When the sky fall

K. Bourgeons

!! -18 !!

Après m'être installé dans ma chambre, le capitaine McTavish était venu me chercher pour discuter. Il était avec Marcus et rien qu'en voyant ce dernier, je me suis crispé. J'ai attendu qu'il termine leurs discussions. Il faisait le difficile par rapport à sa colocataire. On l'a callé avec la jeune femme qui, un peu plus tôt s'était amusé à le descendre devant tout le monde. Je n'ai pas aimé la manière dont elle m'a utilisé pour ça. En fait je ne l'aime pas tout cour, elle a se ton hautain détestable. Elle a passé sa tête entre la porte et s'est mise à s'insulté avec Marcus puis il est finalement rentré dans la chambre. J'ai brièvement croisé son regard et elle m'a souri, j'ai préféré l'ignorer et continué ma discussion avec le capitaine qui s'est mis à rire en frottant sa nuque.

"Ces deux-là vont être compliqué à gérer. Au moins ils s'entendent bien. Enfin bref, j'ai bien reçu ta lettre. J'accepte que tu ne participe pas au premier entrainement en groupe à contre cœur. Mais tu finiras bien par y participer donc je ne comprends pas pourquoi le retarder."

"Disons que j'ai besoin de m'adapter à l'environnement"

"Oui bon. Va prévenir les autres du regroupement dans la salle commune."

"Oui capitaine"

Chose que j'ai fait, tout le monde était regroupé, le capitaine formait des groupes. J'étais dans celui de Marcus. Estéban et son ami, je crois qu'il s'appelle Martin, y était aussi mais surtout il y avait la nouvelle recrue. Je n'étais pas sûr de m'entendre avec eux. Marcus ne m'aime pas et je pense qu'il est de même pour ses amis. Après l'entrainement, on nous a appelé par groupe pour un control médical. J'étais le dernier à passer donc j'avais pas mal de temps devant moi. J'ai erré dans les couloirs avant de retourner dans le département médical. Je n'avais pas envie d'y entrer. Je suis resté une bonne dizaine de minute devant la porte à cogité. Puis je me suis enfin décidé, de toute manière je devrais quand même y passer. J'ai toqué.

"J'arrive !"

Je pensais qu'elle n'accepterait pas les retardataires. Elle m'a ouvert la porte et m'a fait entrer en me demandant de m'asseoir et de remonter ma manche, chose que j'ai fait. Elle m'a ensuite fait passer le contrôle et m'a demandé si j'avais mal quelque part, j'ai fait signe que non. Tout a été rapidement.

"Merci"

"Il n'y a pas de quoi. D'ailleurs on n'a pas pu se présenter correctement, je m'appelle Delta, on est dans le même groupe. Faisons en sorte de bien nous entendre d'accord ?"

Elle m'a tendu la main et je l'ai serré. Elle était petite comparé à la mienne mais sa peau était agréable au touché.

"Je m'appelle König, ravi de faire ta connaissance doc."

Elle m'a fait un grand sourire

"Ravie de te rencontrer, on se voit plus tard"

J'ai hoché la tête et suis sorti. J'ai regardé ma main tout le long que je retournais dans ma chambre. La sensation de son touché m'avais fait un peu d'effet.

Les journées se sont suivie normalement. Au bout de deux fois j'ai fini par rejoindre les entrainements de groupe, ce qui semblait déplaire à Marcus. Je n'avais jamais su pourquoi lui et moi nous ne nous entendions pas. J'avais toujours tout fait pour éviter les contacts inutiles donc impossible que j'ai fait quelque chose de mal. Pendant la pause, je suis allé me réfugier dans ma chambre pour manger. Quelqu'un est venu me déranger en toquant à la porte. Quand j'ai ouvert je n'y est trouvé qu'un paquet de biscuits et une bouteille de jus. Je les ai ramassé et ai fermé la porte. D'habitude, je les aurais jeté à la poubelle, chose que j'ai fait pour les biscuits mais le jus me donnait envie alors j'ai fini par le boire. Il y avait un arrière-gout étrange mais je n'y ai pas prêté trop d'attention. Je me suis senti bizarre le reste de la journée. J'enchainais les frissons et les bouffées de chaleurs. Mais ce n'était pas tout, le plus gros problème était en bas...

