Laurence n'est pas timide

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Laurence aime se faire plaisir. C'est son credo. Pour cela, elle s'appuie sur une personnalité solaire et enjouée et sur un physique très attirant. La quarantaine épanouie, une chevelure couleur noir de jais, bouclée et tombant jusqu'au milieu du dos. Elle ne mesure pas plus de 1m60, quand elle ne porte pas ses talons aiguilles qu'elle arbore avantageusement. D'autant que la ligne de ses jambes rehaussée d'escarpins de 11cm provoque allègrement le tournis chez les hommes autour... mais aussi chez ses congénères féminines. Voilà qui est intéressant. Ce petit déhanchement félin auquel il faut ajouter le balancement aguicheur de sa copieuse et naturelle poitrine ne laisse pas indifférent. Personne.

Depuis 2 ans, nous entretenons une relation intense au niveau sexuel. Tant physique que dans les fantasmes que nous partageons. Ouvert aux échanges les plus torrides, j'accepte avec enthousiasme qu'elle me rapporte ses expériences passées qui me permettent aujourd'hui de profiter de tous ses talents. Et ils sont nombreux ! « Tu veux savoir à quelle chaudasse tu as affaire ? » me rappelle-t-elle. J'avoue être aux anges et parfois piqué par une certaine jalousie de n'avoir pas pu la connaitre auparavant.

Ce soir là, nous avions décidé de sortir. Une sortie simple, un restaurant. Nous avions un petit rituel désormais, celui d'exiger une table à deux couverts, non pas face à face mais côte à côte et disposés à 90*. Ceci pour avoir le loisir d'une proximité discrète et érotique. Laurence n'hésite pas à être provocante, n'hésitant pas à offrir son décolleté ouvert sur ce balancement mammaire qui me plaît tant. Les regards des hommes n'en perdent pas une miette non plus... Mater ses cuisses souvent découvertes fait partie du spectacle qui l'amuse avec excitation.

Ces soirées sont souvent l'occasion qui lui est donnée d'allumer l'amateur de fille aguicheuse que je suis. Or ce soir là, elle avait tout fait pour me faire comprendre ce qu'elle avait introduit dans son anus. Tout le diner à se dandiner sur sa chaise ne laissait planer aucun doute : elle se dilatait l'entrée anale à l'aide d'un plug qu'elle venait de s'offrir. « J'étais aux anges », d'autant que la disposition de la table nous donnait entière liberté pour fouiller nos intimités respectives... Difficile de supporter l'insupportable dans ces conditions. Il fallait donc pouvoir patienter un moment plus propice pour poursuivre ce bouillant tête à tête...

On pouvait rentrer, le chemin retour fut des plus excitants, prélude à de plus torrides ébats.

On décidait finalement de prendre une chambre d'hôtel afin d'apporter une dose de piment à cette soirée.

Voilà ce qu'on peut en dire :

Tu es en manque cher amour ? En manque de ta Laurence version garce peut-être... oui oui oui... je le sens. Ca tombe pas mal, il me faut un salaud de ta trempe pour me satisfaire... bien membré et prêt à toutes les belles cochonneries.

Car vois-tu je me sens dépendante de tes 18 cm et de la façon dont tu en joues avec moi. Fouille mes orifices sur toute leur profondeur, défonce les, montre leur qui commande... avec ce membre exigeant, si ferme qu'il me donne envie de crier...
Ta petite nympho a besoin de preuves aussi, par des faciales abondantes et bien appliquées. Tout ce sperme, toutes ces giclées que je me prends... mmhhh... qu'elles soient la conséquence de t'être fait bien taillé ou d'une chatte bien limée, peu importe finalement. Ce qu'il te faut c'est de la vicieuse qui aime le cul. De celles qui aime mater un porno avec toi hein ? Regarder tous ces salauds, bite tendue qui attendent leur tour pour se faire tailler par de la bonne pute, qui enchaînent par de la double à tour de rôle... et surtout voir la cochonne qui aime ça ! Elle en redemande... comme moi quand tu me pilonnes ou que tu tiens ma tête pour une pipe bien profonde.
J'aime quand tu exiges. J'aime être la petite chose dont tu disposes.

Que dirais-tu de t'approcher et de te plaquer contre mon dos, alors que je devinerais déjà que mon salaud va me faire ma fête. Je te dis « non pas maintenant, je peux pas... ». Ma réponse ne te convient pas, tu te presses plus fort contre mon petit cul et d'une main tu saisis une pointe de sein pour me faire gémir, tu pinces de plus en plus fort pour m'arracher un petit cri.
« T'es sûre ma petite salope que c'est pas le moment ? ». Ton autre main va se nicher entre mes cuisses pour constater que je commence à mouiller.
« Petite chienne va ! Il t'en faut pas beaucoup hein... ».
Espèce de salaud va, donne moi ta bite maintenant, je te supplie, ta pute veut sa part, je veux me faire tringler, là, maintenant. Tu soulèves ma petite robe du jour et tu découvres qu'aucune barrière n'est à retirer. Ouhhh, tu redoubles d'insultes en voyant que mes trous sont à découvert, près à se faire mettre.
« Mais c'est pas vrai ça, ma garce ! Tu vas t'en prendre de la queue et tu viendras pas te plaindre ».
Je crois naïvement que tu vas gentiment enfiler cette chatte aux lèvres écartées... mais non, tu viens cogner ta bite directement contre mon petit cul.
« Hey ! Doucement ! » Mais non. Tu pointes le bout de ton gland et il veut y rentrer, crois-moi. Alors tu commences à pousser pour forcer cette pénétration dont tu sais qu'elle va me faire hurler tout en étant réclamée... Un cran de passé... « Salope ! Je le savais ! T'en veux hein ? Tu l'auras pas volé ta petite correction, je te la devais... » Oui j'en veux, je commence à réclamer « Vas-y mon salaud, encule-moi, vas-y, faut la calmer ta petite chienne en chaleur... ».
Il t'en faut pas plus pour pousser encore et allez... de la sodomie largement méritée, pointe de seins toujours martyrisée. C'est que ça t'excite hein de voir ta vicieuse qui couine de plaisir... Ca y est t'es tout au fond. Et ça y va, des coups de queue profonds, presque violents, des insultes « ma garce qu'est-ce que je te mets ! chaudasse va ! dis-moi que t'aimes ça ! gueule je veux t'entendre ! » Et moi je t'encourage en te suppliant de m'exploser encore plus « salaud vas-y, donne-moi ce que je mérite, mais vas-y casse-le ce petit cul il est à toi ! ».

INSANE REBOUNDOù les histoires vivent. Découvrez maintenant