Chapitre 4

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PDV JAEMIN :

Jaemin : Je suis vraiment désolé. Sur la photo, il y a un enfant qui ressemble beaucoup à Mark hyung. C'est pour ça que j'ai regardé la photo.

Jeno : Tu peux me montrer des photos de lui ?

Il avait l'air vraiment intéressé. Je comprends, il est à la recherche de ses amis.

Je sors mon téléphone et lui montre une photo de Mark.

Jeno : Son grain de beauté est sur sa joue, non ?

Je hoche la tête.

Jeno : Et toi, tu n'as pas de photos de toi quand tu étais petit ?

Jaemin : Mes parents n'ont pas pris de photos de moi quand j'étais petit. Ils n'avaient pas le temps.

Je lui souris avant de continuer :

Jaemin : Sinon, tu veux voir ma tache de naissance ?

Jeno : Oui, attends, je vais deviner... elle est sur ton bras droit et elle a la forme d'une étoile ?

Jaemin : Tu me stalkes ou quoi ?

Il se met à rire. Son sourire est vraiment beau.

Jeno : Non, pas du tout. J'ai juste deviné.

Il me serre très fort, ce qui ne me dérange pas, au contraire, j'aime ça. On s'endort l'un contre l'autre.

Le matin, en me réveillant, Jeno n'était plus là. Je suppose qu'il est allé en cours, ce qui m'énerve, car il ne m'a pas réveillé.

Je me lève, prends mes affaires sans poser de questions, et quitte sa maison. En route, je prends un bus qui me ramène aux dortoirs de l'université.

Arrivé, j'ouvre la porte et, à ma grande surprise, Mark est là, assis à son bureau en train de faire ses devoirs. Sans lui accorder une minute, je pars me préparer sans me soucier de lui. Je sens parfois son regard sur moi, mais je n'y prête pas attention.

Après m'être préparé, je mets mes chaussures et je m'apprête à sortir, mais Mark me prend par le bras. Je me retourne et le regarde, interrogatif.

Mark : Tu n'as pas déjeuné ? Je t'ai préparé à manger.

Je le regarde, puis je pars sans dire un mot, toujours agacé par son comportement oppressant. Une fois devant ma classe, je vois qu'une nouvelle personne a déjà attiré l'attention de tous les élèves.

Je vais m'asseoir à ma place et mets mes écouteurs en attendant le professeur. Ces filles faisaient tellement de bruit que c'en était énervant.

Quand le prof est enfin arrivé, tout le monde s'est assis à sa place, et j'ai pu enfin voir le visage du nouveau.

Quand je tourne la tête et que je vois Jeno, je suis bouche bée. C'était lui le nouveau, celui qui avait charmé toutes les filles.

*« Je les comprends, il est vraiment beau... Heu, Jaemin, reprends-toi. »*

Après le cours, je sors et, à ma grande surprise, Mark m'attendait devant la classe. Je fais comme si je ne l'avais pas vu et je trace ma route jusqu'à la cafétéria.

Jaemin : Putain, tu ne peux pas arrêter de me suivre ? Va t'asseoir avec d'autres personnes, tu as d'autres amis, non ?

Il avait l'air vraiment blessé par ces mots qui venaient de sortir de ma bouche.

Au moment où Jeno passe devant ma table, je lui fais un signe de la main, mais il me regarde froidement et part sans m'adresser la parole. Il avait l'air tellement distant par rapport à hier...

Je n'arrivais plus à manger. Je me lève avec mon plateau et sors de la cafétéria. Je me balade dans les couloirs avec mes écouteurs, je chantonne quand je sens quelqu'un me tirer en arrière.

**⚠️ ATTENTION : SUJET SENSIBLE ⚠️**

Lucas : À cause de toi, j'ai raté mon examen !

Jaemin : Hein ? Mais de quoi tu parles ? Lâche-moi !

Lucas : Pour te faire pardonner, on va te déshabiller petit à petit. Allez les gars, faites ce que vous voulez de lui.

Jaemin : À L'AIDE !!!

Lucas se met à rire, ce qui me fait arrêter de crier.

Lucas : Tout le monde est à la cafétéria parce que les plats sont trop bons. Personne ne viendra à ton secours.

Un des garçons commence à déboutonner ma chemise, tandis que deux autres me tiennent les mains et les jambes pour m'empêcher de bouger. J'étais paralysé, et Lucas nous regarde en riant. Je ne pouvais que pleurer en attendant que quelqu'un vienne à mon secours.

Il commence à toucher ma poitrine, ce qui fait sortir un gémissement de ma bouche. J'étais terrifié : pourquoi est-ce que je faisais ce genre de bruit ?

??? : On dirait que tu aimes ça... Oh, je vois que tu as une érection.

Il fait glisser sa main vers mon pantalon. Je le supplie d'arrêter, mais il ne m'écoute pas. Je me débats, mais rien n'y fait, tout est perdu avec un corps comme le mien.

Ils sont en train de me toucher comme une poupée. Chaque fois que j'essaye de bouger, ils me giflent et me frappent, me disant de ne pas bouger, ils me masturbaient.

Lucas : Quand tu auras éjaculé, on te laissera partir.

Je voulais que tout s'arrête, je voulais disparaître, mais c'est à ce moment-là que j'éjacule.

Ils se mettent à rire et partent. J'étais figé, en pleurs.

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