J'étais constamment en érection. J'ai fait de mon mieux pour le cacher mais je ne savais pas comment j'allais faire durant le contrôle médical. Mon tour s'approchais et je n'avais toujours pas trouver de solution. Je suis arrivé en retard comme la dernière fois, la tête chaude et l'esprit embrouillé. J'ai toqué et elle m'a ouvert avec le même sourire que d'habitude. Je me suis appuyé au mur. Ma bite était tellement serrée que j'en tenais moins debout.

"König tout vas bien ? Tu n'as pas l'ai en forme viens allonge toi sur le lit d'osculation."

J'ai obéi et me suis assis avec les mains sur l'entre jambe pour essayer de la lui dissimuler.

"On va faire le contrôle de d'habitude et après ça on va essayer de comprendre ce que tu as"

Elle a commencé le contrôle et mes bouffées de chaleurs s'y sont remise. Le tissu frottait dessus et je ne pouvais plus tenir longtemps. Il fallait que je me branle, ça me démangeait.

"Bien maintenant allonge toi je vais voir ça de plus près"

J'ai attrapé son bras, la respiration saccadée.

"Doc... J'aurais besoin que tu m'aide à faire quelque chose"

Je n'avais plus les idées claires, tout ce que je disais n'aurait jamais au grand jamais été dit en temps normal

"Vas-y dis-moi ? Dépêche-toi tu m'inquiète"

J'ai dirigé sa main sur ma bite, j'avais l'impression qu'elle allait exploser bordel.

"Aide moi avec ça. Je n'en peux plus s'il te plait soulage moi..."

Elle s'est levée choquer et est rester à m'observer quelque instant avant de racler sa gorge et d'aller fermer la porte à clé.

"Bien. Mais je te préviens je fais ça uniquement dans le cadre professionnel"

Elle a doucement ouvert ma ceinture puis l'ouverture éclair de mon pantalon. La bosse était énorme et quand elle l'a tiré du caleçon, elle s'est dressé droite. Elle l'a prise délicatement en mains et à appuyer sur mon gland avec son pouce. Je n'ai su m'empêcher de gémir. Son touché était chaud. Elle a commencé les mouvements lents, quelque vas et viens. J'en frémissais mais... Ce n'était pas assez. Il m'en fallait plus. J'ai attrapé son bras en prenant de grandes respirations.

"Doc, ça ne sera pas suffisant."

"J'essaie de faire de mon mieux."

"S'il te plait..."

Elle m'a regardé dans les yeux, d'abord hésitante et s'est agenouillé.

"Je vais voir ce que je peux faire pour toi."

Elle l'a reprise en main et s'est mise à lécher mon bout. J'ai cru qu'elle léchait une sucette. Je ne tenais plus. J'ai posé une main à l'arrière de sa tête et j'ai doucement appuyé, faisant en sorte de l'enfoncer un peu plus profondément dans sa bouche. Elle a levé les yeux vers moi et à froncer les sourcils avant de bouger. J'ai serré les dents pour ne pas faire de bruit, c'était compliqué de me retenir. J'ai fini par l'enfoncer tellement profondément que Delta s'est mise à pleurer. Pourtant on ne s'est pas arrêter. J'étais proche de gicler.

"Doc..E-Encore un peu..."

Quelqu'un à toquer à la porte. C'était Jean. J'ai commencé à panique en l'entendant appelé celle qui était à genoux en train de me sucer la bite comme si sa vie en dépendait. Elle n'avait malgré tout pas arrêter. J'ai fini par venir dans sa bouche, son visage n'a pas été épargner en vue de la quantité de sperme qui était sorti. J'en avais lâché un long râle, penchant la tête en arrière, la respiration saccadée.

Elle s'est relevée et a essuyé son visage. Je ne l'ai pas vu recraché le liquide donc je suppose qu'elle l'avait avalé. Cette pensé à suffit pour que je bande à nouveau. Elle a été ouvrir la porte quand j'ai fini de remettre ma ceinture.

"Désolée de t'avoir fait attendre Jean. J'étais plongé dans l'osculation de König, il ne se sentait pas bien et j'ai mis un peu de temps à trouver ce qu'il avait. D'ailleurs tu peux y aller, on se voit demain."

J'ai hoché la tête et suis sorti rapidement. Je suis retourné dans ma chambre et me suis enfermé dans les toilettes. J'ai passé une bonne heure à débander.

Je n'ai pas su dormir de la nuit.

J'ai retourné la question dans tous les sens mais je n'avais trouvé ni réponse ni solution.

La question était : comment est-ce que je vais pouvoir faire face à Delta demain ?