L'appel du sang.

Chapitre 10 - Prémices

Je sirotais un verre dans un bar spécialisé de Londres, la ville où je suis né, mais dont j'ai dû m'exiler. J'étais un habitué à l'époque, mais cela remonte a maintenant  quelques centaines d'années. J'étais là assis, installé dans mes réflexions. : Quelle serait ma prochaine destination, et dans combien de temps ? Je ne restais jamais longtemps au même endroit par peur d'être découvert. Toutes ces questions pratiquent vinrent être bouleversé par un parfum subtil, presque indétectable pour la plupart des vampires du bar. Une odeur divine. Une jeune fille entra dans le bar, c'était elle que j'avais senti, tous se retournèrent vers elle la croyant humaine.

« - Une humaine ! cria un homme au bar ce qui mis en alerte tous es vampires du bar

 Mais lorsqu'elle sorti ses crocs la tension s'apaisa dans le Gros Buveur.

-Que racontes tu vieil ivrogne, ne vois-tu pas que tu as affaire a une jeune et jolie vampire ? »

Il est vrai qu'elle était belle, ses longs cheveux bruns ondulait sauvagement autour de son visage fin, ses yeux presque noirs brulaient de rage, son regard ne savait s'il fallait me remercier ou me sauter au cou.

« -Enchanté, je suis Dragan. 

-Tallya, dit-elle sèchement

-Que fais une vampire sans défense dans un endroit aussi mal famé ?

-Je ne suis pas sans défense, dit-elle le regard rempli d'affront

-En effet tu ne l'est plus, que dirais tu de venir t'asseoir avec moi, il y bien longtemps que je ne me suis pas trouver en si charmante compagnie. »

Elle accepta mon offre, et commanda un verre de sang frais. Elle n'était pas très bavarde, mais j'appris qu'elle n'était devenue vampire que depuis quelques jours, alors qu'elle commençait à peine sa vie d'étudiante.

« -Tu as l'air d'une vampire en colère, dis-je, la rage se lit dans tes yeux.

-Ecoutez, vous êtes sympa et tout mais je ne vous connais pas, je ne vais pas dévoiler ma vie a parfait inconnu, en tout cas pas une nouvel fois.

-Tu peux me tutoyer Tallya. Tu sais je suis vieux, j'ai de l'expérience et je peux t'aider si tu le souhaite. Il te suffit de me faire confiance. 

-Quel âge avez... as-tu ? demanda-t-elle

-J'ai plus de 200ans.

-200 ANS !

-Oui.

-Et la vie est aussi belle pour que vous puissiez tenir autant de temps ?

-La vie ? Non, elle n'a rien de merveilleux, mais la mort elle... Est effrayante. »

Elle me regarda avec compassion, elle avait pitié de moi et elle avait bien raison. Heureusement mon on âge l'avait surement affectée car elle me raconta en détails les mésaventures de ses derniers jours. Elle avait été attaquée par deux vampires, trahit par un autre... Elle avait donné la mort à une femme par simple curiosité. Elle se qualifiait de monstre, répudiait tout son être.