- " Ne me dis pas que tu vas leur pardonner ça. Tu ne penses pas qu'il faudrait... Les anéantir ? Les briser au plus profond de leurs âmes ? Oh s'il te plaît, je vois bien que ça te démange... La plaie s'est infectée et maintenant les asticots groui...
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Lorsque l’ange quitta l’immense cathédrale sous les yeux protecteurs de Pharom, ce dernier soupira lourdement en se tournant vers le grand arbre qui tapissait de ses racines, le sol non loin de l’autel. Les légendes racontent que cet arbre avait été planté par une race maintenant éteinte, afin de préserver la paix et la vie. Les racines de cet arbre était connecté aux roses de la Déesse Mère, alimentant la faune et la flore d’Arcas comme des autres dimensions des Terres Originelles. Chaque Dimension avait alors un artefact et un arbre ; toutes vies se basaient sur ces deux éléments pour vivre.
Seulement, cette race qui devait initialement veiller sur les Terres Originelles fut anéantit par une force inconnue ; on en perdu la trace du jour au lendemain. Leurs corps solides devaient porter sur leurs dos les Nations Mères mais, sans aucune raison apparente, ces derniers furent remplacer par le vide durant un long moment, et les Dimensions ayant ainsi survécu à cette ère de chaos furent baptisée par la Déesse Mère et reçurent un artefact de la part de leurs Saint Guerriers. On appelle communément cette ère "l’Avant" mais cette dernière connaît un autre nom... "Chaos".
Cet arbre qui maintenait la vie était précieux pour n’importe qui. Alors quand Pharom posa sa main contre le bois, il laissa rouler sur sa joue une longue et unique larme silencieuse.
— " Tu souffres, je le sens. Ton cœur bat anormalement et tu t’affaiblie de jour en jour... Je cherche un moyen de te sauver, je la prie chaque jour pour qu’elle te sauve... Et qu’elle nous sauve à notre tour. "
Ses yeux rempli de larmes, le vert s’agenouilla contre le tronc massif et sembla se confondre avec.
"Enfant de la Terre, le jour où viendra ton heure, connecte toi avec ce à quoi tu es familier. Que les battements de ton cœur puisse rendre à la Nation ce qu’elle a perdu. Ne la laisse pas mourir et prie la, tiens entre tes mains son cœur et sacrifie, toi et ton âme pour l’amour d’un peuple que tu aime et protège par ton existence."
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