le début de la fin

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Je partie demandais à mes parents la permission et il me dire oui.

Il es donc venu me chercher le samedi après midi vers quatorze heures.
Je suis monter avec lui il était souriant, tout aller bien, ont riaient des autres, de nous même, à ce moment je ne me suis jamais autant senti vivante, faire des folies c'était pas dans mes habitudes. Arriver chez lui, son sourire c'était perdu, je commençais à enlever mon manteau et lui dit :
- Hey ! viens on sort j'ai pas envie de rester enfermer surtout que ce n'était pas le plan
- non moi je veut pas sortir
- bah pourquoi ?
- je t'en pause des questions !?
- non, c'est bon tes pas obliger d'être désobligeant comme ça
- excuse moi je suis un peu perturber en ce moment
- ouais bah c'est pas une raison moi aussi je peut..
Je ne pût finir ma phrase qu'il m'embrassa, je devenais complètement folle et accro à lui, je connaissait enfin le vrai bonheur, du moins c'est ce que je croyais.
Puis une fois le baiser fini, il me montra sa maison :
- alors la c'est la salle, le salon, la cuisine, on monte en haut, la chambre d'ami mais il y a que ma mère qui y dort quand elle me rend visite, la salle de bain et l'endroit de ton pire cauchemar, devine ?
- euh.. je sais pas.. bah ta pas dit ta chambre
À ce moment il me poussa violemment contre la porte de sa chambre, malheureusement pour moi, elle s'ouvra et je percuta méchamment la tête contre le sol. Il n'essaya pas de me relever, il me regardais par terre me tenant le dessus du crâne. Un sourire fourbe s'afficha sur son visage, je l'aie regardais que quelques seconde en étant allonger par terre mais je sentais le plaisir de me voir dans cette posture. Une fois qu'il eu déguster ce moment, il me tira par le bras avec une seule main, j'ai crue à ce moment que mon bras aller ce déchirer :
- aiieee ! Flavio lâche moi j'ai mal ! tu vas m'arracher le bras !
- ta gueule
- s'il te plait lâche moi j'ai mal..
- ta gueule j'ai dit !
il me lâcha le bras me retourna et me mis une gifle. La je ne savais plus quoi faire, je regardais donc le sol pour ne plus le voir, il ce baissa me serra dans c'est bras et me chuchota :
- Excuse moi je sais pas ce qu'il ma pris, je ne voulais pas te faire de mal, je suis vraiment bête parfois, excuse moi ma chérie s'il te plait, regarde moi et fait moi un sourire
Je relevait ma tête et lui fait bêtement un sourire, au moment ou je lui fit, le sien s'effaça instantanément.
Il me porta me mis sur son lit, me caressa la hanche avec c'est main salit par la violence, m'embrassa dans le cou et sur les lèvres avec sa bouche sale de mensonge. Je ne bouger plus, je ne savais plus si je devais partir sur l'instant ou rester avec lui. Ce qui était sûre c'était que je ne voulais et ne pouvais plus bouger. Il commença a vouloir enlever mon jeans, je pris peur, je ne l'avais jamais fait et il me presse, j'ai eu peur et me laissa faire j'étais complètement crisper, je ne savais plus quoi faire quoi dire, il enleva mon pantalon, mon tee-shirt, il me caressa le corp et me dit :
- wouah et bah dit donc, je savais pas qu'il ce cacher ça sous c'est vêtement
Il embrassa mon corp, la seule chose que je ressentais à ce moment es du dégoût. Au moment qu'il voulu baisser ma culotte, des larmes sortit de mes yeux, il me regarda et me dit :
- tes sérieuse toi !? tu chialle !? aller c'est bon la laisse tomber sale gamine
Mes larmes m'avait sauver du pire, cela m'avais soulager.
Je me r'habiller et il me regardait perversement.
Je rentrais chez moi, complètent troubler de ce qui était arriver, puis une fois chez moi et lui repartit chez lui, il me fit un lavage de cerveau ou il me disais que c'était de ma faute, je l'aie provoqué, mais le pire c'est que il me retourner tellement le cerveau que j'y croyais.

une erreur de jeunesseOù les histoires vivent. Découvrez maintenant