Laurence les enchaine bien.

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- On va diner ?

Je remettais de l'ordre à mon pantalon au niveau de mon boxer qui a dû résister à la série d'érections qu'elle m'a infligé avec son récit de réveillon de salope...

- Juste le temps de passer aux toilettes pour changer mon plug anal, je suis dilatée comme pas possible, il m'en faut un plus gros pour le dîner...

Je l'observe alors qu'elle se lève et traverse le bar sous l'œil intéressé et admiratif des hommes présents ce soir-là... je ne suis donc pas le seul à aimer ce genre de petite garce allumeuse ? Seul différence avec une allumeuse, Laurence tient ses promesses quand il s'agit de cul. Elle répète à l'envi : « Qu'est-ce que j'aime le cul ! ». Preuve qu'elle passe souvent à l'action.

A la regarder se mouvoir, on comprend quelle salope elle doit être... J'apprécie de mesurer son pouvoir d'attraction imaginant ce que ces hommes pourraient lui infliger de sévices et aussi ce qu'elle saurait, elle, leur concocter de cochonneries...

Nous enchaînons et je suis curieux de connaître la suite. En fait, elle m'a promis de me raconter comment elle enchaînait les coups de bites dans une même journée...

On prend place à la table que nous avait réservé le serveur de ce restaurant. Lumière sombre, coin discret... c'est l'avantage des lieux spacieux : pouvoir se parler cul, se provoquer, se peloter sans attirer l'attention. Même si Laurence n'a pas de problème à s'afficher quand l'envie de baiser lui prend. Nous étions côte à côte. C'est mieux qu'un face à face. On a appris à aimer ce genre de disposition au restaurant, les cuisses de Laurence sont plus accessibles. De plus elle ne rechigne jamais à les écarter pour se faire doigter pendant un repas...

La commande étant passée, je lui demande de tenir sa promesse...

- Mais c'est qu'il est bien curieux mon hardeur d'amour... toujours à vouloir savoir tous les petits vices de sa petite pute perso qui, avant lui, fut à qui lui plaisait.

« Alors peut-être puis-je te confier ceci en attendant l'entrée » entame-t-elle....

« Le maximum d'enchaînement plans cul sur une même journée fut de... quatre. Vacances, soleil, on fait tout et n'importe quoi, à l'instinct. A l'époque, j'ai un peu moins de 30 ans, c'est pas si lointain en fait... ».

Le serveur apporte le pain et la bouteille d'eau pétillante, il annonce qu'une attente de 10 minutes est à prévoir pour le premier plat.

Laurence reprend et se tortille sur son siège... « Ce plug me fouille le cul avec insistance... mmmhhh... ».

« Bon on a le décor... Il y en a bien un qui me plaisait et qui s'est décidé à me faire savoir qu'il était en rut et qu'il me l'aurait bien fourré. Je ne le connaissais pas de plus de 2 jours je dirais, mais je le sentais pas mal.
Belle gueule, belle bite c'était parti, en ce début d'après-midi... belle chevauchée, chaleur extrême, défonce en bonne mesure, un peu trop rapide à mon goût pourtant »...

« Rien d'autre ? » demandé-je...

- Oui, je l'ai sucé comme il fallait, il parait que ma bouche de salope l'inspirait... il n'y avait personne à la piscine pendant le repas du midi, j'avais décidé d'y commencer ma deuxième journée de vacances par une bronzette. J'arborais un maillot deux pièces turquoise particulièrement évocateur par sa composition : le haut de ce micro bikini se résumait en un bandeau très fin qui cachait tout juste les mamelons tout en laissant bien déborder du tissu l'ensemble de mes nibards ; le bas était constitué d'un string rectangle pas plus large qu'un ticket de métro. A ne pas utiliser si on a une petite toison. Aucune crainte en ce qui me concerne, j'avais bien épilé cette chatte de salope, histoire d'être bien accueillante. Un petit paréo et des mules hautes pour l'été complétaient ma tenue. J'aime bien les mules, ça m'excite et je sais que ça fait bander... la démarche est chaloupée et sensuelle, de plus ça fait balloter les nichons...

INSANE REBOUNDOù les histoires vivent. Découvrez maintenant