Jungkook's nanny

CHAPITRE DOUZE

Oh mon dieu, il reprend sa marche alors que je deviens rouge en le suivant, du coup il a pas oublier cette épisode, trop beau pour être vrai, arriver devant la porte en vitre de son bureau, je vois rouge directement, la colère me monte directement

-tu te fou de moi j'espère?, je vais la massacrer, je regarde mon sac pour voir si il est assez solide pour lui l'a balancer en pleine gueule, il est parfaitement dur, tu me connais vraiment pas jungkook, lui dis-je en ouvrant la porte en m'avançant vers elle pour lancer mon sac mais mon coup part pas parce que mon putain de patron me retient le bras en arrière

-calme toi et attend la suite, assis toi?, me dit-il pour me calmer, je souffle puis l'écoute quand même alors je m'assoie à coter de cette connasse en plastique

-bon Joy, commence mon patron, t'as eu plusieurs avertissements, on fait quoi?, dit-il en s'asseyant

-je recommencerais plus jamais, je vous le promet, dit-elle la tête baisser, je lève mes yeux au ciel, tellement hypocrite

-oh ça c'est sûr que tu recommencera plus puisque t'es virée et que je fais en sorte que aucune entreprise dans cette ville veuille de toi, je souris immédiatement après ces paroles, c'est pas bien d'être contente du sors d'une personne mais pas elle

-quoi?, dit-elle en écartant ses yeux pour regarder son patron, tout ça pour un putain d'appel, ma main par seule et mon sac atterri derrière son tête

-l'appel était que jung était à l'hôpital en pleure en demandant son père, voilà le putain de problème idiote, lui-je dent serrer en lui point mon index droit devant elle

-et j'ai dit que j'étais désoler, merde quoi, commença à cria elle aussi

-je t'ai dit la première fois de pas le toucher parce que même lui, pointe-je jungkook du doigt, ne pourra pas s'en charger de ton cas, t'as quoi dans ta tête? De la merde, meuf réveille toi, la vie c'est pas de trouver un mec riche et en profiter, un enfant était en danger et toi tu veux te faire sauter par ton putain de patron, pourquoi? Pour prouver à tes fausse amies que t'as réussi ta vie?, enlève toi les doigts du cul et va faire t'as vie parce que tu fais pitier connasse, crie-je avec les larmes en yeux, je sens la boule à la gorge prêt à l'éclat du coup je sors en vitesse pour éviter de pleurer devant eux.

J'arrive dans la cafétéria qui est bien rempli, je me commande un café et me pose sur une table en regardant les autres qui me fixe, cette histoire m'énerve de plus en plus, je veux me lever et crier pour qu'il arrête, ils font tous ça à cause de leur patron, merde mais c'est un humain comme les autres, je le vois arriver droit devant moi puis vient m'assoir pour me faire face.

-beau lancer, dit-il amuser

-arrête s'il te plaît, j'allais vraiment la tuer mais d'un coter j'aurais pas du faire ça, je me sens extrêmement mal, d'accord c'est la pire des connes mais personne mérite ça, lui-je en regardant ma tasse de café

-arrête d'y penser, pense plutôt de l'après midi que tu passera avec moi, dit-il en prenant mes mains dans les siennes

-et jung?

-Rm le garde chez lui

-mais si il est pas bien, il est tomber malade parce qu'il l'a garde, lui dis-je

-non, tout ses camardes de classe était malade à cause de la prof, c'est une maman qui m'a écrit pour me le dire

-une maman, lui demande-je avec un pic de jalousie

-oui, elle est très gentille franchement et célibataire, me dit-il avec beaucoup de sérieux, c'est une putain de blague j'espère, je me lève en fronçant des sourcils et décide de rentrer, non mais quoi encore, il m'invite à sortir pour m'envoyer des pics, il me rattrape vers les ascenseurs pour m'empêcher de partir