "Dépêche toi de te lever, feignasse !"
Dazai se leva,prenant la main de Chūya et se dirigea vers la cuisine pour prendre des bougies,que Chūya saisit puis dirigea vers le salon via la gravité.
"Pratique." Commenta Dazai,reprenant la main du rouquin puis se redirigeant vers le salon.
"Tu veux pas essayer d'aller voir si on peut rallumer l'électricité ?
-Nope.
-Comment ça,nope ?" S'exclama Chūya en allumant les bougies avec son briquet.
"L'électricité peut pas être rallumé par nous directement,elle est fourni par un câblage venant d'un générateur commun. C'est pas dans notre contrôle."
Lorsque Chūya put enfin voir son visage,il remarqua que Dazai semblait très attentif et suspicieux.
En une fraction de seconde,il vit les yeux de Dazai s'ecarquiller avant de jeter un couteau qu'il tenait dans sa main.
Chūya se retourna pour voir derrière lui un homme sur le sol du salon. Il leva le regard puis mogrea "J'avais lavé le sol ce matin enculé !" Avant de se lever,voyant qu'il était simplement blessé,le couteau se trouvant toujours dans son épaule.  "Putain je peux pas avoir un jour tranquille ?!" Dit il avant d'enfoncer le couteau de son pied.
"Nakahara,attention !" Entendit il Dazai dire avant de voir un second homme se jeter sur lui,tenant un pistolet de ses deux mains. Le mafieux manipula la gravité du couteau,l'arrachant de la plaie de premier,pour le planter dans ses mains jointes. Son adversaire tira une balle vers son crâne,qu'il arrêta avant de lui renvoyer,le tuant sur le coup.
Après un petit silence,Dazai ricana :
"La balle a pas l'air d'avoir traversé son crâne...ça fera ça de moins à nettoye-" il se coupa dans sa phrase,suivit du cri d'un homme et d'un son d'un corps qui tombe sur le sol.
Chūya se retourna,paniqué,pour voir Dazai,s'époustant les mains,un corps évanoui d'un autre intrus gissant sur le sol.
"T'es tellement nul en combat que j'aurais presque eut peur qu'on te tue quand j'avais le dos tourné.
-Awww,Nakahara ! Tu as eu peur pour moi ? Tu sais pourtant très bien que même la mort me rejette !"
Après avoir nettoyé tout ce bazar,ils se rassirent sur le canapé,comme si tout était normal.
(Et après tout,pour la paire,c'était un Lundi comme un autre.)
Dazai essaya d'allumer la télé,rien.
Pas assez de lumière pour lire...
"Bon...on fait quoi ?" Fit Chūya avec un soupçon de désespoir.
"On nique ?" Fit Dazai avec un grand sourire,ce qui lui valut un nouvel oreiller dans la geule.
"Hey ! Fait attention ! Tu vas faire cramer l'appart si tu vise mal !
-Je vises très bien !
-À ouais ?!"
Chūya craqua ses poings,se leva et se posa devant lui.
"C'est bon,j'ai eu le droit à un coup de poing une fois de ta part,je sais de quoi t'es capable."
Cette petite validation de la part de Dazai,si rare et si infime,lui fit une bouffé de chaleurs.
"J'ai un jeu de cartes quelques parts. Un poker et un peu de vin ?
-Va y."
C'était mieux que rien.
"TU COMPTES LES CARTES ! TRICHEUR !"
Dazai était hilare alors que Chūya frappait la paume de main sur la table,manquant de faire tomber son troisième verre de vin.
"Absolument pas ! J'ai juste assez joué à ce genre de jeu pour savoir comment ça se passe !
-Toi j'te jure !"
Alors que Chūya mélangeait les cartes,Dazai s'appuya sur la table,un sourire aux lèvres,commençant tout juste à être pompette,il marmonna :
"J'm'ennuie.
-Tu veux qu'on change de jeu ?
-Qu'on pimente les règles.
-Je sais déjà ou ça va partir et c'est non,Dazai.
-Je te donne le choix.
-...mmh...?" Chūya leva un sourcil,se stoppant net dans son mélange de cartes.
"Soit tu enlèves un vêtement,soit tu bois un verre complet quand tu n'as plus de jetons.
-Tu sais très bien que tu vas gagner dans tout les cas.
-Je ne gagnerais pas grand chose à te voir enlever tes vêtements. Je crois que tu as la mauvaise idée en tête,Nakahara."
Le concerné le toisa un instant avec de grogna "Tu as littéralement mentionné tout à l'heure-
-C'était une blague,Nakahara."
Celui ci roula des yeux avec un "D'accord,mais on s'arrête aux chausettes.
-Aux chausettes ? Au boxer,je veux bien,mais aux chausettes ?
-Va pour le boxer.
-Sachant que les accessoires comptent.
-Oh,tant mieux alors."fit Chūya en regardant le harnais sur sa chemise son chapeau et ses gants.
"Donc,tu as un bel avantage par rapport à moi." Il regarda Dazai,qui n'avait pas remis sa chemise,et n'avait aucun accessoire.
"Je vais t'écraser Dazai." Fit Chūya en distribuant les cartes.
Bien évidemment,Chūya se fit battre à plate couture à plusieurs reprises,même si le match avait été serré,et que sur les quatres vêtements qu'il avait,Dazai avait enlevé ses chaussettes.
"Donc ?
-Jamais je n'enleverrais mon caleçon !
-Donc tu enlèves ton chapeau ?"
Chūya but le verre de vin à côté de lui.
"Je te jure que je vais te faire bouffer tes cartes,Dazai !"
Comme promis,Chūya finit par gagner deux manches.
Après avoir jeté son pantalon sur le canapé,Dazai enleva les bandages sur son bras droit.
"MAIS ! MAIS !
-C'est techniquement un accessoire.
-Je te jure que-
-Oui,oui,j'ai compris. On relance ?"
C'est donc avec rage et,pour Dazai 3,pour Chūya 2,vêtements,que la partie continua.
Durant la partie,Chūya regarda de temps à autre le bras de Dazai après en découvert.
Celui ci était couvert de cicatrices,toutes plus grandes les un que les autres,majoritairement faite en long plus qu'en large.
Un petit sentiment de tristesse lui compressa le torse.
"Okay~ T'as gagné." Fit Dazai en soupirant,retirant le bandage sur son torse,découvrant plusieurs nouvelles cicatrices,notamment une au niveau de l'estomac.
"Putain de merde,Dazai. Comment..."
Articula à peine Chūya,montrant du doigt la cicatrice.
"Fyodor,j'étais allé chercher des informations. Je savais qu'il y avait un sniper."
Chūya resta muet,ne sachant quoi dire.
Il avait mis sa vie en jeu pour récupérer des informations précieuses.
Et outre le fait que ce soit Dazai l'obsédé du suicide,il ne pouvait pas ne pas dire qu'il n'avait pas une forme de respect envers cet acte.
Ils continuèrent la partie en silence,Chūya regarda ses cartes.
Rien de bien glorieux.
Surtout des petites mains.
"Dit,Dazai."
Celui ci leva les yeux de ses cartes.
"Ça a l'air cicatrisé,pourquoi tu mets toujours des bandages ?"
Dazai reposa ses yeux sur ses cartes d'un air triste,buvant une gorgée de son verre.
"Hey ! T'as pas encore perdu que je sache ! C'est trop tôt pour boire !"
Dazai fit un petit sourire faussement amusé,son regard étant pourtant toujours emplis de tristesse.
"J'ai pas envie que qui que ce soit les vois.
-Donc je n'existe pas ?" Fit Chūya dans une petite tentative de remonter son humeur,Dazai fit un petit rire,sans grande joie.
"Non,je te fais juste assez confiance pour ça. Et puis,toi même tu as m'a dit que tu voulais qu'on devienne ami,pas vrai ?"
Dès qu'il dit cet dernière phrase,Chūya ressentit les même douleur qu'il avait ressentit peut avant son malaise,l'espace d'un instant.
"Nakahara ?...Tout va bien ?
-...M-mouais."fit il avec difficulté.
"Tu veux qu'on arrête ?
-Non,ça m'est passé."
Dazai fronça les sourcils mais ne dit rien.
"Breland." Chūya étala ses cartes,victorieux,alors que Dazai enlevait ses bandages sur son bras gauche,désabusé.
Si il trouvait qu'il y avait beaucoup de cicatrices sur le bras droit,Chūya constata avec horreur qu'il y en avait le triple sur le bras gauche,certaines étaient encore en train de cicatriser.
Chūya se précipita de l'autre côté de la table,se plaçant à genoux à la côte de Dazai,prenant son bras pour mieux le voir.
Allez savoir pourquoi,cette vision lui retournait l'estomac.
Il avait l'habitude de voir des cicatrices,que ce soit Hirotsu ou bien Akutagawa,il en avait même remarque sur Mori. (Ce qui lui fit aussi penser que Tachiara,malgré qu'il soit dans la mafia et le fait qu'il n'ait jamais montré son pouvoir,n'en avait aucune...)
Mais sur Dazai,il ressentait une forme de peine.
Probablement car il savait que toutes ces cicatrices étaient auto-infligées.
Il entendit soudainement le bruit d'un objet qui tombe.
Chūya leva les yeux vers Dazai,qui affichait un sourire malin.
"Je t'avais dit que je réussirais à t'enlever ton chapeau~!
-Oh toi,je te jure !" Chūya se précipita vers Dazai,l'etranglant de toutes ses forces. Dazai se débattait dans l'espace restreint entre la table et le canapé,essayant première de chatouiller Chūya,puis de saisir ces genoux,les remontant vers lui pour le faire tomber.
"Tu crois que je sais pas ce que tu essayes de faire Dazai ? Que ce soit des chatouilles ou des prises,je ne te laisserais pas faire aussi facilement !"
Chūya continua,relachant légèrement sa prise sur son cou pour éviter de lui fait mal,profitant que Dazai avait remonter ses genoux vers lui pour bloquer ses hanches.
Dazai tenta de saisir sa cuisse pour le faire passer en dessous de lui,ce que Chūya l'empêcha de faire en prenant son poignet,le plaquant au niveau de sa tête,prenant l'autre pour ne pas qu'il essaye de faire de l'autre main.
"Aie aie aie !" Dazai tappota le poignet de Chūya pour lui indiquer qu'il abandonnait. "Okay okay ! T'as gagné ! J'ai compris !" Chūya posa ses mains sur les épaules du jeune homme,à bout de souffle avec un sourire malin.
Il remarqua à la faible lueur des bougies,que les joues du rouquin étaient tout aussi rouge que les siennes.
Il pouvait détailler chaque part de son visage,que ce soit ses cheveux,ses yeux,ses lèvres...jusqu'à réaliser qu'il était à califourchon,au dessus de lui,le plaquant sur le sol en lui tenant les épaules et qu'il n'avait pas bougé ses mains qu'il avait plaqué un peu plus tôt de part et d'autre de sa tête.
Avant de ne serait qu'avoir le temps de réfléchir à s'éloigner,Dazai posa sa main à l'arrière de son crâne et rapprocha son visage du sien pour l'embrasser.

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Oui.
J'ai décidé de couper au meilleur moment.
Vous avez le droit d'être en colère,je l'aurais été aussi !
Et oui je vous ais induit en erreur avec le titre !
Tout était calculé ! (Non.)
Des beusous <3
-Jw